Mon Dieu, bon Dieu, qu’allons-nous devenir ? Pourquoi, tout ça maintenant ? Qui est derrière tout ça ? Allons-nous laisser des bandits armés dicter leur loi et par finir transformer une bonne partie de notre territoire en base retranchée du narcotrafic international ? Pourquoi, la France laisserait- elle ces groupes armés saper le fondement de notre existence ?
Les négociations qui ont commencé à Ouaga voilà une semaine sous l’égide du président du Faso à travers son ministre des affaires étrangères, ont-elles encore un avenir ? Difficile de répondre par l’affirmative mais impossible de croire que nous, maliens de Kayes à Kidal, en passant par Koulikoro, Sikasso, Ségou, Mopti, Tombouctou et Gao, accepteront ce diktat. Les rebelles du MNLA, ceux- là par qui, tout est arrivé, refusent la présence de notre armée sur le sol malien de Kidal.
Selon leur porte-parole, l’armée malienne n’a pas de rôle à jouer dans le système électoral et dans le scrutin présidentiel. Pire, ces bandits vont loin dans leur exigence en demandant, le retrait de nos forces de toutes les régions que, eux rebelles, considèrent comme territoire de l’Azawad. Comme pour ne rien arranger à la chose, le MNLA puisqu’il s’agit de lui, exige la reconnaissance d’un « statut juridique spécifique », donc le droit à l’autodétermination.
Mon Dieu, qu’est-ce que la délégation encore présente à Ouaga peut-elle espérer lorsque, les positions dès ce niveau sont tranchées avec autant d’insolence? Comment ces groupes armés peuvent-ils exigés de notre pays une partition de notre territoire, arguant des revendications mettant en mal l’intégrité physique du Mali ?
Nous aurions pu comprendre et faire avec, si et seulement si, ils demandaient à notre armée de patienter le temps que le nouveau président légitime soit élu, mais de là à nous imposer un statut que nous ne saurions jamais accepter. Le Mali n’a jamais connu ou toléré une quelconque autonomie et ce n’est pas maintenant qu’on viendra nous l’imposer. Non, nous refuserons que les autorités de la transition jouent à un tel jeu. Le Mali est et restera un, tant pis pour ceux qui ne veulent pas vivre en malien sur le seul sol du Mali.
Sory de Motti
Pour ma part, il faut arrêter le processus électoral et régler cette affaire d’abord. C’est trop gros pour que même celui qui vient de naitre accepte. Chaque fois que les politiciens parlent d’élection au lieu de s’occuper d’abord de cette question de l’intégralité territoriale et de l’avenir du Mali, c’est comme si ils sont complices, ils sont aussi traitres… Le patriotisme se joue par des actes et non par des paroles.
Quand je disais que le MNLA est plus malin, plus machiavélique que l’Etat malien, je pense ne pas m’être trompé. Quand on a à faire avec des bandits, sans foi ni loi, rien ne sert de signer des traités. Ils ne comprennent que le bâton, en l’occurrence, la FORCE.
“La démocratie est un luxe pour l’Afrique” (disait J.CHIRAC), mais pour ces gens, ce n’est pas un luxe, c’est un gâchis, car il ne savent pas ce que c’est qu’un traité ou accord, ni la valeur d’une signature…
Il n’y a plus à chercher de solution, il faut les exterminer pour sauver le Mali, pour demain et l’avenir de nos enfants. Sinon, ils recommenceront leur revendication dans 10 ans.
Ils ne veulent pas travailler, ils ne savent que manger, boire et forniquer.
c’est que vous,vous ne savez pas et qu’on vous cache est que le mali à été deja partagé il reste juste les élection
ces gens ne sont pas des responsables.Ils refusent l’application des accords qu’ils ont signe.
Avez-vous cette certitude? Dans tous les cas cela ne me surprendrait pas car je connais les hommes de ce genre de trop. Ils n’ont jamis été sérieux. Leur plaisir c’est de voir le sang couler, pas d’autre. Ils sont cyniques depuis la nuit des temps. Mais ma vrai compréhension du problème est que c’est la France qui refuse que notre armée aille à Kidal si non ces bandits n’ont pas la possibilité d’arrêter notre armée maintenant. Nous avons été piégé. Oh! pauvre MALIBA…
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