Faute de pouvoir occuper toute la totalité de Ménaka, les rebelles ont mobilisé mardi 27 mai en début de matinée des civils (femmes, jeunes) à marcher contre la présence de l’armée malienne et demander leur retrait de la ville. Ce fut un échec puisque les militaires maliens aussi bien que leurs alliés de la MINUSMA et de Serval ne sont pas tombés dans la provocation.
La ville de Ménaka est sous la pression des groupes armés depuis jeudi 22 mai. Ceux-ci ont lancé, en effet, une offensive contre cette localité parvenant même à annexer certaines parties de la ville, mais sans pouvoir déloger, comme ce fut le cas à Kidal, le détachement de l’armée présent sur place.
Les soldats maliens qui s’étaient au début repliés vers leur camp semblent avoir gagné en confiance grâce au nouveau dispositif de redéploiement mis en place par l’Etat-major malien à travers l’envoi de renforts.
La multiplication des patrouilles par les casques bleus semble avoir dissuadé ces groupes narcojihadistes d’attaquer les positions de l’armée. On se rappelle aussi que le ministre de la Défense avait lors d’une sortie déclaré ” être en relation avec la force Serval prête à considérer positivement sa demande d’appui ” à propos de Ménaka. Il nous a été indiqué que les militaires français se sont déployés non seulement à Ménaka, mais aussi à Ansongo, deux des villes qui étaient constamment sous la menace des assaillants.
Faute de pouvoir mettre à exécution leur plan machiavélique d’occupation de la totalité de la ville de Ménaka, les rebelles ont mobilisé mercredi des femmes et des enfants pour marcher contre la présence de l’armée malienne et demander leur retrait sinon leur départ définitif de la ville.
Beaucoup de ces manifestants auraient été contraints sous la menace du fouet à prendre part à cette marche de protestation.
Au moment où nous mettons sous presse, il n’y avait pas eu de débordement. L’armée a su faire face à la provocation et n’est pas tombée dans le piège des rebelles dont le seul souhait était de voir les soldats riposter violemment contre les manifestants.
Ménaka a toujours donné l’image d’une ville assiégée à chaque rébellion touarègue. Sa proximité avec la frontière du Burkina Faso facilite très souvent la fuite des assaillants après chaque revers. La rébellion de 2012 est partie de là. C’est aussi de là en 1989 que les premiers coups de feu de la rébellion armée sont partis. Elle a duré jusqu’à la signature en 1994 du pacte national.
Abdoulaye DIARRA
mon cher ami autonomie egal a reffradom ce que dis ici en amerique a nation unis.
Ce ne sera pas facile pour l’Etat malien d’engager pleinement et entièrement l’armée contre tous ces groupes de bandits armés et drogués. En le faisant les ennemis du Mali crieront partout que l’Etat est entrain de massacrer sa propre population. Déjà certains commencent à parler de guerre civile au Mali . En ne faisant rien Kidal deviendra de fait une zone de non droit et on criera à la faiblesse et à l’incapacité de l’Etat d’asseoir son autorité sur toute l’étendue du territoire. Dans les deux cas ,l’Etat sera diabolisé et les ennemis du Mali demanderont à ce que les kidalois votent pour leur autonomie. C’est ce qui explique cette démarche et cette offensive diplomatique pour mieux expliquer la situation qui prévaut en ce moment au nord Mal
Au lieu d’armes cherchez la baraka et éloignez vous de la haine gratuite du mensonge sur les frères d’autrui et le souhait de la mort de ceux qui ne sont pas de la même région que vous. Boubèye est haï parce qu’il est du nord, un point c’est tout. Un pays comme ça n’ira nulle part. Même demain on fuira devant nos ennemis car nous refusons de voir et d’accepter ce que Dieu a recommandé: “tous les croyants sont frères”. Alors enlevez la souillure de la haine de vos coeurs
Arrêtez d’écrire des bêtises.Menaka est plus proche de la frontière nigérienne que Burkinabé. La rébellion a été déclenchée en 1990. Le Pacte nationale a été signé en avril 1992.
L’affront ne peut etre pire que ça. Donc notre armee vit desormais a la mercie de la volonte de “rebelles touareg”…Il est clair que l’armee est sous la protection de Serval et Minusma qui ne veulent plus de nouveaux scandal qui risquera de bousiller le peu de confiance qui reste sur eux. Sans se doter des armes qu’il faut d’ici peu, ce pays est foutu.
Merci bien nous devons corriger une certaine ecrite parceque beaucoups des journalistes de ce pays ne conaissent pas leurs metiers de journalisme parcequ ils n ont pas de formation de leurs metier.et ils parlent Sans se controler. Faut journaliste
Notre diplomatie doit entrer en exécution en profitant de cette enième provocation pour déclassifier le Mnla et ses alliés en groupes terroristes. Par ailleurs, je demande aux autorités de prévoir toutes les éventualités en cas de dégénération à Ménaka car si ici nous évitons l’amalgame ailleurs ce n’est pas le cas. Nous allons prouver à la face du monde que le Mali sait se défendre.
Toujours aussi médiocre les journalistes dans ce pays !
ce le meme gens de menaka qui manifestaient contre le cantonnement de mnla chez-eux.
Jusqu’ici le plan A est toujours maintenu,si nécessaire le plan B est aussi prêt cette fois ci on en finira définitivement et c’est sans prisonnier. Que dieu bénisse le Mali!
Une occasion en or d’en finir avec ces terroristes déguisés sous la protection internationale nous a filé.
Ils sont démocrates ou bien, ils veulent les pousser à endecoudre avec nos soldats?
Monsieur le journaliste vous faites honte a la profession du journaliste, Menaka fait frontiere avec le Niger et Puis la date de 1989 n.est pas conforme, c.est plutot un vendrerdi noir le 29juin 1990 a 3heure du matin , je me souviens de cette date historique j.avais 14ans..apprenez a bien lire vos ecrits avant de les publier
Monsieur le journaliste vous faites a la profession du journaliste, Menaka fait frontiere avec le Niger et Puis la date de 1989 n.est pas conforme, c.est plutot un vendrerdi noir le 29juin 1990 a 3heure du matin , je me souviens de cette date historique j.avais 14ans
Heureusement que les gens avertis comme vous sont là entrain de veiller au grain! si non, nous, les novices de cette région avions déjà avalé la couleuvre!
Il faut les tuer sont tous des terroristes.Je dis bien tuer les.
menaka est plutot proche du niger que du burkina.
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