Entre les attaques terroristes et les affrontements qui opposent groupes armés pro-Bamako et groupes rebelles, travailler dans le nord du Mali reste très difficile pour les humanitaires qui sont régulièrement contraints de suspendre leurs activités. Pourtant, les besoins des populations sont toujours immenses.
« Il y a un problème d’accès à l’eau, surtout dans le Nord. La question est essentiellement posée par la population de la région de Kidal. L’accès aux écoles pose aussi problème à Kidal », a déclaré David Gressly, coordinateur des affaires humanitaires au Mali, avant d’ajouter que les écoles, dans la région, sont fermées pour la quatrième année de suite, ce qui représente« une génération perdue »…….Lire la suite sur rfi.fr
Désastre
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