Quand lanceront-ils l’assaut? C’est la question qui brûle toutes les lèvres depuis que les autorités de Bamako ont fini par s’accorder avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) pour aller en guerre contre les groupes islamistes lourdement armés qui occupent plus des deux tiers du territoire malien. On attendrait plus que le quitus du Conseil de sécurité de l’ONU pour donner un cachet international aux casques des «libérateurs». En tout cas, dans le principe, tout le monde est théoriquement engagé pour cette guerre dont l’issue, cependant, ne rassure pas toujours dans la capitale malienne.
Pendant que le gouvernement malien se hâte lentement pour réunir ses troupes, que les militaires français du Commandement des opérations spéciales (COS) affûtent leurs armes du côté de Kamboincé au Burkina Faso et que la Cédéao fait toujours des appels à contribution, les islamistes eux continuent d’imposer la charia à des populations abandonnées à elles mêmes.
Non seulement elles sont coupées du reste de leurs compatriotes, mais elles courent constamment le risque de se voir couper le bras ou le pied par leurs nouveaux maîtres, pour un oui ou un non. Le pire dans l’angoisse permanente de ces Maliens perdus au Nord, c’est qu’ils ne savent ni le jour, ni les hommes, encore moins le temps que prendront l’Etat malien et ses alliés de la Cédéao pour les délivrer.
Plus on parle de cette guerre, moins on en connait les contours. Et plus certains continuent de s’irriter à Bamako sous prétexte de la sauvegarde d’une souveraineté malienne pourtant malmenée depuis plus d’un semestre maintenant. Dans les esprits, la guerre est si proche, mais dans la réalité elle paraît tellement loin.
fasozine.com/ MERCREDI, 03 OCTOBRE 2012 07:17 BARK BIIGA
notre armée est forte dont je ne suis pas peur mais une situation politique non controle, de laisser aller qui a bascule notre armée , mais avec une jeunesse de 46% de la population malienne peut soutenir l’armée du debut jusqu’ala fin et le combat ne dépasséra pas 15jours .
notre arme est plus fort dont je ne suis pas peur en plus la jeunesse occupe 46% de la population malienne qui peut faire l’affaire du nord ,mais le problème politique a bouscule la sitation si non pas autre chose .
Tôt le soleil se lèvera, la lumière éclate et les maliens danseront le djandjo.
T’es sûr que t’as pas commencè à fêtre d’avance avec 25 callebasses de tiapalo?
Votre fin est proche… l’armée malienne vous enverra bientôt en enfer, rejoindre vos frères et vos 90 vierges promises… 😀 😀 😀
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