La semaine dernière, le second contingent du Mécanisme opérationnel de commandent (MOC) en fin de formation à Gao, avait pris la route pour Kidal, ville toujours sous le contrôle des ex-rebelles. Ces derniers ont demandé au contingent composée d’une centaine de personnes de l’armée malienne reconstituée, de rebrousser chemin. Ce qui a été fait. Un nouvel exemple de la difficulté de voir l’armée malienne reconstituée se redéployer pleinement à Kidal.
Officiellement, deux raisons sont avancées pour le retour à Gao du contingent composé d’une centaine de militaire des FAMa reconstituées. D’abord, les uns et les autres disent vouloir éviter la propagation de la pandémie du Covid- 19. Mais alors pourquoi avoir alors laissé le convoi quitter Gao ? Pas de réponse pour le moment.
Ensuite, selon un responsable de l’ex-rébellion interrogé par l’Agence malienne de presse (AMAP), les ex-rebelles de Kidal exigent l’application d’une décision acceptée par tous les signataires de l’accord de paix et par de la commission technique de sécurité. Cette disposition spécifie que si c’est un officier de l’armée régulière qui commande les contingents des Forces armés reconstituées de retour à Kidal, les commandements des contingents d’autres régions, notamment Tombouctou et de Gao, doivent revenir respectivement à la CMA (ex-rébellion) et aux combattants de la Plateforme.
Il s’agit l’un d’un nouveau blocage dans le processus de retour de l’armée malienne reconstitué sur place. Depuis le mois de février sont arrivés à Kidal quelques centaines de militaires de l’armée reconstituée. Ils n’ont pas encore commencé les patrouilles en dehors du camp. Et probablement impatients ou fatigués de rester dans cette posture, trois des militaires ont déserté avec armes et bagages.
Par ailleurs, le colonel Abba Soumaré, du Mécanisme opérationnel de commandent (MOC) de Gao, assassiné jeudi dans cette principale ville du nord du Mali par des hommes armés, a été inhumé ce vendredi 15 mai.
Les Maliens ne doivent pas oublier que Alpha Oumar Konaré a détruit toutes les armes de l’armée Malienne parce que l’armée a fait le coup d’état à Modibo Keita.
Les Maliens ne doivent pas oublié que ATT a traité avec les Touarègues pour prise d’hottages et rançons ce qui amener la vente du territoire Malien aux Touarègues.
Les Maliens ne doivent pas oublié que la jeunesse Maliens a rigolé aux nez des soldats Maliens parce qu’ils ont fait un retrait à cause du manque d’armement.
Les Maliens voient cette jeunesse perdue dans la mode de tenue vestimentaire en montrant le derrière avec des pantalons déchirés et une coiffure de fous sur la tête.
Je voudrais aux grandes gueules comme Oumar Mariko et Mountaga Tall, qui ont été dans les gouvernements de ATT et IBK, de dire aux jeunes de faire l’armée et d’aller libérer KIDAL
Ces une sorte politique pour masque les yeux de la population malienne. Ces la politique de la France parcequ elle sait ke la population malienne entraine de revolte contre la presence du militaire français sur le nord. Il n ya pas de problm à Kidal. Le seul problm à Kidal ces la France et sa politique si non la petite minorite au nord ne peut pas faire ce qu il veut face au militaire malien. Ce ke je vais dire au population malienne il faut qu on continuer la lutte contre la presence de la France au Mali si non ce pays n aura jamais la paix. La France n a jamais finie une guerre au contraire elle la monte au puissance regarder les autres pays en Afrique ke les militaires français presentent
MALIENS, NOUS SOMMES LE 16 MAI….
LE 16 MAI 1977 , IL Y A 43 ANS , LE PREMIER PRÉSIDENT DU MALI LIBRE , MR MODIBO KÉITA FUT ASSASSINÉ LACHEMENT PAR LES DES SOLDATS DE PEAU NOIRE ÉDUQUÉS Á TUER POUR LES INTÉRETS FRANCAIS Á TRAVERS LE MONDE, DANS LES COLONIES D’ AFRIQUE ET D’ ASIE LUTTANT POUR LEUR INDÉPENDANCE.
AUJOURD’HUI , EN CE 16 MAI 2020, LES SOLDATS-HABILLÉS-EN-CIVIL DE LA CAUSE NÉO-COLONIALE FRANCAFRICAINE CACHENT AU PEUPLE MALIEN CETTE DATE MÉMORABLE UNIQUE EN SON GENRE, PAR LE SYMBOLE ET LE MESSAGE QU’ ELLE PORTE.
DEPUIS 1968, L’ INDÉPENDANCE DU MALI EST SUSPENDUE.
DEPUIS 1968, LE MALI EST “DIRIGÉ” PAR DES SOLDATS CIVILS ET/OU MILITAIRES DE LA CAUSE NÉO-COLONIALE DE LA FRANCE.
Á L’ HEURE OÚ J’ ÉCRIS, AUCUN, PAS UN SEUL ARTICLE DANS LA PRESSE MALIENNE….!
NORMALEMENT , HIER DÉJÁ LES ARTICLES DEVAIENT COMMENCER Á PARAITRE SUR LE SUJET…
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