Mali : les zones d’ombre de l’attentat de Gao

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Des soldats se rassemblent près d'un pick-up après l'attaque kamikaze qui a ensanglanté un camp de Gao, au Mali, le 18 janvier 2017.
Des soldats se rassemblent près d'un pick-up après l'attaque kamikaze qui a ensanglanté un camp de Gao, au Mali, le 18 janvier 2017. © STRINGER / AFP

Cinq jours après l’attentat qui a causé, mercredi dernier, plus de 77 morts et 115 blessés à Gao, selon un bilan officiel, de nombreuses zones d’ombres entourent encore ce qui est considéré comme l’attaque terroriste la plus meurtrière de l’histoire du pays.

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1 commentaire

  1. Si le pic-up était neuf et contenant deux barriques d’essence, alors pourquoi ne pas y penser que cela était un moyen propice de tuer ? Quand vous êtes dans une zone de guerre ,dans un cas particulier comme celui-ci où les informations et actes criminels sont récompensés par les instigateurs pour atteindre les objectifs, vous devriez y penser. Cet acte a été prémédité par ces auteurs qui sont parmi le groupe et qui ne seront jamais victimes eux-mêmes. Vous ne devriez pas être naïfs sinon les actes de ce types ne vont pas s’arrêter et les responsables collaborateurs doivent aussi recevoir les corrections consequentes d’une maniere ou d’une autre mais au vue et au su de tous.Vous devriez limoger les incompétents du terrain que de maintenir les népotismes même quand il s’agit de la vie des citoyens.

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