Mali: deux civils tués, six soldats blessés dans une attaque à Tombouctou

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Attentat

 

Bamako (AFP) – Deux civils ont été tués et six soldats blessés samedi à Tombouctou, dans le nord-ouest du Mali, dans une attaque suicide contre un camp de l’armée, signe d’un regain de violences dans le pays qui a mené, avec l’appui de troupes franco-africaines, une guerre contre des jihadistes.

 

 

C’est la troisième attaque suicide de l’histoire de Tombouctou, ville mythique à 900 km au nord de Bamako, qui avait été secouée par deux fois en mars 2013 par des attaques kamikazes. La cité avait été occupée plusieurs fois en 2012 par des groupes jihadistes dont Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui en ont été chassés fin janvier par des soldats français et africains.

 

 

Samedi, des kamikazes à bord d’un véhicule ont ciblé le camp de l’armée malienne situé dans le centre-ville, selon un soldat malien et une source militaire africaine au sein de la Minusma, la mission de l’ONU au Mali, jointes sur place et qui ont parlé de deux assaillants.

 

 

L’attentat suicide a eu lieu “aux environs de 13H00 (locales et GMT)” et il a été commis “par quatre terroristes”, faisant six morts: “deux civils et les quatre terroristes qui ont été tués sur le coup”, a affirmé le gouvernement dans un communiqué samedi soir.

 

 

Il a également annoncé “six soldats blessés” et indiqué que “la déflagration a entraîné d’importants dégâts matériels”.

 

“Je condamne fermement ce type d’attaques, elles sont inacceptables”, a réagi dans un communiqué Bert Koenders, représentant du secrétaire général des Nations unies au Mali et chef de la Minusma, en réitérant le soutien de sa mission aux autorités maliennes pour la restauration de la paix et de la stabilité sur tout le territoire.

 

 

Le gouvernement malien a rappelé que cet attentat est survenu au lendemain d’une attaque ayant visé des militaires maliens dans une autre ville du Nord, Kidal, chef-lieu de la région du même nom.

 

 

Des hommes armés non identifiés ont jeté deux grenades en direction de militaires maliens qui sécurisaient une banque de la ville avant de prendre la fuite. Deux militaires maliens ont été légèrement blessés, et étaient samedi hors de danger, a-t-on indiqué au gouvernorat de la région.

 

 

“Des dispositions sont prises pour renforcer la sécurité sur l’ensemble du territoire national. Les investigations sont en cours pour rechercher les responsables de ces actes”, a déclaré le gouvernement.

 

 

“La multiplication de ces attentats démontre que la guerre contre le terrorisme n’est pas terminée et que la situation sécuritaire demeure fragile dans toute la zone sahélo-saharienne”, a-t-il estimé.

 

 

Nouveaux chefs d’Aqmi dans le nord du Mali

 

 

Samedi soir, aucun élément ne permettait de dire s’il y avait un lien entre ces violences et l’annonce récente de la nomination par Aqmi de deux nouveaux chefs de ses unités combattantes dans le nord du Mali.

 

 

Parmi ces nouveaux dirigeants, figure l’Algérien Saïd Abou Moughatil, qui remplace son compatriote Abdelhamid Abou Zeïd, un de ses chefs les plus radicaux, tué lors de l’intervention militaire franco-africaine.

 

 

Samedi, deux hauts responsables de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et de la Minusma, se sont rendus à Kidal “pour une mission de paix”, prévoyant des rencontres avec des notabilités locales, d’après la source au gouvernorat.

 

 

Ces dernières attaques marquent un regain de violences au Mali, qui a connu en 2012 et 2013 la plus grave crise de son histoire, marquée notamment par l’occupation du Nord par les groupes armés et l’intervention militaire franco-africaine contre eux.

 

 

La crise a duré 18 mois, jusqu’à l’élection présidentielle de juillet-août remportée par Ibrahim Boubacar Keïta, qui a pris ses fonctions le 4 septembre, suscitant l’espoir d’un nouveau départ pour le Mali.

 

 

Mais jeudi, trois groupes armés – deux touareg et un arabe – ayant leurs bases dans le Nord, notamment à Kidal, ont annoncé qu’ils suspendaient leur participation aux discussions prévues avec le gouvernement malien dans le cadre d’un accord signé avec Bamako en juin à Ouagadougou.

 

 

Ils ont accusé le gouvernement malien de ne pas respecter ses engagements et de causer de “multiples difficultés” dans la mise en oeuvre de l’accord.

 

 

“Nous sommes en train de faire ce qu’il faut”, avait réagi le président Keïta vendredi depuis New York, en prônant la confiance, tandis qu’à Bamako, le gouvernement s’était dit toujours “disposé au dialogue”.

 

 

Les deux précédentes attaques suicides à Tombouctou, cité au patrimoine culturel inestimable, s’étaient déroulées les 21 et 30 mars. Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un des groupes islamistes ayant occupé le nord du Mali en 2012, avait affirmé avoir commis la première, la deuxième n’avait pas été revendiquée.

 

Commentaires via Facebook :

43 COMMENTAIRES

  1. Si le MNLA n’est pas un groupe terroriste, Boko Aram, Al Quaïda et MUJAO n’étant plus là, qui provoque maintenant ces attentats terroristes? Cette question est adressée à la France et tous ceux qui soutiennent le MNLA.

  2. Sale temps pour Foudkg… 😀

    Plus de trafiquants de drogue dans le désert malien… 😀 😀 😀 😀

    • 😆 😆 😆 A la tribune des nations unies ,j’ai plaide’ pour la levee de ton interdiction de sejour a BKO 😆 😆 😆 ,mais de la facon que tu te comporte mon cher ,l’aeroport de BKO-SENOU va te manquer beaucoup deh:lol: 😆 😆

      • Haaaaa ! … les Nations Unies… 😉

        Soldat Ag Dudube… j’ai rdv à Bamako dans quelques semaines… 😀 😀 😀

  3. Brou Brou je te renvois ta sœur en colis express à Segou ,elle adore se faire sauter 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  4. A L E R T E ………….les services secrets maliens ont découvert que Doucara avait bourré le c.ul de sa chèvre de batons de dynamite pour commettre un attentat à Bamako :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: Planquez vous !

  5. Ca y est!!!!!!!!! Brou-Brou réapparait et aussitôt, Koudis réapparaît aussi! 😀 😀 😀 😀 😀

    Vous êtes les Mamadou et Bineta de ce forum! Dès qu’on en voit un l’autre n’est pas loin! 😀 😀 😀 😀 😀

    Brou-Brou sans Koudis c’est comme un tiga dégé sans riz! Koudis sans Brou-brou c’est comme un Whisky-soda sans Whisky!

    Vous êtes les duettistes du clavier, les frères Siamois du post! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 Le Yin et le Yang de l’expression écrite! 😀 😀 😀

    Avec vous, poster sur Maliweb est un TRAVAIL D’EQUIPE!…………….
    (ca veut dire que pour DEUX posteurs, y a qu’UN SEUL esprit!) :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    • Ha… J’avais pas remarqué ! 😀

      Patron koudis n’aime pas qu’on dise du mal de mon pays… Moi aussi… 😀 😀 😀

      Alors… quand l’ignoble foudkg apparaît… on cogne ! 😉

      • les djihadistes se font sauter à Tombouctou , et Brou Brou va sauter les filles à Barbés le samedi soir 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  6. Je peux me tromper, mais je doute que cette fois, le mnla soit derrière ça! Non pas que ces chiens hésiteraient à tuer, mais c’est le mode opératoire qui ne leur correspond pas du tout!

    L’attentat suicide, ça c’est le truc typique des djihadistes! Les mnla au contraire, quand ils tuent, leur premier réflexe est plutôt de se planquer ensuite! Le coté martyre, c’est pas leur truc!…

    Il doit encore rester (hélas) quelques illuminés barbus la-bas, ou quelques crétins endoctrinés par les barbus, ce qui revient au même! Mais le mnla “se faire sauter”? Je n’y crois pas trop!

    D’ailleurs, je le regrette: QU’ILS AILLENT JUSTEMENT SE FAIRE SAUTER! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  7. Le gouvernement doit mettre en place un système médiatique, qui fera le lien entre:
    – Le départ des bandits chefs du MNLA et les attentats à Kidal et Tombouctou d’abord;
    – Le racisme et les mouvements touareg, arabes, narcotrafiquants;
    – Le chantage et le fait que le Burkina reste leur pays d’accueil.
    – Les condamnations stériles de nos dirigeants sont inutiles et font le jeux de ces bandits
    Mes respects

  8. Tot ou tard ces gens la reviendront a de meilleur sentiment car jusqu’a present ils ignorent qui dirige le Mali.

    Les choses se feront etape par etape sans toucher a l’integrite’ territoriale du Mali,cela n’est pas negocialble.

    • MDRRRRRRR ! 😀 😀 😀 😀

      Le malien est naïf… 🙁

      A 79 ans, combien de mandats IBK espère-t-il faire ?… 2 ?… 3 ?

      Les maliens l’ont élu à 77,62 % pour qu’il résolve IMMEDIATEMENT nos problèmes… dont la question de ces bandits armés… enfants gâtés de la République.

      les grands discours inaudibles… ça commence mal… très mal … soldat ! 😥 😥 😥

  9. Mali : IBK bat le tambour d’un Mali glorieux avec les tibias des morts venus d’ailleurs.
    dimanche 22 septembre 2013

    L’image qui me restera de cette journée d’exception est celle que l’on a annoncée mais que je n’ai pas vue. La chaîne française d’information en continu i>TELE a entrepris de retransmettre en direct cette cérémonie d’investiture bis du président Ibrahim Boubacar Keïta. Pas de problèmes. Sauf que ce type de manifestation ne se déroule jamais en Afrique francophone (à quelques exceptions près) selon le timing annoncé.

    Réagissez à cet article Réagissez (1)

    Mali : IBK bat le tambour d’un Mali glorieux avec les tibias des morts venus d’ailleurs.

    Un ambassadeur de Guinée équatoriale en France aimait à me répéter que Dieu avait bien fait les choses : il a donné la montre aux « Blancs » et le temps aux « Noirs ». Les VIP rassemblés à Bamako ayant finalement déjeuné à l’heure du goûter, i>TELE a donc dû meubler tout au long d’une cérémonie qui tirait en longueur. Du même coup, la conférence de presse prévue pour clore la journée a été largement décalée dans le temps. On avait annoncé la présence de quatre présidents pour répondre aux questions : IBK, bien sûr, et François Hollande, mais aussi Idriss Déby Itno et Alassane D. Ouattara. Et le bandeau d’annonce d’i>TELE n’a cessé de proclamer la présence de ce quatuor tout au long de sa retransmission de la conférence de presse.

    Apparemment ADO, président de la Cédéao, n’était pas de l’opération. Dommage : l’image aurait été forte de la présence du chef de l’Etat français auprès du « socialiste » malien, du « libéral » ivoirien et de « l’autoritaire » tchadien. Trois chefs d’Etat africains qui doivent leur accession ou leur maintien au pouvoir à l’armée française. Une armée française engagée à leurs côtés sous des présidents différents, de droite (Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy) comme de gauche (Hollande).

    Symbolique ! Non pas d’une « Françafrique », concept auquel je n’ai jamais adhéré, mais d’une Afrique qui, trop souvent, revendique haut et fort son indépendance et sa souveraineté, sans jamais se donner les moyens d’assurer l’une et l’autre. Le long discours de IBK, au stade du 26-Mars, s’est inscrit dans ce cadre d’affirmation-négation. Un Mali historique, glorieux, mondialisé avant la mondialisation (et, bien sûr, la colonisation), une puissance internationale dont l’impact se faisait ressentir jusqu’en Asie…

    Et puis cette longue litanie égrenant les amitiés dont peut se flatter, aujourd’hui, le « Mali nouveau ». Il est vrai que pas loin d’une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement a fait le déplacement jusqu’à la fournaise du stade du 26-Mars. Hollande, incontournable ; Déby Itno inévitable ; ADO, Blaise Compaoré, son « infatigable frère » (seul chef d’Etat accompagné de son épouse), Thomas Boni Yayi, les acteurs-vedettes de la résolution de la « crise malo-malienne » au titre de la Cédéao et de l’Union africaine ; mais aussi un inattendu Mohammed VI, « invité d’honneur » au titre de l’Afrique musulmane et de l’islam et aujourd’hui dans le collimateur d’AQMI ; Obiang Nguema Mbasogo, présenté par IBK comme « le doyen des chefs d’Etat africains » et le promoteur, « au plan social, d’un modèle nouveau qui est en train de voir le jour » (ce qui ne manquera pas de surprendre les Equato-guinéens qui n’appartiennent pas à la sphère du pouvoir, les nombreux Africains qui « font tourner la machine » dans un contexte qui n’est pas sans évoquer les pires heures de la colonisation espagnole et les ONG qui ne cessent de dénoncer une corruption érigée en mode de production). Le très « républicain » IBK, figure de proue africaine de l’Internationale socialiste, n’avait pas, en ce jour de gloire, l’ambition de faire le tri parmi ses amis. Il est vrai qu’il n’était pas plus dans la nuance concernant ses « modèles ».

    Rappelant qu’il avait été comparé à Charles de Gaulle, François Mitterrand, Edgar Faure (président du Conseil sous la IVème République dont il a été une des figures emblématiques), IBK déclarera sans sourciller que « mieux que De Gaulle, mieux que Mitterrand, mieux que Faure, je suis moi-même ». On mettra cela, bien sûr, sur l’emballement qu’a pu provoquer cet étonnant jamboree de chefs d’Etat. IBK n’en revient pas d’être admis, enfin, au club des présidents de la République ! Il est vrai que, jamais, la cérémonie d’investiture d’un chef d’Etat africain n’avait mobilisé autant de personnalités et d’équipes de télévisions étrangères. L’espace de quelques heures, Bamako est devenu la « capitale de l’Afrique » : il faudra bien du temps avant qu’un événement national africain rassemble autant de beau monde continental… !

    Ce jeudi 19 septembre 2013 n’a pas été une journée de fête populaire : rien d’autre que la consécration d’un homme. La cérémonie du stade du 26-Mars a débuté – très tardivement – par un court documentaire à la gloire d’IBK. Puis Hollande, Ouattara, Déby et Mohammed VI sont venus dire leur satisfaction d’être là en lieu et place des « djihadistes » qui ambitionnaient, dit-on depuis le 11 janvier 2013, de s’installer à Bamako. Oubliée la « guerre » déclenchée par le MNLA ; oublié le coup d’Etat foireux du capitaine Sanogo ; oubliée la débandade politique d’un Mali coupé en deux ; oubliées les tribulations d’une « transition » au cours de laquelle les « bérets verts » ont entrepris d’éradiquer les « bérets rouges » tout en matraquant le pouvoir civil ; oubliée la trouille de Bamako face à l’offensive des « djihadistes ».

    Le 11 janvier 2013 et l’opération « Serval » ont redonné la « pêche » à la classe politique malienne qui, cependant, a été bien incapable d’unir la nation autour d’un projet de reconquête du territoire. Il a fallu l’engagement massif des troupes françaises, le savoir-faire guerrier des Tchadiens, le soutien de la « communauté internationale » et « l’infatigable » travail de médiation des Burkinabè pour que, enfin, quelque peu contre le cours des événements maliens, un président de la République soit élu. Ce que les chefs d’Etat sont donc venus célébrer le 19 septembre 2013, ce n’est donc rien d’autre qu’une… élection présidentielle qui s’est bien déroulée. C’est dire que cet événement banal et national est devenu, en Afrique, un événement exceptionnel et international : on avait déjà vécu cela lors de la prestation de serment de Ouattara, à Yamoussoukro en 2011.

    Autant dire que IBK bat le tambour d’un Mali glorieux avec les tibias des morts venus d’ailleurs. Idriss Déby, acclamé plus qu’aucun autre par la foule présente au stade du 26-Mars, lors de la conférence de presse, n’a pas manqué de faire remarquer que lorsque les troupes tchadiennes sont arrivées sur le terrain malien, elles n’ont « trouvé que la France seule ». Façon de dire que les Maliens ne se sont pas bousculés pour aller défendre leur territoire et que les troupes africaines promises par la Cédéao n’ont pas été beaucoup plus motivées.

    La meilleure preuve en est – et Déby Itno*, là encore, a relevé le fait – que le contingent tchadien qui devait être relevé en août ne l’était toujours pas alors « qu’il n’y a pas que le Tchad qui devait être là » (c’est pourquoi, explique-t-il, plus d’une centaine de soldats tchadiens ont pris la poudre d’escampette dans le Nord-Mali ; pour rejoindre des groupes « rebelles » qui, eux, tiennent leurs promesses ?). IBK, lors de cette conférence de presse, a dit que le Mali était « en attente d’un chef ». Le « chef » est arrivé. Promettant « plus jamais ça ». L’Histoire nous dira si Kankélétigui (« L’homme qui n’a qu’une parole ») mérite son blaze !

    *Promu par le fait d’armes de ses soldats « parrain de l’Afrique francophone », le président Idriss Déby Itno n’est plus dans la retenue. Lors de son intervention au stade du 26-Mars, il a donné ces conseils à son « protégé » : « Vous devez faire face à des exigences de transparence, d’unité, de justice et de réconciliation. Vous n’avez pas droit à l’erreur, d’où la nécessité d’associer toutes les forces vives du pays à l’œuvre titanesque de réconciliation qui vous attend ». Les « opposants » tchadiens à Déby Itno, ceux qui croupissent en prison, ceux qui ont choisi la route de l’exil, ceux qui sont réfugiés dans les pays voisins ont dû se poser la question de savoir où le chef de l’Etat tchadien a été chercher ces mots de « transparence, unité, justice, réconciliation » qui, d’ordinaire, ne font pas partie de son vocabulaire.

    Jean-Pierre BEJOT
    LA Dépêche Diplomatique

    • J’ai vu ce matin ce “post” dans une autre page Maliweb, et j’ai chaudement félicité le “posteur” malicounda! 😀 😀 😀 😀

      Je n’avais même pas vu que c’était un article de Béjot plutôt qu’un post! 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

      Brou-brou va encore friser l’infarctus! 😀 😀 😀 😀 😀

  10. Ce c—-on de Foudkg et l’aattentat à la Défense avec sa pléthore de caméras ??? Un malade vient couper à un militaire français qui marchait avec son arme en main et de dos… C’est facile de nous pé—ter dessus mais allez voir du côté de Marseille… :mrgreen: :mrgreen:

    • :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

      Et les 30 valises de cocaïne dans l’avion ?

      Putèngue… dira coco… et si ç’avait été autre chose ?

      Alors… Foudkg… Dégage ! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  11. Je ne comprends pas… 💡 💡 💡 💡 💡 💡

    Une voiture, avec deux hommes à bord, traverse tranquillement la ville devant tous les militaires ONU, MINUSMA,…, vient se garer sagement devant le camp de l’armée malienne, et jusque là personne ne réagit,……, aucun contrôle, aucune sommation 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁

    oh, my god!!!

    Tous les responsables (MINUSMA, ONU, AMA) du dispositif de sécurité mis en place doivent tous être remplacés sans exception aucune. Ils sont nuls et incompétents.

  12. Je le dis et je le répète tous les jours:

    Le MALI doit s’atteler à trouver des moyens technologiques ou autres pour sécuriser avec efficacité ses frontières avec la Mauritanie et l’Algérie.

    Ces bandits armés se ravitaillent en armes, munitions et bombes essentiellement en Mauritanie.
    La Mauritanie représente un danger pour le Mali.

    Il faut immédiatement contrôler les frontières avec la Mauritanie et l’Algérie.

  13. MNLA, MAA et HCA sont des groupes terroristes au même titre que Mujuo et Aqmi.

    Les auteurs de ces attentats sont bien connus et bien localisés.
    Aqmi n’a absolument rien à avoir avec ces attentats, tout le monde le sait.
    Mais on préfère des condamnations stériles aux actions concrètes et expéditives.

    Les bandits armés du MNLA, MAA et HCA ne payent rien pour attendre.
    Surtout qu’ils continuent…..

    Tant que ces groupes terroristes ne sont pas complètement détruits, le Mali ne sera jamais en paix, et il n’y aura pas de développement au Nord.

    Ce qui est regrettable et dommage, c’est que la France continue toujours d’abriter des membres de ces groupes terroristes sur le sol français.

  14. Comment que les militaires maliens n’on pas encore pris la leçon d’instaurer un périmètre de sécurité de 200 a 300 mètres infranchissable soit en mur ou par d’autres moyens vous n’avez pas encore pris la mesure de votre fuite au nord sans combattre

  15. Ue blanche neige qui ne sort que lorsqu’il y a un malheur au Mali… On l’a vu la bouclé depuis qu’il s’est rendu compte qu’on pouvait organiser des elections sans incidents…

    • Il ne jouit qu’à la vue du sang malien… c’est plus fort que lui… :mrgreen:

      Cet ignoble personnage :mrgreen:

      • ah Brou ,voir couler le sang de ta sa..lo..pe de sœur serait pour moi un grand bonheur 😳 …….et si un segovien pouvait traverser le fleuve pour aller au village de Kala (il n’y a que 4 kms) pour dire à la famille Dembélé qu’elle ne merite que l’article 320 ,j’en serais ravi 👿

    • @ Apema Mali ………primo s’il y a pu y avoir des élections au Mali c’est grace à l’armée française 💡 :mrgreen: secundo si çàfait un moment que je la boucle c’est pour deux raisons , avec vos élections merdiques et vos candidats pourris jusqu’à la moelle ,je n’avais guère envie de perdre du temps ici à lire des conneries …………et puis je suis entrain de regler son compte à ta petite sœur qui s’est foutue de moi et qui semble ignorer que la vengeance est un plat qui se mange froid . 😆 😆 😆 😆

  16. le terrorisme reste un defi qu il faut relever et gagner,pour cela l armee doit combattre et mener des attaques preventives contre tous les groupes armés a commencer par les apatrides du mn

  17. les kamikazes maliens sont aussi nuls que les soldats maliens :ils se font sauter avant d’entrer dans le camp ! 😉 😉
    Au moins en Afghanistan et en Irak ils ne chient pas dans le froc et vont se faire sauter dans le camp pour faire un maximum de dégâts :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: sans doute une question de QI ?

    • Sale individu… tu n’éprouves de la jouissance qu’à la vue du sang des maliens… :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

      Ton funeste projet d’extermination de la race malienne ne verra pas le jour… :mrgreen:

      Grâce à la vigilance des soldats maliens, notre pays est sûr… 😀 😀 😀

      Vive l’armée malienne. 😀 😀 😀

      • Brou Brou ,tout le monde sait que les maliens n’ont pas de sang , mais de la pisse de chameau à la place 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

        • Vieux drogué ! … tu es en manque… vu que les douaniers français ont saisi 1,5 tonnes de cocaïne… ta filière de livraison est brisée.. 😀 😀 😀 😀

          Plus d’Air cocaïne au Mali… tes amis jihadistes trafiquants de drogue ont été éliminés… 😀

          Tu es en manque… :mrgreen:

          Alors… cesse de cracher ta haine sur la Mali… :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

          Sino je vais me fâcher ! :mrgreen:

    • Ils souls blanche neige et en mourant ils pense que ce sont les autres qui sont entrain de mourir.

  18. MNLA+ MAA = Mujao=Ansardine=Aqmi. Le réveil sera dure pour la FRANCE et le peuple malien. Mais bon, les dirigeants maliens pensent que leurs propres enfants sont à l’abri dans les écoles en Europe et en Amérique. IBK ne fera pas mieux que ce que la France lui demande de faire.Un vrai négro qui est d’accord de tout ce que son maître lui demande sans broncher. :mrgreen:

  19. Ou est parti votre fameux IBK, depuis le 04 Septembre nous ne sommes plus sous l’ère de ATT ou de Dioncouda il faut dire à votre IBK que la campagne est terminé.

    • Coucou…je suis là !!! Encore un dernier verre wisky et je leur dirais d’arrêter. Je l’ai dit je le ferai in’challah !!! 😀

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