Il y avait déjà eu, ce week-end, samedi et dimanche, des échanges de tirs et des affrontements dans le nord du Mali à quelques dizaines de kilomètres de la ville de Kidal impliquant des miliciens du Gatia, un groupe favorable au pouvoir central de Bamako et des hommes de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA). De nouveaux combats ont été signalés, ce lundi 17 août, dans la même région mais dans une localité différente. Ils sont plus intenses que ceux des jours précédents. A la suite de cette violation du cessez-le-feu, la localité d’Anéfis est passée sous le contrôle de groupes armés pro-gouvernementaux. Il y aurait eu plusieurs morts.
Les combats ont repris, ce lundi, dans le nord-est du Mali avec beaucoup d’intensité, selon différentes sources contactées par RFI. Les deux derniers jours, ces combats étaient concentrés dans la localité de Diré, à quelques dizaines de kilomètres de Kidal mais ce lundi, les violents affrontements ont éclaté dans une autre localité, celle d’Anéfis, située à une centaine de kilomètres au sud de Kidal.
Après plusieurs heures d’intenses combats, cette localité stratégique située entre les villes de Kidal et de Gao, plus au sud, est tombée aux mains des groupes armés de la plateforme, vocable qui désigne les mouvements pro-gouvernementaux dans le nord du Mali.
Selon un porte-parole de la plateforme, il y aurait eu au moins une dizaine de morts dans le camp adverse ainsi que des prisonniers et des véhicules saisis ou brûlés..…….Lire la suite sur rfi.fr
Où est mon prère npf ?
Je t’amène ça pour lire et me dire ce que tu as pu comprendre en somme.
Ce taré de Madani Tall fuit les sites par peur d’être contredit :
Bonne lecture !
Madani TallParadoxes de l’immigration et du terrorismeD’entrée précisons que nul n’a le monopole d’aimer la démocratie. D’ailleurs connait-on un peuple qui aime la dictature et exècre la liberté. Aussi, ne s’agit-il pas de légitimer les régimes totalitaires abattus, mais de se demander si ceux qui guident la marche du monde font exprès d’obtenir des résultats contraires à ceux escomptés ou s’ils sont totalement dénués de bon sens ?Voici l’équation : Au delà de la stabilité économique et sociale, deux objectifs majeurs ont soutenu les politiques occidentales : Lutter contre le terrorisme et lutter contre l’immigration. Or chaque fois qu’une action d’envergure est entreprise, elle tend à aggraver le problème. Aussi n’est-il pas temps de voir que le paradigme actuel façonné par la vision du « génie » qu’était W mène droit au mur?Voici la constante : Les prétendues luttes pour la libération des peuples créent paradoxalement plus de terrorisme, plus d’immigration, plus de désordre plus de morts.Voici les variables :Soutenant les Talibans qui affrontent la Russie, l’Amérique arment ceux qui plus tard détruiront les statue multi-séculairedu Bouddha et donneront refuge aux terroristes du 11 Septembre.Accusant Saddam Hussein de posséder des ADM (Armes de Destruction Massives) ils causent des millions de morts, déplacés et orphelins, tout en fragmentant un pays laïc en fractions religieuses, ethniques, tout en détruisant les vestiges de Babylone.Poétisant sur Benghazi, les voilà tuant un autre dictateur, mais transformant la Libye en un vaste enfer, et alors que chaque libyen avait droit à sa maison, les voici morts ou en chute libre.Effets collatéraux ? Khaddafi n’est plus là pour freiner l’immigration. Ainsi, plus de morts, plus de clandestins en Europe. Et pour nous au Sud du Sahara ces effets ont dynamisé des rébellions sans souffles, engendrant le chaos au Mali et coupant nettout effort de développement.Insatisfait d’Assad, voici que l’on soutient une rébellion disloquant la Syrie : Au delà des morts, des centaines de milliers de réfugiés, des patrimoines mondiaux réduits en cendres, la naissance de DAESH qui transforme des dictatures laïques en dictatures de la terreur. La désolation pour les syriens et encore un afflux de terreur et d’immigrés pour l’occident.Effets collatéraux ? Les chrétiens qui vivaient en harmonie entre la Syrie et l’Iraq ne sont plus en sécurité et les Yezidis sont en voie d’extinction, tandis que plane une menace sur la stabilité de la Turquie avec la question kurde qui se réaffirme aux frontières de ces trois pays.Voici les éléments aléatoires ou stochastiques :Libérer un peuple doit-il être à n’importe quel prix, même si ce prix implique la mort de ce peuple ?Combien de morts justifient la chute d’un régime antagoniste ?Comment un palestinien juge t-il la Tunisie qui érige un mur la séparant de la Libye ?Le droit d’ingérence donne t-il le droit de créer plus d’orphelins que la non ingérence ?S’agit-il d’empêcher le développement ou de volontés de bien faire qui auraient mal tournés ?Est-il question d’engagement stratégique (cynique) pour le contrôle des ressources mondiales, la survit d’un système ? Ou simplement de mauvais calculs d’analystes aussi naïf que dangereux pour la vrai stabilité dans le monde ?Lorsque l’on sait que tout ces dictateurs étaient en fin de cycle et que ces peuples se seraient affranchis tôt ou tard comme le veut la marche de l’histoire des peuples, l’équation des prétendues luttes de libération comporte des paradoxes relevantou d’une naïveté navrante ou d’un cynisme terribles des nouveaux théoriciens du 21e siècle. Or cette vision simpliste n’apporte à long terme aucun gain à qui que se soit et au contraire menace l’avenir de tous.
Dieu veille.
Madani Amadou Tall
Chevalier de l’ordre National du Mali
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