Mali: la médiation burkinabè est-elle toujours nécessaire ?

5
Blaise Compaoré, le président burkinabè. REUTERS
Blaise Compaoré, le président burkinabè.
REUTERS

Pour accélérer le processus de paix au Mali, Abdoulaye Bathily, numéro 2 de la Minusma, la Mission des Nations unies au Mali, a rencontré hier, dimanche 19 janvier, à Ouagadougou, le médiateur Blaise Compaoré, après avoir eu des entretiens avec les responsables des mouvements touaregs. Alors que les autorités algériennes accueillent depuis jeudi des représentants de différents groupes rebelles du Nord pour des discussions à Alger et que le président malien était dans la capitale algérienne ce week-end, s’achemine-t-on vers la fin de la médiation burkinabè ?

 

Abdoulaye Bathily

Numéro 2 de la Minusma

 

 

Il y a plusieurs bonnes volontés qui s’expriment pour contribuer à la solution de ce conflit. Aucune intervention n’est de trop. On ne peut pas penser à la stabilisation au Mali sans l’intervention des pays avec lesquels le Mali a des frontières communes, surtout dans ce vaste espace sahélien.

 

Par RFI  / 20 janvier 2014

 

Commentaires via Facebook :

5 COMMENTAIRES

  1. le mali et burkina on fait deux guerre la mediation au burkina c/est la division du mali

  2. à la question si la médiation de blaise est nécessaire je dirais non .parce que ce monsieur veux seulement se donner une valeur régionale afin de se pérenniser sur le pouvoir dans son pays.

Comments are closed.