Le Groupe d’autodéfense touareg Imrad et alliés (Gatia), qui vient de se créer dans le nord du Mali, affirme avoir officiellement demandé aux autorités maliennes et internationales de participer aux prochains pourparlers à Alger. Ils se disent opposés à l’autonomie du Nord et affirment qu’il « fallait nécessairement avoir un groupe armé afin de participer au processus de paix ».
Le nouveau groupe armé d’autodéfense (Gatia) qui a officiellement été créé cette semaine dans le nord du Mali assure avoir officiellement demandé aux autorités maliennes et internationales de participer aux prochains pourparlers de paix d’Alger, qui doivent reprendre le 1er septembre. Le Gatia, essentiellement composé de Touaregs de la tribu des Imrads que l’on trouve dans les trois régions du nord du Mali, est plutôt proche de Bamako. Il revendique un millier de combattants et se dit contre toute autonomie du Nord.
Le retrait des forces armées du nord
Joint par RFI, Fahad Ah Al-Mahmoud, secrétaire général du Gatia, explique que le groupe est « déjà en armes », mais qu’il ne compte pas les utiliser pour lutter contre l’Etat malien. Si le Gatia a pris les armes, affirme Fahad Ag Almahmoud, c’est « pour que les autres frères qui sont en armes ne nous dictent pas ce que l’on doit faire et ce que l’on ne doit pas faire. »
« L’un des éléments déclencheurs [de la constitution du Gatia, ndlr] a été le retrait des forces armées et de sécurité de la zone au nord de Gao. Nous sommes devenus des laissés pour compte », expose le porte-parole de ce nouveau groupe armé. Pour lui, « on ne peut pas être impliqués en tant que communauté tout court. Il fallait nécessairement avoir un groupe armé, comme tous les autres, afin de participer au processus de paix. »
Pas de réaction officielle à Bamako
Fahad Ag Almahmoud, qui ne cache pas que son mouvement se veut proche du général malien touareg El Hadj Ag Gamou, expose également le credo du Gatia : « Nous sommes Maliens. Nous ne demandons pas une division du Mali. Nous ne demandons pas plus que le développement pour le Nord. On est prêts à faire la paix avec tous nos autres frères qui ne partagent pas la même vision que nous, pourvu qu’ils nous respectent et respectent notre point de vue. »
Seront-ils considérés comme des interlocuteurs à part entière lors des prochains pourparlers ? Le ministre malien de la Réconciliation n’était pas joignable, ce vendredi. Aucune position officielle ne semble arrêtée pour le moment à Bamako.
par RFI
Le bout du tunnel est encore très très…loin. Avec la creation de groupes armés a chaque ca devient très dangeureux. Pour calmer cette tempête il faudra commencer coute que coute par le désarmenent rapide du mlna encore faire front commun au mujao, aqmi et tous leurs alliés. Le Nord sur une grande poudrière actuellement et ca risque d’eclater.
Ladji kabakoh et votre click, a Vous de rentrer en actions.
La gouvernance du “Baga Baga” ou le pari perdu d’IBK
Octobre 2013, moins d’un mois de son investiture internationale du 19 septembre 2013, IBK rentre précipitamment de Paris où il avait un agenda avec le Sénat français, pour faire face à la mutinerie du 30 septembre 2013 qui éclata à la place d’armes de Kati.
Fort de sa légitimité tirée des élections de juillet et août 2013, et assuré du soutien français, IBK mène d’une main de fer la gestion de la crise de Kati sans fausse note.
L’opération militaire “Sanya” menée dans la garnison de Kati pour y régner l’ordre et récupérer les armes en possession des mutins se déroula sans anicroche.
Dans la foulée l’adresse à la nation d’IBK du 2 octobre 2013 ne laissa aucune place à la légèreté ni au laxisme dont faisaient montre les autorités de Bamako face à la junte de Kati durant la transition politique.
“On ne me trimbalera pas” ou “Kati ne fera plus peur à Koulouba” sont entre autres formules qui édifieront sur la volonté du nouveau chef de l’état de donner un grand coup de pied dans la fourmilière de Kati.
La suite est connue et le juge Karembé se chargea du reste jusqu’à aujourd’hui et le procès des anciens hommes forts de l’ex junte militaire de Kati peut commencer d’un moment à l’autre.
La mise sous pas de Kati a été incontestablement un premier succès du régime IBK, mais elle a été aussi le trompe-l’œil qui précipita le régime IBK au bord du précipice auquel il se trouve actuellement.
En octobre 2013, l’ex junte militaire de Kati savait plus que quiconque depuis déjà 9 mois avec l’opération Serval et dans son sillage la Minusma, qu’elle n’était plus seul maître à Bamako comme cela fut le cas au moment où Dioncounda fut tabassé ou que Cheick Modibo Diarra fut contraint à la démission.
Sanogo le savait et cherchait à se caser dans un grade stratosphérique de général multi-étoilé pour se rendre indispensable dans la chaîne de commandement de l’armée.
Il voulait aussi se rendre fréquentable par les principaux partenaires du pays qui commençaient à revenir à la faveur du retour à l’ordre constitutionnel normal et qui n’ont pas apprécié du tout son coup d’état de mars 2012.
Mais ce n’était pas une si bonne idée que ça car ça s’apparenterait à un couteau à double tranchant.
Pour passer d’un grade de capitaine à celui d’un général 4 étoiles sous les grands manguiers de Kati et le tout en une matinée de conseil de ministres, il faut s’assurer que cela ne fasse pas des jaloux parmi la nuée de soldats analphabètes qui rodent tout autour et qui croient qu’avec le coup d’état ils ont droit de vie et de mort sur une nation et ses ressources.
Donc la mutinerie du 30 septembre 2013, capoter les plans de retraite dorée de Sanogo et remet sur le devant de la scène la nécessité d’enrayer les capacités de nuisance de l’ex junte sur le nouveau pouvoir d’IBK.
La rocambolesque arrestation en chaîne des hommes forts au sud du Mali de 2012, conforta IBK dans son fauteuil de président de la république et le met à l’aise devant ses pairs africains et dans la gestion de la crise du nord.
L’assurance qu’il en tient, l’amène à maintenir la pression.
“Je ne négocierai pas avec les hommes en armes” ou “Aucun rebelle ne peut se hisser à ma hauteur” sont entre autres déclarations qu’il affectionnait.
Mais IBK a semblé oublier que si Sanogo (dont il a eu raison) était dans l’inconfort au sud du Mali avec l’opération Serval et la présence militaire étrangère au Mali, “les rebelles” ou plus singulièrement le Mnla était dans le confort au nord de notre pays justement par la présence de Serval et des troupes étrangères chez nous.
Ce n’était donc pas la même recette qui pouvait fonctionner contre l’ex junte et contre les groupes armés qui écument le nord du Mali.
Pour faire plier les groupes rebelles ou leur déloger il fallait plus que le “Baga Baga” sur fond de présence de Serval et de la Minusma, il fallait une armée malienne opérationnelle aidée par un renseignement voir un contre espionnage autonome et indépendante et de Serval et de la Minusma.
Mais hélas l’armée malienne qui fut portée littéralement dans le dos de Serval en janvier 2013 pour la libération de Gao et Tombouctou des mains des narco djihâdistes , est restée comme un bébé dans les jupons de Serval et de la Minusma, elle n’a pas grandi au nord du Mali.
Le président IBK n’a pas concrètement augmenté de manière significative sa capacité opérationnelle ni dans les airs ni au sol.
Pire le commandement militaire a semblé faire savoir que c’est Serval qui l’empêchait de se déployer sur tout le territoire malien négligeant au maximum les capacités de nuisance des groupes armés en face au nord du pays et nageant dans du faux comme d’habitude.
Dans cette situation, le pari d’IBK était de faire plier les “rebelles” en pointant le doigt dans l’air pour proférer des menaces et en voyageant luxueusement dans des beaux avions pour donner l’impression d’une fausse grandeur et marquer les esprits.
Mais mal lui a pris car son premier premier ministre, Oumar Tatam Ly, qui a semblé être plus lucide et plus réaliste que son successeur en annulant un premier voyage controversé à Kidal, démissionne.
Son successeur avait d’autres agendas qui occultèrent complément le volet “capacité militaire de l’armée” et donnèrent toute la place à la communication politique.
Mais la communication politique marche si elle est suivie de succès de la politique.
Du moment où sa finalité rime avec échec et cacophonie cela produit plutôt l’effet inverse.
“Nous avons des armes qui nous permettent aujourd’hui de faire de Kidal ce que nous voulons” disait Moussa Mara.
Non monsieur le premier ministre ce ne sont pas les armes qui comptent le plus mais la capacité de nos troupes de les utiliser à bon escient.
Et en mai 2014 ce n’était pas le cas car le renseignement qui complète le dispositif militaire a semblé faire scandaleusement défaut à l’armée à Kidal.
Le manque de visibilité sur l’ennemi était patente et l’armée s’est jetée dans la gueule du loup.
C’est ce qui s’est passé en mai 2014 avec la cuisante défaite militaire de l’armée malienne à Kidal où nos soldats en détresse rasaient les murs Minusma pour avoir la vie sauve.
IBK et son premier ministre ont été obligés de se faire petits après tant de fanfaronnades et de jeter l’opprobre de la défaite sur l’armée.
Dans la foulée, les opposants politiques et la société civile trouvent subitement une place dans la stratégie de Koulouba de recherche de solution au problème du nord alors que cela n’était pas le cas au début du régime.
La question fondamentale qu’on doit se poser à ce niveau est de savoir pourquoi le pouvoir a voulu faire cavalier seul dans la gestion de la crise du nord et surtout pourquoi il a semblé sous estimer les capacités militaires de l’ennemi et surestimer celles de l’armée?
La seule explication possible pour un pouvoir qui ne s’est pas donné le temps d’une analyse en profondeur d’une crise sécuritaire gravissime, est qu’il a voulu jouer à l’effet “d’optique” pour espérer affaiblir psychologiquement ses adversaires.
La technique n’a pas fonctionné à Kidal car le minimum nécessaire n’était pas assuré du côté de l’armée.
Mais problème, les ingrédients de la technique:
-voyages interminables dans du avion neuf et très cher pour se donner une certaine fausse grandeur,
-et le parler beaucoup pour impressionner,
commencent à rattraper le régime.
Le FMI, la banque mondiale et l’Union Européenne demandent des comptes et des explications et il n’y a pas beaucoup à donner du côté de Koulouba et de L’ACI 2000 ou se trouve le ministère des finances à Bamako.
En attendant le Mali est privé du décaissement des fonds du FMI et de l’Union Européenne avant une décision en septembre 2014.
La gouvernance du “Baga Baga” n’a pas marché au nord et nous avons été privés de sous de nos principaux bailleurs de fonds.
C’est le pari perdu d’IBK de ces 11 derniers mois de pouvoir au Mali.
Wa salam.
Vous avez raison, tant que le Mnla n’est pas désarmer, il faut pas que vous laissent les armes si vous êtes avec Bamako bravo vous êtes des patriotes et bon courage on est avec vous
Honte encore honte à ses accords d’Alger ,tamarasset,ouaga,assises parci par là,forums et voilà que l’impunité et la récompense du crime deviennent sources de revenue.je dis bon vent à gatia et à d’autres qui s’en suivront salam
BRAVO GATIA. Toutes mes felicitations et toutes mes benedictions pour cet acte de patriotisme. Que Dieu vous benisse et vous protege. Vous devez etres armes aussi comme les autres ou tout le monde sauf l’armee nationale doit etre desarme. Nous observons la reaction de la Communaute Internationale vis-a-vis de votre decision et vos requetes. POUR UNE JUSTICE, VOTRE DEMANDE DOIT ETRE AGREEE A 100% SI ON VEUT REELLLEMENT PARLE DE FAIR PLAY. TOUTE AUTRE DECISION CONTRAIRE SERAIT PARTIALE ET ANTI DEMOCRATIQUE. Souvent cette meme Communaute Internationale qui nous donne des lecons est partiale dans ces agissements. Mais elle doit savoir que ce n’est pas elle qui doit decider de notre destin a notre place; meme si la plupart des dirigeants africains est irresponsable. Si vraiment on est preoccupe par le Bonheur du Mali, tout le monde doit etre mis sur le meme pieds d’egalite. Sans cette approche, nous serons assis sur un volcan qui explosera un jour.
C est vraiment Bizarre comment ils font pour avoir autant d argent. ils sont mal payés tout simplement
The IBK administration in Mali: Why we are critics?
En aout 2013, le monde entier se félicitait de l’achèvement du retour à l’ordre constitutionnel normal au Mali et accourait à sa rescousse pour l’abreuver par des ressources financières et techniques de toute sorte.
La communauté internationale promettait déjà 3,2 milliards d’euros d’aides au pays pour lui permettre son retour dans le concert des nations et se consacrer à son développement.
Le régime IBK, issu des urnes des plus belles manières, comme il est rare en Afrique, attirait sympathie et à travers lui le peuple malien, quoique éprouvé par deux longues années de crises sécuritaires et institutionnelles, forçait le respect après moult humiliations.
La manifestation la plus flagrante de ce respect et de cet estime fut, entre autres, la visite à Bamako de la directrice générale du FMI, du président français, du roi du Maroc et une nuée d’autres chefs d’État africains.
Mais très vite le président IBK a cru bon de voir en cet engouement international pour le Mali une opportunité de s’adonner à ses vieux fantasmes du luxe inutile et mégalomane.
D’interminables voyages d’apparats en jets privés très coûteux, marchés publics douteux et/ou truqués de plusieurs dizaines voire de centaines de milliards se succèdent comme par enchantement.
Les préoccupations du pays, la paix au nord et le développement, sont repoussés aux calendes grecques.
Les négociations avec les groupes armés ont été négligées alors qu’aucune option de remise sérieuse de l’armée en ordre de bataille n’est entamée.
De l’autre côté, le régime IBK continue avec des déclarations mensongères pour masquer les réalités du pays à coup de grandes envolées lyriques.
Le départ rocambolesque d’Oumar Tatam Ly de la primature et le voyage forcé de son successeur à Kidal, témoignent de la cacophonie et du pilotage à vue auxquels nous gratifie le régime IBK depuis maintenant 11 mois.
La boulimie de disposer de façon légère l’argent public gracieusement prêté par les autres nations à notre pays et à un rythme proche de celui de la vitesse de la lumière, irrite d’abord les institutions de Bretton Woods, puis l’Union européenne et les travailleurs de l’UNTM.
La relation controversée du régime IBK avec les bailleurs de fonds est présentée par une communication approximative de la présidence de la république comme un non-lieu total auquel l’opposition politique du pays s’arc-bouterait sans raison valable.
Mais quand les décaissements du FMI, au profit du Mali, sont réellement suspendus jusqu’en septembre 2014, le régime IBK, toute honte bue, reconnaît les faits et essaie de nous dire que les dépenses de prestige incriminées par les Chicago Boys de Washington, n’étaient pas l’argent des partenaires financiers mais bien un emprunt public auprès d’une banque nationale.
Mais je rêve ou quoi?
Un crédit intérieur ou extérieur influe sur la solvabilité d’un État qui s’endette car il augmente ses engagements envers les tiers.
Tout banquier qu’il soit privé, public, bilatéral ou multilatéral, ne peut négliger cet aspect du diagnostic financier (surtout si les dépenses financées par l’augmentation de l’endettement public ne sont pas créatrices de richesses ni aujourd’hui ni demain) au risque de s’exposer gravement et durablement à une défaillance de son portefeuille de crédit.
Que cela ne soit pas compris à l’Hôtel des Finances au Mali, ni dans l’entourage du président IBK, est une préoccupation grave.
Il démontre que nos autorités actuelles n’ont aucune expertise financière crédible en plus de leur pilotage à vue du pays.
Donc nous avons deux problèmes fondamentaux avec le régime IBK:
-Un premier problème de management d’Etat
-Et un second problème technique de compréhension des mécanismes financiers et des concepts de rentabilité qui doivent sous-tendre la “priorisation” des dépenses publiques.
Le premier explique l’absence de vision politique et de planification rigoureuse pour le concrétiser.
Le deuxième explique la cacophonie et l’amateurisme ambiant qui polluent toutes bonnes relations du régime, sapent ses avantages et opportunités et multiplient ses faiblesses et échecs.
Sur le plan de la défense nationale et de la sécurité, ces échecs sont visibles partout.
Pas seulement la mémorable défaite militaire de Kidal de mai 2014, mais essayez de vous aventurer à une vingtaine de kilomètres de Gao ou de Tombouctou et vous mesurerez par vous-même cet échec patent du régime IBK en matière de défense nationale et de sécurité dans notre pays.
Les négociations en cours précipitamment reprises à Alger dans le sillage de la bérézina de Kidal (et encore suspendues à la demandes des groupes armés, le Mnla jouant la technique de “Stop And Go” avec le gouvernement malien), sont une autre illustration de l’amateurisme et du pilotage à vue version IBK.
Le Mali s’en va en négociation au moment même où il a la côte la plus faible et la marge de manœuvre la plus étroite de l’histoire.
Et pire, il n’a plus la confiance de ses partenaires internationaux.
Dans cette situation que faut-il faire?
Il faut très vite restaurer la confiance en montrant pattes blanches:
-Annuler les dépenses inutiles et de prestige et respecter les engagements de bonne gouvernance de l’État.
-Tracer un cap clair de gouvernance et un planning d’exécution sans équivoque des objectifs dans tous les domaines.
-Chercher les compétences les plus aptes à relever les défis dans tous les bords politiques et sociaux du pays.
-Remettre les maliens au travail par des investissements productifs de l’argent public et en tendant la main au secteur privé qui mène une activité saine et créatrice de richesses et d’emplois.
-Faire la promotion du mérite dans tous les milieux professionnels et bannir les promotions familiales dans la gestion de l’État.
-Arrêter avec le faire semblant dans la lutte contre la corruption et le gaspillage de l’argent public.
Sans ces préalables, aucune confiance ne sera restaurée à cours terme avec les partenaires techniques et financiers et les partenaires sociaux.
Et surtout le pays court droit à un nouvel effondrement de l’État car sans l’aide étrangère et un contrôle strict des dépenses publiques, c’est la cessation des paiements garantie avec toutes les conséquences explosives sur le plan social que cela impliquerait.
Wa salam.
comme d habitude vos analyses sont pertinentes mais je crains qu’elles ne tombent dans des oreilles sourdes
il etait temps ,que votre voix soit entendu ,le nord est aussi le maliba ,pas d,autonomie ,ni division ,c,est ensemble que la solution sera trouvé :j,invite aussi a tous mes freres et soeurs sonrhai ,d,y prendre part ,car le monde n,est le meme qu,au temps de nos anciens ,c,est en etant uni et fort ,qu,on se fait entendre ,:unissez -vous et dites ""non et non """ a l, autonomie ,car c,est vous les sonrhai qui seront sacrifier ,et vous deviendrez des moins que rien de ces bandits armées ,alors levez-vous les kois ,pour ne pas subir la dictature des autres ;c,est le prix de la paix et de votre futur :nous avons la majorité absolu au nord ,alors pourquoi se laisser faire !!!!mettez vos querelles absurdes de coté ,changez vos esprits ,unissez ;unissez-vous et faites entendre votre voix ,meme s,il faut se battre ,je vous fait confiance en la matière ,bouyan bah hawi !!!!!un sonrhai ne se laisse jamais ;jamais au grand jamais faire :avez-vous oublier la bravoure de nos anciens !!!!!!!!!
bravo GATIA car par votre composition vous representez le nord ,je demande a tous les hommes en age de se battre a gao et tombouctou de vous rejoindre car vous etes la seule alternative a la fuite de <<la vaillante armee du mali<< et contre les visees de domination des groupes apatrides du mn..
Tout cela est très inquiétant.
Pourquoi tant de groupes armés?
C’est dangereux pour un pays souverain d’avoir plusieurs groupes armés sur son sol.A part l’armée et les forces de sécurités nationales,il ne devrait y avoir aucun autre groupe armé sur le territoire national.
J’ai l’impression qu’il se forme un groupe armé chaque semaine dans notre pays.Si les responsables politique et les décideurs ne mettent pas un frein à tout ça,c’est la somalisation du Mali qui est en route.
Gouverner c’est prévoir.D’où proviennent toutes ces armes dont se servent tous ces groupes armés?.De tous ces groupes armés,chaque groupe armé est financé par qui et qui?. Autant de questions qui restent malheureusement sans réponses.
la seule maniere d eteindre un feu c est un contre feu,il faut plutot s inquieter des groupes qui menacent l unité nationale et non des mouvements qui ont le mali en sympathie
Combien de villes…, pardon combien de camps militaires vous contrôlés?
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