Sortir le nord du Mali de l’occupation armée s’avère une mission délicate, mais de là à occulter les vraies préoccupations du moment, relève de la pire des aventures pour un pays dont la partition est consommée géographiquement. Libérer le nord ne doit plus être du domaine de l’utopie et les solutions de l’heure doivent être la prise en charge de certains aspects dont la gestion des élèves déplacés et ceux restés sur place. C’est une question de justice sociale.
Sinon comment comprendre qu’un pays dont plus de 2/3 du territoire sont occupés depuis 7 mois, mais rien n’est fait tendant à le pacifier. La preuve, il n’y a même pas une cellule de crise pour gérer au quotidien la question. Dans un pays sérieux, cela doit être le préalable. Toute chose qui porte à croire que dans le Mali de l’après coup d’Etat, le mensonge et la confusion sont érigées en mode de gouvernance. Tantôt, ce sont les militaires qui s’entredéchirent ; tantôt, c’est la police qui montre un nouveau visage. De ce fait , il faut craindre aussi que la question de la libération des territoires occupés ne constituent plus une préoccupation partagée par l’ensemble des acteurs de la crise, à savoir, le Gouvernement, la présidence de la République, la classe politique et les militaires du Cndre.
Autrement dit, même si les solutions proposées par la Cédéao ne font pas l’unanimité, quelles alternatives les Maliens eux-mêmes ont proposé pour libérer le septentrion. C‘est pourquoi, on n’est en droit de se poser la question à qui profite la crise ? Autre fait non moins important, c’est l’organisation des examens scolaires, sans la participation des élèves des régions occupées. Idem pour la rentrée scolaire qui est effective de Kayes à Mopti, au mépris de la solidarité au profit des élèves du Nord déplacés et ceux restés sur place dans le grand désert.
En réalité, nombre d’observateurs estiment que la partition du pays est consommée, même si officiellement, l’on veut rassurer. Ailleurs, on n’appelle ca, non assistance à une personne en danger, alors que c’est une question de justice sociale. Loin de nous l’idée de jeter l’huile sur le feu, mais l’atmosphère actuelle est moins rassurante. Surtout dans la mesure où les protagonistes n’arrivent pas à parler d’une même voix. A quand la fin des tergiversations pour s’occuper d’une des priorités nationales ? La question reste toute posée.
Soufi MAHAMANE
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ADO le burkinabé est le premier terroriste de l’Afrique francone. Mais bientot les chien vont dechirer son cadavre dans les rues d’Abidjan . Espèce de voleur de la nationalité ivoirienne .
vraiment maliweb aime ADO , chaque 2 ou 3 jour on trouve une photo d’ADO. 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Quand le bateau savir, la victime c’est qui?, les pauvres seulement! alors, dis ce que tu veux, mais prie au contraire.
Blanche neige:
C’est l’histoire allemande d’une katain des bois dont les cents préférés sont des nains et sa seule distraction… venir sur maliweb pour se moker des amputés de mon pays…
😆
Bien dit
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