Si l’Assemblée nationale du Mali a décidé de ne pas poursuivre en justice l’ancien président malien, Amadou Toumani Touré pour «haute trahison» à cause notamment de l’effondrement du nord de son pays en 2012, l’ancien Premier ministre Malien Moussa Mara, de son côté, pourrait peut-être devoir s’expliquer devant la justice à cause de sa visite mouvementée à Kidal en 2014.
En demandant une enquête approfondie sur les événements de Kidal, les députés n’ont pas nommément désigné l’ancien Premier ministre Moussa Mara comme « l’homme à poursuivre », mais nombreux sont les regards qui se sont tournés vers lui.
C’est sa visite en 2014 à Kidal en tant que Premier ministre du Mali qui a déclenché les hostilités entre les soldats de l’armée régulière et les rebelles. Il y a eu des dizaines de morts du côté de l’armée régulière et les rebelles ont repris totalement le contrôle de la ville.
Alors, aujourd’hui, en ouvrant le volet judicaire de l’affaire, cherche-t-on des poux dans les cheveux de Moussa Mara ? « Je suis calme et serein », a-t-il confié à RFI.
Autre question : a-t-il l’impression que c’est son ascension politique que certains cherchent à briser ? Sa réponse : « Je sais qu’on prend des coups en politique, mais moi, je suis à la disposition de la justice malienne si elle veut m’écouter. »
Une partie de l’entourage de l’ancien Premier ministre est plus catégorique : des rivaux politique cherchent à l’abattre, mais il ne se laissera par faire.
Adama Kané qui a présidé la Commission d’enquête parlementaire à l’origine de ce vote des députés maliens, explique la démarche.
Ah! Je ne suis pas pour Mara et loin d’être son partisan mais ce jour il a montré au monde entier que Kidal n’est pas le Mali et aujourd’hui ça l’ai toujours. Parlez plus tôt aux bandits qui tuent toujours au Nord du Mali sans inquiétude. Ils sont parfois attrapés et relâchés sans raison. Eh! soyons des hommes et prenons nos responsabilités. Sans justice il n’y aura jamais de paix.
M. MARA ne répondez à rien parlez seulement à la justice s’il y a lieu. Vous ne tomberez pas seul. Un membre d’une bonne famille africaine ne fera rien sans informer le chef de famille.
IBK dit tout a ses alliés * Pourquoi il a limogé Bouybèy- * Pourquoi il a gardé Mara – * Qui a ordonné l’attaque de Kidal”n Par Procès-Verbal du 10 Juin 2014
IBK jure sur le Coran
Le chef de l’Etat, s’adressant à ses invités, aborde le sujet relatif au voyage du Premier Ministre, Moussa Mara, à Kidal, il rappelle que le 17 mai 2014, les bandits armés ont voulu tuer le Premier Ministre; il rend hommage aux forces de sécurité d’avoir sauvé la vie de Mara et de ses accompagnateurs. Après le massacre des préfets et sous-préfets maliens par les rebelles, IBK révèle qu’il a montré les photos des administrateurs égorgés à ses pairs – Alassane Dramane Ouattara et les autres chefs d’Etat de la CEDEAO – afin qu’ils se rendent comptent de la barbarie des groupes armés du nord.
En ce qui concerne l’attaque de Kidal par l’armée malienne, le chef de l’Etat révèle que 24 heures avant ladite attaque, des rumeurs circulaient à Bamako là-dessus. Les apprenant, il a appelé son ministre de la Défense, Soumeylou Boubèye Maiga, pour en savoir plus. Celui-ci le rassure en lui disant qu’aucune attaque de l’armée malienne n’est prévue ni en préparation. Avant que le ministre de la Défense ne quitte le bureau présidentiel, IBK lui réitère très clairement: « Je n’autorise pas la moindre attaque de Kidal par l’armée malienne! ». Mais à sa grande surprise, pendant le conseil des ministres du mercredi 21 mai 2014, un de ses ministres lui glisse une note qui lui apprend que la ville de Kidal est passée sous le contrôle de l’armée.
. Poursuivant ses explications, IBK relate qu’après l’échec de l’opération armée de Kidal, le Premier Ministre Moussa Mara et le chef d’état-major général de l’armée, le général Mahamane Touré, se sont présentés devant lui, munis, chacun, d’une lettre de démission. Les deux hommes lui avouent leur implication dans l’échec militaire de Kidal. Ils lui expliquent que, de concert avec Soumeylou Boubèye Maiga, ils ont décidé l’attaque de Kidal et, maintenant qu’il y a échec, se déclarent prêts à en assumer les conséquences.«
Le ministre de la Défense, Soumeylou Boubèye Maiga, lui, n’a pas jugé utile de venir me voir, poursuit le chef de l’Etat; j’ai donc décidé de le convoquer afin qu’il me fournisse ses explications ». Boubèye s’étant présenté, il déclare au président n’être coupable de rien; il accuse le Premier Ministre et le chef d’état-major général d’avoir ordonné l’attaque. Après l’avoir écouté en silence, IBK lui lance d’un ton solennel: « Boubèye, je t’accuse pour tout ce qui s’est passé à Kidal et je retire ma confiance ! ». Pourtant, IBK ne limoge pas sur-le-champ le ministre de la Défense. La goutte d’eau qui fera déborder le vase vie
Le Menteur Mara , spécialiste de l’Avion a déclaré la Guerre lors de sa visite de Publicité force à Kidal , Mara voulait juste se faire applaudir par les sympathisants de la violence de Bamako et pire Mara a déclare cette Guerre dans les Grands Medias (RFI, France 24 et autre ) sans informe le Président IBK
Drissa kanté, tu n’es qu le griot Kanté de IBK, un état de seconde condition servile de forgeron émancipé en griot chez les Malinkés qui te fait dire des contre-vérités, comme, je te cite: “… Mara voulait juste se faire applaudir par les sympathisants de la violence de Bamako et pire Mara a déclare cette Guerre dans les Grands Medias (RFI, France 24 et autre ) sans informe le Président IBK.
Je t’invite à lire, in extenso, mon commentaire en haut issu d’un touareg fier malien qui a de la considération pour les castés des bamabaras-Malinkés émancipés, comme les anciens bellas , forgerons et griots des touaregs.
Sincèrement
Pourquoi poursuivre Moussa MARA et épargné le pivot de la chose qui est ATT?
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