AFP
Dimanche soir, des hommes armés sont entrés à Bamba dans le nord du Mali en tirant des coups de feu en l’air, visiblement pour effrayer la population. Ces dernières semaines, les actes violents se multiplient dans la région et visiblement les jihadistes reprennent possession des zones et de lieux abandonnés en 2013.
« Il y a des missions, elles n’ont jamais cessé, mais pas dans la zone citée », si ce responsable de l’état major français dément toute opération en ce moment dans le massif du Tigharghar, un cadre du ministère malien de la Défense est plus précis : « Il n’y a pas de troupes au sol, mais un survol permanent et des missions d’écoutes, car il y a actuellement une forte résurgence des activités des jihadistes dans le massif ».
Réorganisation
Selon les informations de RFI, combattants d’Ansar Dine et d’Aqmi se réorganisent. « Ces dernières semaines, ils se déplacent essentiellement en moto, ils sont revenus dans l’ancien fief d’Abou Zeid, la vallée et le village d’Amététaï, explique une source locale qui ajoute qu’ils ont menacé les familles : soit vous êtes avec nous, soit vous partez. Certains clans ont décidé de fuir vers l’Algérie ».
Discrétion
La réinstallation des jihadistes dans la région se fait en toute discrétion. « Ils ont des observateurs pour suivre les mouvements des Français, ils n’utilisent plus les téléphones satellites, raconte une source militaire malienne qui conclut qu’ils sont dans l’Adrar, mais aussi vers Taoudeni, les soldats français ne peuvent pas intervenir rapidement dans cette zone trop éloignée. Des interventions sont prévues, car dans quelques semaines, la saison chaude empêchera alors tout déplacement ».
Par RFI / Publié le 25-02-2014
Ah bon les islamistes reviennent?
Et quand est ce qu’ils étaient partis?
1.PARTONS DU POSTULAT DE BASE QUE:
Aqmi+Mujao+Ansardine=islamistes
2. ET CONSIDÉRONS LA RELATION SUIVANTE COMME ÉVIDENTE PAR ELLE MÊME:
Mnla+HCUA +MAA=groupes armés copains de la communauté internationale au Mali
3. IL EST ÉTABLIT PAR LES FAITS CE QUI SUIT:
Le 10 janvier 2013, le président intérimaire du Mali, le professeur Diobcounda Traoré, après une seconde fuite de la bande de Sanogo et sbires à Konna après celle de Gao et Tombouctou en avril 2012, décide d’appeler la France à la rescousse d’un Mali en lambeau.
Très vite l’opération serval, par la bénédiction des forces spéciales françaises, libère Gao et Tombouctou, mais les pseudos experts de mon œil droit arrivent à convaincre le président François Hollande à collaborer avec le Mnla (tête de fil des groupes armés au nord du Mali) pour les réinstaller de leurs 4 défaites cuisantes face au Mujao et aux arabes du MIA (Gao, Ansongo, Menaka et El Halil en juin 2012 et janvier 2013).
Du coup, les malfrats du Mnla forts de leur collaboration (“en bonne intelligence” avec les troupes françaises dans la région de Kidal, ce sont les mots de Jean Yves Le Drian, ministre français de la défense) se tapent la poitrine qu’ils contrôlent Kidal et s’adonnent à leur sport favori:
– le racket des populations civiles,
-le vol à main armée,
-le viol collective de jeunes filles mineures de race noire,
– et la prise d’otage des journalistes de RFI, une radio pourtant collabo avec eux dans leur vaste entreprise du mal et contre le Mali.
Mais cette fois-ci, ils, c’est à dire la vermine et la racaille Mnla, vont faire une innovante surprenante au détour des dunes de sable Kidalesques.
Ils vont vite se transformer en “Cheval de Troie” pour phagocyter toute la vermine terroriste autrefois estampillée Ansardine, Aqmi et Mujao malgré leurs sanglantes confrontations passées avec le Mujao.
De cette innovation inédite des sangsues, les phalanges du Mnla croient ainsi miner Kidal et ses environs et le transformer en une forteresse imprenable par les forces armées maliennes au vu et au su de la minuscule, oh pardon la Minusma et Serval , les deux mamelles armées de la communauté internationale sur nos terres “Thanks to Dioncounda”.
Dans une étrange politique d’autruche sans commune mesure ces deux mamelles armées d’une communauté internationale sournoise et ténébreuse dans nos murs, veulent inlassablement nous faire croire qu’ils recherchent encore des islamistes déjà phagocytés par le Mnla et ses sbires.
Et si ce serpent de mer que les tchadiens ont déjà attrapé la tête Belmoctarienne et Abouzeique, manifeste inlassablement ses queues, les plus naïfs vont croire que les islamo reviennent alors qu’ils n’ont jamais quitté Kidal, “Thanks to Mnla, Serval And Minusma”.
“Ne dabali bannan”!
Ah bon les islamistes reviennent?
Et quand est ce qu’ils étaient partis?
1.PARTONS DU POSTULAT DE BASE QUE:
Aqmi+Mujao+Ansardine=islamistes
2. ET CONSIDÉRONS LA RELATION SUIVANTE COMME ÉVIDENTE PAR ELLE MÊME:
Mnla+HCUA +MAA=groupes armés copains de la communauté internationale au Mali
3. IL EST ÉTABLIT PAR LES FAITS CE QUI SUIT:
Le 10 janvier 2013, le président intérimaire du Mali, le professeur Diobcounda Traoré, après une seconde fuite de la bande de Sanogo et sbires à Konna après celle de Gao et Tombouctou en avril 2012, décide d’appeler la France à la rescousse d’un Mali en lambeau.
Très vite l’opération serval, par la bénédiction des forces spéciales françaises, libère Gao et Tombouctou, mais les pseudos experts de mon œil droit arrivent à convaincre le président François Hollande à collaborer avec le Mnla (tête de fil des groupes armés au nord du Mali) pour les réinstaller de leurs 4 défaites cuisantes face au Mujao et aux arabes du MIA (Gao, Ansongo, Menaka et El Halil en juin 2012 et janvier 2013).
Du coup, les malfrats du Mnla forts de leur collaboration (“en bonne intelligence” avec les troupes françaises dans la région de Kidal, ce sont les mots de Jean Yves Le Drian, ministre français de la défense) se tapent la poitrine qu’ils contrôlent Kidal et s’adonnent à leur sport favori:
– le racket des populations civiles,
-le vol à main armée,
-le viol collective de jeunes filles mineures de race noire,
– et la prise d’otage des journalistes de RFI, une radio pourtant collabo avec eux dans leur vaste entreprise du mal et contre le Mali.
Mais cette fois-ci, ils, c’est à dire la vermine et la racaille Mnla, vont faire une innovante surprenante au détour des dunes de sable Kidalesques.
Ils vont vite se transformer en “Cheval de Troie” pour phagocyter toute la vermine terroriste autrefois estampillée Ansardine, Aqmi et Mujao malgré leurs sanglantes confrontations passées avec le Mujao.
De cette innovation inédite des sangsues, les phalanges du Mnla croient ainsi miner Kidal et ses environs et le transformer en une forteresse imprenable par les forces armées maliennes au vu et au su de la minuscule, oh pardon la Minusma et Serval , les deux mamelles armées de la communauté internationale sur nos terres “Thanks to Dioncounda”.
Dans une étrange politique d’autruche sans commune mesure ces deux mamelles armées d’une communauté internationale sournoise et ténébreuse dans nos murs, veulent inlassablement nous faire croire qu’ils recherchent encore des islamistes déjà phagocytés par le Mnla et ses sbires.
Et si ce serpent de mer dont les tchadiens ont déjà attrapé la tête Belmoctarienne et Abouzeique, les queues se manifestent inlassablement pour faire croire aux plus naïfs que les islamo reviennent alors qu’ils n’ont jamais quitté Kidal, “Thanks to Mnla, Serval And Minusma”.
“Ne dabali bannan”!
Si nous ne nous réveillons pas sur ce territoire que de penser à l’argent au détriment de l’honneur national, en ce moment ce serait le regret total. Ne donnons pas la chance à ces voyous de s’échapper vivants à chaque sous les conseils des nations dont les intentions ne favorisent pas le cheval de bataille de l’intégrité territoriale.
Il faut que certains pays sachent que le Mali ne sera pas le dépotoir des nations crapuleuses.
En outre, il faut que les habitants des régions agressées arrêtent de nous prendre pour des idiots car ils ne sont pas entièrement impliqués au combat de la libération que de se sombrer dans nostalgie de l’esclavage insensé crée à partir de rien qu’une influence de mauvais partage des biens et par la faiblesse sécuritaire de l’état dépourvu d’une politique territoriale depuis l’indépendance.
Les flagorneries à l’endroit des responsables ne doivent pas être les outils de gestion de l’état comme le notre où le développement du territoire et l’émancipation des hommes sont impératifs pour asseoir la paix et l’amour de ce pays.
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