En coopérant avec le bureau du procureur de la CPI – autrement dit, en plaidant coupable et en livrant des informations sur les crimes commis en 2012 au Nord-Mali –, Ahmad al-Faqi al-Mahdi a obtenu une sentence clémente.
Le 27 septembre, il a été condamné à neuf ans de prison (il en encourait trente) pour avoir participé à la destruction de plusieurs mausolées à Tombouctou en juin-juillet 2012. Mais, selon l’un de ses avocats, ses proches auraient reçu des menaces.
Menaces
Sa femme et leurs trois enfants ont dû être exfiltrés il y a quelques mois (de Libye vraisemblablement) pour échapper à des représailles, et sont dans un lieu tenu secret. Son père, sa mère, ses frères et sœurs vivent, eux, toujours dans le Sud libyen, où les jihadistes se déplacent librement. « Il s’inquiète et aimerait qu’on assure leur sécurité », indique un proche. Mahdi appelle régulièrement son père pour prendre des nouvelles.
On peut se laisser pousser la moustache…
On peut se laisser pousser la barbe…
On peut se laisser pousser les cheveux…
Mais ce con d’Al-Mahdi, lui, a choisi de SE LAISSER POUSSER LES DENTS!!!
C’était pas une bonne idée dèh, regardez un peu la photo…
Du bandit a la prison ,sa famille va t’elle beneficier des aides maintenent .?
La paix est un comportement, disait Feu Houphouët Boigny. Al Faqi est seul responsable de ses actes et jusqu’à preuve du contraire ses parents ne doivent pas répondre au nom de ses crimes et actes posés.
Comments are closed.