Après la cérémonie d’ouverture, mardi 21 octobre, les mouvements armés devaient discuter avec les médiateurs de la communauté internationale. L’objectif est que chaque partie dise quels sont les points d’accord et les points de désaccord vis-à-vis de ce nouveau document.
Premiers à s’exprimer, le MNLA, le HCUA, le MAA et la CPA se sont étonnés de l’absence de leurs propositions dans leur document. Ils ont alors demandé aux médiateurs du temps pour examiner le texte en détail.
Plus tard dans la journée, la communauté internationale a reçu les autres mouvements du Nord. Leur porte-parole, le leader de la Coordination des mouvements et forces patriotiques de résistance (CMFPR), Harouna Toureh, a affirmé que le texte était satisfaisant et que les mouvements qu’il représente l’approuvent entièrement et n’ont aucune modification à apporter.
Mais à ce stade des négociations, la communauté internationale insiste : si les mouvements approuvent ce texte ils devront faire en sorte que les populations qu’ils disent représenter l’acceptent également…..Lire la suite de l’article sur rfi.fr
Peut etre que le gateau n’est/ ou n’etait pas trop gros pour qu’ils le partagent. 😉 . A suivre.
L’État malien doit prendre ses responsabilités face à cette situation; notre pays ne peut rester paralyser parce qu’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord . Il est temps que les groupes armés décident entre eux de ce qu’ils veulent réellement .
Les dirigeants maliens , comment est ce possible qu’une minorité nous mène la vie dure ? Et cela même s’ ils ont le soutien de la France où de qui conque …………..
Je suis entièrement d’accord avec vous Aliou Askia Touré. Pour consulter une base, il faudra bien que cette base existe. Les djihadistes et les narcotrafiquants du MNLA, HCUA, MAA, CPA ne représentent pas plus qu’eux-même et le reste de leurs combattants.
non
Le problème ce que le MNLA HCUA et MAA (dissident) ne representent pas la population, donc dire qu’on va revoir nos bases consiste à noyer le poisson.
Comments are closed.