Au Mali, deux rapports publiés conjointement par la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) et le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme évoquent avec précision deux affaires qui ont fait beaucoup de bruit. En 2014, l’armée malienne ouvre les hostilités et tente, sans succès, de reprendre des mains de la rébellion, la ville de Kidal, située au nord-est. Ensuite, en mai 2015, c’est une confrontation qui a eu lieu, toujours dans le nord, entre des groupes armés pro-Bamako et les groupes rebelles. Dans les deux cas, précise le rapport, de massives violations des droits de l’homme ont été commises.
En mai 2014, l’armée malienne a « utilisé des armes lourdes, de façon indiscriminée, dans la ville de Kidal, en direction de zones habitées par des civils », précise le premier rapport.
Des violations et des abus ont également été commis par des groupes armés rebelles qui, lors de ces évènements, ont tué huit personnes, dont six membres de l’administration malienne, et parmi lesquelles « certaines auraient été exécutées sommairement », selon le document de l’ONU.
Le recrutement et l’utilisation d’enfants soldats dans les hostilités sont également pointés dans le rapport qui accuse également les groupes armés d’arrestations arbitraires et de traitements cruels.
Vraiment que ce machin ne foute la paix, elle et ses branches et branchements. Nous aimerons vraiment vivre en paix sans des pressions inutiles de cette machine qui ne sert pas ces membres “faibles” dont le Mali 🙁 .
L’ONU ne sera jamais sérieuse dans la vie. Ce jeu “d’équilibriste” entre une rébellion terroriste et un état souverain est la marque de fabrique de ce machin à la solde de ses géniteurs. Comment peut -on mettre au conditionnel l’égorgement par la nuque de nos administrateurs et dont les photos ont été fournies ?
Tant que le peuple malien ne s’arme pas jusqu’aux dents pour prendre en main son destin ce spectale affreux nous sera toujours servi. Mais cela ne sera pas avec le régime actuel qui a oublié sa mission et dont la crainte première est la perte de son pouvoir. Nous n’avons pas d’homme politique de mission, rien que des assoiffés de corruption.
je suis parfaitement d’accord avec vous!
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