“Nous condamnons sans réserve la reprise des combats à Kidal, en violation du cessez-le-feu et des autres dispositions de l’accord préliminaire de paix du 18 juin 2013”, a déclaré le porte-parole du service diplomatique de l’UE. “L’instauration immédiate d’un cessez-le-feu est une étape indispensable en vue de la réouverture de pourparlers dans le cadre d’un processus de dialogue et de réconciliation, comme cela est prévu”, a-t-il ajouté dans un communiqué.
L’UE “se tient prête à faciliter de tels pourparlers, dans le respect de l’unité, de l’intégrité territoriale et de la souveraineté nationale du Mali”, a précisé le porte-parole. Les rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) ont annoncé avoir pris mercredi, avec deux autres groupes armés, le contrôle de Kidal et de plusieurs villes du Nord après des affrontements avec l’armée malienne.
Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta, a demandé “un cessez-le-feu immédiat”, affirmant que sa priorité était “le dialogue”.
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L’UE doit plutôt demander le départ immédiat des forces françaises et Onusiennes pour laisser le chemin libre entre forces Maliennes et Touaregs, que ces dernières met en déroute L’Armée Malienne pour montrer au monde entier la faiblesse de celle-la;enfin de démontrer combien la fourberie de leurs dirigeants ,en premier le président IBK…
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