GENEVE – Les cas de représailles à l’encontre des Touareg et des communautés arabes dans le nord du Mali ont diminué depuis la mi-mars, a affirmé mercredi l’ONU à Genève, relevant toutefois une persistance des violations des droits de l’Homme.
“Les cas de représailles commises par les forces maliennes et la population locale à l’encontre des Touareg et des communautés arabes ont diminué depuis la mi-mars”, a déclaré la Haut-Commissaire adjointe aux droits de l’homme de l’ONU, Flavia Pansieri, devant le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies.
“Néanmoins, les risques de représailles à l’encontre de ces communautés restent importants (…), ce qui peut constituer un obstacle majeur au retour et à la réinsertion de ceux qui ont fui”, a-t-elle ajouté.
Mme Pansieri s’exprimait lors de la présentation du dernier rapport du Haut-Commissariat sur la situation au Mali, un document qui ne donne pas d’évolution chiffrée de ces représailles.
Dans ce rapport, le Haut-Commissariat explique que l’amélioration progressive de la situation sécuritaire dans le nord du pays a permis à ses équipes de se rendre dans des zones qui avaient été inaccessibles, du côté de Konna, Mopti, Sévaré, Tombouctou, Gao, Tessalit et Kidal.
Il note toutefois que la situation des droits de l’Homme reste “précaire” dans le nord du pays, citant “des atteintes au droit à la vie, des disparitions forcées et des cas de torture, d’arrestations et de détentions arbitraires”.
Le Haut-Commissariat, qui a déployé une mission sur le terrain pour enquêter sur ces violation, les attribue aux groupes armées – notamment le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA, rebelles Touareg), Ansar Dine (Défenseurs de l’islam) et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) – mais aussi à des éléments de l’armée malienne.
Ces nombreuses et graves violations perpétrées depuis janvier 2012 sont “les conséquences d’une impunité cyclique qui s’inscrit dans une longue tradition de violence et de crimes commis durant plus de 20 ans de périodes de conflit dans le pays”, assure-t-il.
ils ne doivent pas oublier les violations faitent contre les noirs a KIdal il ya juste une semaine.juste un rapel…..bonne journee 😆 😆 😆 le mnla continue jusqu,a present son racisme anti noir ,il faut que justice soit rendu au soldat sauvagement egorge a aguelhoc …vive le Mali de kaye a kidal.
It has been more than 20 years that tuaregs were fighting for their rights, and existance as human beings. Clearly, it is hard to get the human rights understand that tuaregs lived for long time in more than slavery. For example, in Bamako when you are sick, and go to the doctor, you have to wait until all blacks people get in before tuareg sees the doctor. Sometimes, you would have to wait 4 hours, even though you came early in the morney. In addition, some of the blacks people call tuareg slaves. Moreover, in the North of mali, there is not good schools, or universities for its population. So, to make it very hard for the people get educated, Bamako didn’t build any good schools, or universities in the North of mali. In the North, people are poor so they can’t afford send their children to Bamako to get a good education.
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NEARLY ALL MALIANS ARE POOR AND NEGLECTED BY SUCCESSIVE GOVERNMENTS
I AS A NORTHERNER CAN VOUCH THAT THE WESTERN REGION HAS IT EVEN BADDER THAN THE NORTH
IT SEEMS YOU ARE VERY MISINFORMED ABOUT OUR DEAR MALI SO PLEASE SHUT YOUR MOUTH
THOSE WHO TOOK UP ARMS AGAINST THE STATE NEED TO BE PUNISHED
Par des propos mensonger, vous préparez la disparution des communautés touaregs. Vous êtes le premier énémi des touaregs. Pendant les 20 dernières années, nos frères touaregs ont dirrigé le Mali, car décideurs dans lahaute sphère de l’Etat (Présidence de la République, Premier Ministre, Ministres à la tête des Départements les plus stratégiques, Députés, Préseidenc du Haut Conseil des Collectivités Territoriales, Maires, Conseilleres municipaux, Présidence des Organisations Professionnelles, Conseil Régionaux, etc.). De grâce, un peu de respect pour nos frères des autres commuautés qui représentent 99,99% de la population malienne. La justice doit se faire et se fera obligatoirement. Tous les AG de Kidal à Kayes, répondront de leurs actes. Tous les dignitaires fautifs des accords bidons répondront de leurs actes. L’impunité est terminée. Nous n’allons plus rien accepté que la justice égale et équitable pour tous. En bon entendeur.
POur être crédible, ce rapport doit préciser que l’essentiel des représailles contre les arabes et les touaregs, sont le fait …….des arabes et des touaregs eux-mêmes qui se sont fait la guerilla.
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