Dans le cadre de la célébration du 8ème anniversaire de Temedt, les responsables de cette association ont organisé, hier jeudi 14 aout 2014, au Centre International de Conférence de Bamako (Cicb), une conférence de presse sur la pratique de l’esclavage par ascendance au Mali, avec des témoignages des victimes récemment libérées.
A l’occasion de cette conférence de presse, le président de Temedt, Ibrahim Ag Ibanatou, avait à ses côtés la représentante du Ministère de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, Mme Diawara Habi Kanté, le représentant du Ministère des Affaires Religieuses et du Culte, M. Yeya Ould Zarawana, entre autres.
Créée en 2006, l’association Temedt lutte contre la discrimination. Avec ses 38.100 adhérents, cette association est dirigée par un bureau de 90 membres. Selon le président de TEMEDT, le combat de leur association est une lutte de longue haleine pour le changement de comportement et de mentalité. Dans cette dynamique, Ibrahim Ag Ibanatou a sollicité l’implication de leur organisation dans tout le processus de recherche de la paix au Mali.
Par rapport aux différentes préoccupations de leur association, Ibrahim Ag Ibanatou a mis l’accent sur : l’adoption d’une loi criminalisant l’esclavage au Mali et le rôle de TEMEDT dans la refondation du Mali après la crise.
Le représentant de “Aba Rule Of Law Initiative”, M. Olivier, a félicité l’implication des Etats-Unis dans le combat pour l’éradication de l’esclavage au Mali. Aussi a t-il mis en exergue les voies et moyens pour soutenir ceux qui brisent la chaîne de l’esclavage. M. Olivier a indiqué qu’en plus des efforts consentis des défis persistent encore comme l’absence d’un mécanisme répressif de l’esclavage. Le représentant de “Aba Rule Of Law Initiative” espère que la lutte pour l’éradication de l’esclavage au Mali a des meilleurs jours devant elle.
Mme Diawara a, elle, saisi l’opportunité pour rappeler l’engagement et la détermination du Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux à défendre des droits de l’homme au Mali. C’est pourquoi, elle a rassuré l’association TEMEDT de la disponibilité de son département pour l’accompagner dans son combat contre les pratiques de l’esclavage par ascendance au Mali.
M. Zarawana estime que la lutte contre l’esclavage dans un pays comme le Mali revêt un caractère particulier. Selon lui, la question de l’esclavage est une question douloureuse. Le représentant du Ministère des Affaires Religieuses et du Culte a profité de cette occasion pour féliciter ceux qui se battent afin de mettre fin à l’esclavage.
Les huit (8) témoins récemment libérés ont signalé les conséquences de l’esclavage par ascendance à travers des difficultés de liberté de mouvement. Ils ont remercié toutes les organisation qui s’emploient à combattre la pratique de l’esclavage par ascendance dans notre pays.
Tougouna A. TRAORÉ
Dans toute l’Afrique de L’Ouest et dans toutes ethnies confondus il y a des descendants d’esclaves mais la pauvreté est venu aggravée cette situation qui n’est plus seulement une question d’ethnie mais ce qui se disent nobles deviennent à cause de la pauvreté des dions des mathioudos des bellas etc alors lutter contre la pauvreté ses causes et conséquences et ce phénomène va disparaître tous le reste c’est manger de manière moderne l’argent des toubibs de bonne guerre alors celui qui se prétend bel l’as va goûter sans changer le cours des choses un point un trait….
Malheureusement que meme sur maliweb.net il ya des grosracistes et des esclavagistes, le systeme des Castes reste notre tare sociale grave qui va nous va nous amener droit dans le fosse du sous-developpement et de la corruption, dans le manquement des droits humains et la justice sociale. Pour ceux qui vivent au Nord savent la realite et pour ceux qui vivent au Sud savent aussi la realite des Castes, alors le racisme est une realite au Mali.
Salut Koro KING.Rappel sur la charte de Krukan fugan:
Article 1. “La société du grand mandé est divisée en seize (16) porteurs de carquois, cinq (5) classes de marabouts, quatre classes (4) de nyamakalas. Chacun de ces groupes a une activité et un rôle
spécifiques”.
En Inde pourtant il existe des castes: cela n’a pas empêché ce pays d’amorcer un développement.Cette organisation de notre société n’a donc rien à voir avec le prétendu droit humain de “tes” maîtres les blancs.Eux qui ont industrialisé l’esclavage et qui l’ont même institutionnalisée avant de continuer à la pratiquer dans la clandestinité bien après son abolition par une loi de 1848…Prenez donc vos perdiem et laisser le peuple malien hors de ce sujet: nous avons d’autres priorités à gérer. 😉
bonjour voila tout les malheur du mali et les voleurs principal du mali sont des bellahs sans que je reconnais que ya parmi eux des bons gens.toutes les cassent a tomboctou lere gao partout se des bellahs et plus pur si le mnla viens ils disent que les touaregs se leurs supérieur et si le mali viens ils disent au sudistes que touts les peaux blancs ce des rebelles pour pouvoirs voler et casser les biens des innocents.ils jouent double jeux.tous les matérielles des camps de gao et Tombouctou ont était voler par eux comme frigos matelas moutons et toutes autres matérielles des maisons et aussi les équipement des bureaux des l états.
LE SEUL BELAH QUI EXISTE NON AFRANCHI AUJOURD’HUI C’EST LE PRESIDENT DE TEMET AG IDBALTANAT QUI TIRE SES REVENUS A L’APPARTENANCE MOT BELAH SOURCE DE COMMERCE POUR CERTAINS ET COMPLEXE D’INFERIORITE POUR D’AUTRES SINON LES AUTRES NE SONT PLUS BELAH SYNONYME D’ESCLAVE ILS SONT A PART ENTIER TAMACHEQUES NOIRS COMME D’AUTRES TAMACHEQUES BLANCS OU ARABES BLANCS OU NOIRS AUJOUD’HUI CES CONSIDERATIONS NE SONT PLUS DES SUJETS DU JOUR MAIS LA MISE EN PLACE DES HOMMES QU’ILS FAUT A LA PLACE QU’IL FAUT SANS DISTINCTIONS DE RACE DE RELIGION DE COULEUR OU D’APPARTENANCE.CE MONSIEUR COMMERCIALISE TOUTE UNE COMMUNAUTE POUR DES INTERRETS PERSONNELS .IL N’A TROUVER AUTRE POUR FAIRE LE TOUR DU MONDE QUE DE TERNIR L’IMAGE D’UN PEUPLE QUI N’A RIEN A ENVIER AUX AUTRES COUCHES SOCIALES.
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