L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) se dit préoccupée par l’état du tombeau des Askia, un monument de Gao (Mali) inscrit au patrimoine mondial de l’humanité.
Des experts maliens et internationaux se sont rendus à Gao, une ville au nord du Mali ; à l’issue de cette visite ils estiment que des mesures urgentes sont nécessaires pour y sauver le tombeau des Askia, un site inscrit en 2004 sur la liste du patrimoine mondial.
Lors de l’occupation de la ville par les islamistes, les populations ont en effet été empêchées d’effectuer les travaux d’entretien nécessaires. Ecoutez les explications de Lazare Eloundou, c’est le directeur du bureau de l’Unesco à Bamako. Il faisait partie de cette mission à Gao :
C’est un site unique. Avec l’arrivée des jihadistes, le processus d’entretien s’est interrompu.
Lazare Eloundou directeur du bureau de l’Unesco à Bamako16/02/2014 –
par Laurent Correau
Par rfi.fr
laissez notre mosquee en paix les maliens n.ont pas besoin de l,unesco pour l,entretien de cette mosquee cette mosquee est plus agee que la france …
Tienimango; quelle alternative?je vous informe que meme les pays riches ne font pas la fine bouche devant les subsides de l unesco,si on pouvait s en passer c est mieux.
il fait partie du patrimoine de l unesco, a ce titre l unesco doit financer les travaux d entretien si besoin,c’est vrai que c’est un patrimoine sacré dans une ville historique, capitale d empire, qui malgre les vicissitudes du temps est toujours la n’en deplaise aux apatrides puisse les generations futures la maintenir a flots!
Le Tombeau des Askias notre fierté nationale a et entretenu depuis des siècles sans l’aide de personne. Des Etats-Unis au Ghana en passant par le Mali et le Niger, partout les dignes héritiers e ces grands empereurs contribuent pour celà. L’UNESCO ne connait même pas la vraie valeur du tombeau, un secret jalousement gardé et qui a conduit à la malédiction contre le MNLA et ses amis au nord. Sarokzy y a été maudit lors des élections en France, ainsi que beaucoup d’autres dont la triste fin n’est qu’une question d’heure. Eguerere! Alkit! Tonditihiyo, Tchikabadoumba!
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