Ce qui confirme que l’actuel processus de pourparlers en cours à Alger n’a été entamé qu’après la perte de Kidal. Il faut comprendre que Zahabi n’est pas l’un de ceux qui sont prêts à gober le bluff selon lequel IBK voulait régler la crise de manière pacifique. Si pacifique aujourd’hui, par ce qu’il a, atteint les limites de son élan de l’homme du bâton, et jamais de la carotte !
La Rédaction
Pourquoi n’arrive-t-on pas à désarmer les bandits, malgré les appels de l’ON ?
Dans toutes les résolutions du conseil de sécurité sur la paix au Mali, et à travers toutes les réunions des organisations régionales et sous-régionales, l’appel au désarmement des groupes armés se reconnaissant au processus de paix est lancé avec des exigences bien souvent. Mais, force est de reconnaitre que les appels sont restés vains.
La cause ? « Narcotrafiquants et jihadistes n’ont rien à gagner à un processus de DDR [désarmement, démobilisation, réinsertion] : ils ont besoin de leurs armes et de leurs véhicules pour faire leur business et préfèrent que le conflit perdure. Dès qu’il y aura un accord, ils n’auront plus de couverture. »
Compris ?
Rassemblés par la Rédaction
L´honorable IBK a bien fait de se tourner vers Poutin pour le ré-armement de la vaillante armée malienne. Pour regler le problème septentrional malien il faut et le dialogue inclusif et la demonstration de la force militaire. Nous avions longtemps commis l´erreur de penser que le pacifisme pouvait garantir à lui seul l´intégrité national
On ne peut que prier Dieu qui est le dernier recours lorsque le désespoir s’installe.
IBK et “ma famille d’abord” repartie dans les institutions républicaines sont occupés à jouir et s’enrichir sur le dos des maliens humiliés et meurtris par leur incompétence et leur manque de vision, en plus de la misère économique.
Comments are closed.