« Au regard du retour en force des terroristes sur le territoire national, de l’hybridation des acteurs du crime organisé, de la multiplication des agressions contre les Forces nationales et internationales,nous devrions prendre conscience qu’un danger plus pernicieux que nos divergences nationales nous guette. Il est alors urgent de prendre les mesures nécessaires pour contrer cette menace qui vise à anéantir notre Nation et tout le Sahel. Nous avons aujourd’hui l’obligation de parvenir à la paix, par une prise de conscience collective et la sauvegarde de nos valeurs fondamentales communes qui nous ont permis des siècles durant de vivre en harmonie nos croyances et nos convictions dans le respect de la dignité humaine », c’est en substance ce que le ministre Diop s’est adressé à ses interlocuteurs. Avant d’inviter les groupes armés d’éviter le devoir de léguer aux générations futures un lourd héritage de souffrances qui serait la preuve accablante d’incapacité à maitriser et à résoudre les problèmes. Il a appelé les uns et les autres à se donner les mains et rassembler les énergies pour fonder dans un élan solidaire les certitudes d’espérances de toutes les communautés dans un Mali riche de sa diversité, un Mali un et indivisible. « Alors, notre pays resplendira sur la scène internationale parce qu’il a des hommes et des femmes capables par leur volonté et leur travail de tracer un avenir radieux et de réaliser l’espoir du peuple malien. Ainsi, les avenues de la paix, de la sécurité, de la réconciliation des cœurs et des esprits, de la cohésion sociale retrouvée, de l’unité nationale retrouvée s’ouvriront grandement», a dit le ministre.
Aguibou Sogodogo
Cet accord ne servira à rien, car même l’Algérie croit plus aux bandits/menteurs du MNLA qu’aux responsables maliens. Aussi, ces gens du MNLA ne savent pas et ne saura jamais ce qui est un accord. Il faut indéniablement une guerre, qu’on le veule ou pas.
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