Des échanges de tirs ont été entendus dans la nuit d’hier à aujourd’hui à Tombouctou, ville du nord-ouest du Mali, après une tentative d’infiltration d’hommes armés, a-t-on appris de sources concordantes.
“Depuis cette nuit, nous entendons des coups de feu à Tombouctou. Il y a eu une tentative d’infiltration, et des coups de feu sont tirés”, qui ont désormais baissé d’intensité, a déclaré à l’AFP par téléphone un responsable du gouvernorat de la ville. “Une voiture avec des gens armés a tenté de rentrer par force à Tombouctou dans la nuit de mercredi à jeudi. Et les militaires français et maliens ont riposté”, a affirmé une source sécuritaire malienne sur place.
“Une voiture avec des gens armés a tenté de rentrer par force à Tombouctou dans la nuit de mercredi à jeudi. Et les militaires français et maliens ont riposté”, a affirmé une source sécuritaire malienne sur place. “Actuellement, on entend encore quelques coups de feu”, a-t-elle confirmé.
Cité mythique au patrimoine culturel inestimable, Tombouctou a, comme les autres grandes villes du nord du Mali, été libérée fin janvier par des troupes françaises et maliennes de l’emprise des groupes islamistes armés qui contrôlaient la région depuis l’an dernier, y commettant exactions et destructions de mausolées au nom de la charia (loi islamique).
Depuis lors, la situation y demeurait calme, contrairement à la région de Gao (nord-est) et surtout au massif des Ifoghas (extrême nord-est), où se concentrent depuis plusieurs semaines les combats entre soldats français et tchadiens d’un côté, éléments jihadistes de l’autre.
lefigaro.fr/
Mali. Une voiture piégée explose à Tombouctou, deux morts
Une voiture piégée a explosé dans la nuit de mercredi à jeudi près de l’aéroport de Tombouctou, dans le nord-ouest du Mali, tuant un « jihadiste » et un militaire malien, a-t-on appris de source militaire malienne.
« Un véhicule piégé a explosé dans la nuit vers l’aéroport de Tombouctou, blessant trois militaires maliens », a déclaré cette source, ce qu’a confirmé une source sécuritaire régionale. Un peu plus tard, la source malienne a affirmé : « le jihadiste qui a actionné sa ceinture (d’explosifs) a été tué sur le coup, et l’un des militaires maliens blessés après l’explosion de la voiture piégée vient de mourir à l’hôpital ».
Plus tôt, des témoins avaient évoqué des tirs nourris dans la ville après une tentative d’infiltration d’hommes armés.
ouest-france.fr/
vous mentez il n’y a aucun doublon
que leur âme repose en paix touts ct brave soldat qui tomberont au mali
au Mali meme les djihadistes sont mauvais : un attentat à la voiture piègée = 2 morts 🙄 🙄
en Irak ,Afghanistant ou Pakistan , une voiture piégée = 50 morts
ENTRAINEZ VOUS LES GARS 😆 😆 😆 😆 😆 😆
An I du coup d’état de Sanogo : Le Mali, un champ de ruines
Publié le jeudi 21 mars 2013 | Le Pays
On n’en finirait pas d’égrener les variations sémantiques et langagières pour évoquer le souvenir du coup d’Etat perpétré par le capitaine Sanogo au Mali, il y a juste de cela un an.
Ainsi, on utilise pour expliquer et comprendre l’acte du capitaine Sanogo, pêle-mêle, les termes désastre, tragédie, catastrophe, etc. Au fur et à mesure que progresse notre connaissance des raisons avancées, à l’époque, pour justifier ce coup d’Etat, s’aggrave du même coup un sentiment de déréliction. Ainsi, tous ceux qui entendent en finir avec le cauchemar Sanogo sont rattrapés par lui. Chez Heidegger, il y a déréliction lorsque, chez un individu, le passé l’a trahi, le présent est illisible, suffocant, et quant à l’avenir, il ne sait pas de quoi il sera fait. Telle est actuellement la condition existentielle du peuple malien depuis le 22 mars 2012.
Qu’est-ce qui différencie le désastre du champ de ruines ? D’emblée, qui dit désastre, dit rédemption. Désastre et rédemption sont des notions théologiquement marquées. C’est pourquoi, en ayant recours à elles, on ne peut ni expliquer, ni comprendre un événement strictement historique, comme le coup d’Etat de Sanogo.
D’où la pertinence du choix de la formule « champ de ruines », qui montre que nous sommes, avec ce coup d’Etat, face à l’initiative pensée et mise en œuvre d’un individu ou d’un groupe d’individus, et dont toutes les conséquences doivent et peuvent être analysées à la lumière de la raison raisonnante.
Dans le champ de ruines, il y a aussi et surtout l’idée d’un certain monde qui a disparu grâce aux actions des hommes. Et, tout souvenir comporte la trace dont on se souvient et aussi l’acte de s’en souvenir. Il est important de faire de cet anniversaire du coup d’Etat du 22 mars 2012 contre le régime ATT, un moment de mémoire solennel pour les générations futures malienne et africaine. Evidemment, il convient de dire un mot sur l’auteur et l’acteur de ce coup d’Etat, le capitaine Sanogo, au regard des actes qu’il a posés et continue encore à poser sur la scène malienne.
Dans la tradition biblique, par exemple, des prophètes accusent parfois leur Dieu de les avoir « séduits », ils étaient tranquilles, dans leur coin, et voilà qu’il leur envoie des visions pour les troubler. Avec son coup d’Etat, Dieu a laissé Sanogo « séduire » une frange du peuple malien ainsi qu’africain. Or, en moins d’un mois le Mali allait connaître et expérimenter, de nouveau, une alternance politique pacifique, une denrée très rare sous nos tropiques. ATT avait décidé de quitter et de s’effacer de la scène politique. Le pays continuerait à enraciner les vertus démocratiques, suscitant l’admiration du monde entier. A l’heure actuelle, il y a encore des Maliens qui osent se fier ou se confier au lugubre capitaine de Kati.
Mais, très sérieusement, cet homme a trahi Dieu avant de trahir son peuple. Et tout le monde sait, désormais, que le capitaine Sanogo est un assoiffé de pouvoir, pris dans un surinvestissement narcissique : il fait parler Dieu en lui et pense qu’il est devenu son propre Dieu si ce n’est Dieu lui-même. Bamako est même devenu son petit temple portatif, dont il croit d’ailleurs qu’il est le fondateur de cette mythique cité, puisqu’il y fait régner, avec son gang et son club de supporteurs, sa loi, c’est-à-dire ses humeurs et ses caprices. En vérité, on finit par se demander si ce petit potentat s’imagine être né de lui-même et être le créateur ou le fondateur du Mali. Et, il n’est pas sûr qu’en revenant, miraculeusement, parmi nous, à l’heure actuelle, Soundiata Kéita réussira à lui faire entendre raison.
N’être pas fiable, de façon absolue, c’est engendrer le chaos. Or, depuis le coup d’Etat du 22 mars 2012, le Mali baigne dans une lumière noire, même si ici, la voix de Dieu ne se fait entendre que dans le cœur honteux et silencieux des Maliens. Un an après ce coup d’Etat, le capitaine Sanogo a ruiné le Mali et il a surtout réussi l’exploit de transformer ce beau et magnifique pays en un vaste champ de ruines. Et, il fallait être vraiment naïf pour penser, qu’avec ce coup d’Etat, le Mali allait faire, sur tous les plans, un bond en avant. Au contraire, ce coup d’Etat a figé le pays au niveau le plus médiocre de son existence collective, mis en danger les fondements même et les acquis de la démocratie malienne. Sur le plan politique, la classe politique et la société civile restent profondément divisées sur le cas Sanogo. Et c’est là que nous nous rendons compte que seule la sphère politique nous fait apercevoir les profondeurs du cœur humain. Or, pour stopper cette spirale politique désastreuse engendrée par le coup d’Etat, tous les Maliens de bonne volonté doivent unir leurs forces. Car, s’ils n’adoptent pas, à temps, une attitude imprégnée d’un profond sens de l’honneur, tous les Maliens, avec Sanogo, descendront dans la même fosse. Comme l’amour, la démocratie est un parcours, avant tout, un parcours à obstacles, et parfois monstrueux. Mais ce parcours suppose une direction en vue d’atteindre un idéal collectif. La démocratie suppose, enfin, une mémoire notamment celle du coup d’arrêt que lui a porté le capitaine Sanogo.
Le peuple malien ne peut penser son présent, préparer son avenir sans se souvenir de ce coup d’Etat. A l’heure actuelle, Sanogo a procédé à un noyautage de l’Etat avec son petit club. Homme irrémédiablement abruti, Sanogo a instauré à Bamako, ce que nous nommerons ici une méthode sadique d’humiliation du Malien. C’est au nom de cette méthode qu’il s’attaque à la presse libre et indépendante qui l’empêche justement de continuer à persévérer dans son entreprise de dévastation ruineuse du Malien. Oui, il faut débarrasser le Mali de ce « traître » à la nation. Son coup d’Etat est un crime commis contre le peuple malien. Le jour viendra où il devra être traduit en justice. Sur le plan militaire et stratégique, rappelons que, même si l’armée malienne était, à l’époque en grande difficulté face au MNLA, c’est bel et bien le coup d’Etat du 22 mars 2012 qui a créé un climat très favorable aux menées et aux aventures djihadistes. Et depuis le déclenchement de la guerre au Nord du pays pour libérer la totalité du territoire malien, par les armées malienne, française et tchadienne, on attend toujours les hauts faits de guerre du capitaine de Kati, contés un jour par les griots. Fidèle à lui-même, Sanogo avait réussi à divertir les Maliens, bien avant l’opération Serval, en se présentant à eux comme le bâtisseur de leur avenir, et ce, grâce à son pseudo-nationalisme tapageur. Avec le temps, on découvre, qu’il n’est qu’un petit Pétain tropical mal déguisé, lui qui a eu le culot de se comparer à travers les colonnes d’un grand quotidien français, au général De Gaulle.
Sur le plan moral, le Mali d’aujourd’hui, après le coup d’Etat de Sanogo, est une nation humiliée. Les Maliens se demandent ce qu’ils ont bien pu faire à Dieu pour être accablés par cette situation aussi absurde créée par le coup d’Etat de Sanogo. Car, c’est tout un chapitre glorieux de leur riche histoire politique qui s’est brutalement refermé. Soyons clairs : il existe encore, en Afrique, une multitude de Sanogo. Comme lui, beaucoup de militaires rêvent d’investir la scène politique, faire des affaires et gagner beaucoup d’argent. Non, l’Afrique doit avancer, donc combattre et vaincre cette vision belliciste, mercantiliste et mortifère de la politique. La vie des filles et fils d’Afrique est la plus haute des valeurs et l’on ne saurait accepter que des aventuriers d’une autre époque en fassent le sacrifice aveuglément. Sauf lorsque son sens est en cause. C’est pourquoi, à Bamako ou ailleurs, aucun Malien ne doit et ne peut vivre pleinement et humainement sous la loi de la jungle que tente d’imposer le capitaine Sanogo.
Il y a des hommes avec qui on peut dialoguer et il y en a avec qui on ne peut pas dialoguer. Sanogo est un de ces hommes avec qui on ne peut pas dialoguer. Il doit être mis hors d’état de nuire. Mais les Maliens réussiront-ils à accomplir ce qui, à l’heure actuelle, semble relever du miracle ? Et s’ils ne veulent pas le faire, comment leur pays, si humilié par Sanogo, pourra-t-il, un jour, se lever et se mettre de nouveau en marche ? Quoi qu’il en soit, il leur appartient de devenir maîtres d’eux-mêmes, de devenir ce qu’ils sont.
@DIOPGALSEN ……….çà ne fait pas des mois mais des années qu’AQMI s’est installé petit à petit au Mali . Abou Zeid s’est installé en 2002 et s’est fait construire une bellee villa au vu et au su de tout le monde 😉 😉 ils n’avaient pas besoin de se cacher ,la porte etait grande ouverte !!! ATT ,les ministres ,les militaires ,la police ,tout le monde etait au courant ! Dans la region deTombouctou ils ont épousé des filles du coin et fait des enfants pour avoir des liens familiaux !! personne ne peut dire qu’il ne savait pas ❗ ❗
L’erreur du Mali, de la CEDEAO et de toute la communauté internationale c’est d’avoir laisser les “fous de Dieu” se fixer au nord Mali pendant des mois sans réagir.
Ils ont eu tout le temps de s’organiser, de tisser même des relations d’affinités avec certaines populations, de cacher des armes dans le désert…. sans compter les nombreux points de repli qu’ils ont eu le temps d’identifier. C’est dire que la guerre se gagnera au sol et qu’il faut que toutes les armées présentes s’y emploient.
il faut que l’armée fasse très attention tous les civils rencontré aujourd’hui dans le désert à partir de Bambaramaoudé , Gouma jusqu’à Tenza sont des terroristes ne les faites pas confiance; arrêtez les jusqu’à preuve de contraire ce sont traitres .
C’est vous sal koyrakoy qui est traitre en disant tout civil dans le desert est suspect,en connaissant bien les nordistes,ils veulent suivre leur troupeaux dans le paturage et les oueds,je sais même pas comment te qualifié.
il faut que l’armée fasse très attention tous les civils rencontré aujourd’hui dans le désert à partir de Bambaramaoudé ,Gouma jusqu’à Tenza sont des terroristes ne les faites pas arrêtez les jusqu’à preuve de contraire ce sont des perfides .
Paix à votre âme et du courage pour tous les autres qui sont au front, j’espere que les complices de ces gens doivent savoir que tôt ou tard ils seront arretés.
Il est temps que les abrutis internautes de maliweb raisonnent. Le nord est la partie des touaregs, arabes et songhoi. Les bamabara ont leur patrie, sauf s’ils veulement être volontairement appatrides.
Et qu’ils sachent que l’Azawad ne sera plus jamais sous leur impitoyable domination IN CHAA ALLAH.
le Mali est composé de bambara ;sonraï,peulh;touareg;bella et tant d’autres.
Sache idiot que le Mali n’a pas une région du nom Azawad ou azamerde et Tombouctou,Gao et Kidal ne sera jamais au raciste touareg.
le terrorisme touareg est international, mais seulement ça vient de commencer par le Mali.
Azawadi, demain matin qu’on aille voir un médecin pour toi.
Ces fous de Dieu n’arreterons pas d’harceler la population avec des attaques sporadiques tant qu’ils ne seront pas reduits extermines pour le bon. De coeur avec vous tous braves soldats et bon courage.
Le MNLA PERD SON TEMPS
Mes condoléances à la famille de militaire décédé.
Ces chiens de terroristes affamés sont aux abois. Ce n’est pas par bravoure qu’ils agissent de la sorte mais, par d’espoir.
Nous vaincrons.
Vive le Mali et ses alliés.
verser son sang pour la patrie est la plus precieuse des choses. Hommage a tous les soldats qui ont peri pour la defense de la raison de vie de notre nation il faut que les maliens restent souder derriere l armee malienne
Comme les militaires français tombés, j’imagine qu’on nous presentera cette fois ci les photos de nos siens, les braves, afin que le peuple meurtri puisse au moins les benir?
Voilà, tous ceux qui critiquaient l’armée malienne d’exaction alors que c’est plutôt des complices bien connu de tous qui sont arrêtés ou des civils avec armes et après se passent comme victime.
Nous vous soutenons dans votre deratisation du nord!
NOUS saluons le reportage d’hier soir du journaliste de l’ortm qui doit faire couper la parole aux bandits d’ong soit disant droit de l’homme, les touaregs ont affirmé qu’ils n’ont jamais été victime d’exaction!!!!
j’ai posté l’info deux heures avant maliweb 😉 😉
Bon courage, nos militaires français et maliens. Il faut que la population malienne aussi collabore avec l’armée dans les informations.
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