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« Le processus de paix est à un stade crucial et je suis optimiste quant à la concrétisation d’accords inclusifs, crédibles et durables, a déclaré M. Hamdi. Le rôle de la MINUSMA est d’aider le Mali en facilitant les rencontres entre les protagonistes dans l’impartialité, et la réunion du CSE s’inscrit dans ce cadre. Il n’y a pas d’autre choix que la paix.»
- Hamdi a rappelé qu’en sa qualité de co-médiateur et de Président du CSE de l’Accord Préliminaire de Ouagadougou du 18 juin 2013, il a convié les représentants du Gouvernement du Mali et des mouvements armés à cette réunion pour geler les positions des mouvements armés dans les régions du Nord, consolider les accords de cessez-le-feu du 23 mai 2014, et créer les conditions favorables à la reprise des pourparlers inter-maliens d’Alger prévue pour le 8 février.
« L’avènement de la paix dépend des Maliens eux-mêmes. La présence de la MINUSMA est une opportunité, nous travaillons en partenariat avec le Mali, en appuyant les efforts des Maliens. Nous sommes là pour aider le gouvernement et tous les Maliens à arriver à une paix durable dans le respect de l’intégrité territoriale et du caractère républicain de l’Etat malien. La MINUSMA est au Mali pour protéger les populations civiles, renforcer l’état de droit, et créer des conditions propices au développement…Nous sommes au service de tous les Maliens », a conclu M. Hamdi.
Le RSSG remercie le Ministre Ramtane Lamamra, MAE et Chef de file de la médiation d’accueillir cette réunion du CSE à la veille de la reprise des pourparlers, et salue les efforts de l’Algérie pour la résolution de la crise au Mali.
Olivier Salgado
Deputy Chief Communication –
