Le Mali s’agenouille devant la Mauritanie : IBK de nouveau trimbalé

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Le Président Mohamed Ould Abdel AZIZ à Bamako : "La Mauritanie est avec vous"
Le Président Mohamed Ould Abdel AZIZ et son homologue Ibrahim Boubacar Keita

L’Algérie, la Mauritanie et le Maroc, trois pays dont le Mali a eu la chance ou le malheur d’avoir comme voisins jouent à la concurrence dans la résolution du conflit qui oppose le Mali à la nébuleuse rébellion dite touarègue. Ces trois pays ont aussi la particularité d’héberger ceux qui combattent l’unité et l’intégrité du Mali.

L’Algérie qui est bombardée à la tête  de la médiation, entretient de vieilles et bonnes relations avec les ténors de la rébellion des années 90, notamment Iyad Ag Ghaly et récemment, Alghebass Ag Intlallah et Ahmed Ag Bibi. Sans tenir compter des réels dangers liés à son implication dans le dossier, Ibrahim Boubacar Keïta a opté pour l’Algérie. Le reste est que cette situation a jeté un froid dans les relations entre ce pays et le Maroc qui était à deux doigts de parrainer le Mali.

Pis, pour se donner bonne impression, IBK fait appel au Maroc qui accepté même à sa demande de recevoir les séparatistes. Une fois franchie le palais Royal, le Mnla trouve le chemin du Kremlin et parvient même à avancer dans son projet de création d’un Etat. Depuis, une bonne partie du Mnla a élu domicile au Maroc et aux bons soins du Roi. C’était l’occasion pour lui de réussir son plan au Saha Occidental : l’autonomie. Et c’est de bonne guerre quand le Maroc désavoue la solution algérienne.

Auparavant, la situation se corse et le Mali perd à nouveau Kidal, IBK accoure chez le président mauritanien. En catimini, ce dernier prend son vol et parvient à convaincre ceux qu’il a protégés pendant longtemps chez lui à travers la signature de l’accord de cessez-le-feu. Cette parenthèse était restée au travers de la gorge des autorités algériennes qui, à un moment, voulaient même se retirer de la médiation. Le Mali ne trouve plus sa voie jusqu’au paraphe du 1er mars 2015 et vu l’intransigeance de la Coordination des mouvements de l’Azawad, IBK se précipite chez Bouteflika. Le mobile est connu : trouver un arrangement sans même l’appui de la Communauté internationale pour faire fléchir les séparatistes.

Pressé d’obtenir un résultat, il se jette à nouveau dans les bras de la Mauritanie. Comble et indignation, car ce pays est avant tout un parrain attitré de la rébellion, notamment du Mnla et du Maa qui ont leur quartier général en Mauritanie.

Après avoir perdu une bonne partie du Nord, IBK est trimbalé par ces pays qui ont chacun des intérêts à défendre en territoire malien considéré comme conquis.

Harouna COULIBALY

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9 COMMENTAIRES

  1. "ce lui qui a écrit ce articles ne connais rien .et il est remplies de la haine noir contre la Mauritanie et l Algérie. le mali ne doit pas laisser des imbéciles écrire n importent quoi . ses gens risque de détruire ce pays"

  2. monsieur le journaleux arrête de raconter des balivernes. Attiser le feu et créer des situations imaginer n'a jamais régler un problème.
    Tes propos mettent à mal les relations de bon voisinage et surtout si le lecteur est de ton niveau

  3. IBK est un incapable , et se montre comme une poule qui cherche a picorer de tous les cotés , ce qui finalement lui nuit ,puisque sa façon d’agir ne donne confiance à personne 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 chacun se demande de quel coté il retournera sa veste le lendemain le problème c’est que ce sont les maliens qui trinquent 🙁 🙁 🙁

  4. MR, le journaliste le MALI n’a jamais agenouille aucun pays du monde vous les journalistes et vos politiciens ces vous qui a mené notre pays dans cette situation aujourd’hui la corruption vous êtes champions du monde mais pour la sécurisation de notre territoire national vous êtes incapable le MALI il y a des hommes capable des sécurisés le territoire comme avant 1991 je vous demande tout simplement les politiciens de céder la place aux peuples maliens 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄

  5. Ce peuple qui ne peut pas se prendre en charge et sont surtout préparés au brigandage, au braquage, aux vols et aux mensonges avec ces maux au sein d’un peuple, il ne saurait avoir d’indépendance et d’autonomie. Même, si le Mali accepte de donner l’autonomie et l’indépendance à cette partie du peuple touareg qui réclame mordicus cette liberté totale, cette partie du pays serait le lieu de la vente de drogue et des échanges nébuleux. Ces bandits n’aiment pas la gouvernance organisée, mais ils préfèrent une liberté sans fin et aucun état organisé n’accepterait cette liberté sans limite. Même si ces touareg sont transférés dans des états à très haute gouvernance, ils se rebelleront contre leurs gouvernants parce qu’ils ne veulent pas travailler mais de mener des actions ignobles et éhontées à leur seul profit. Je reste certain que la communauté internationale se rendrait compte de cette attente malsaine de ces bandits très prochainement.
    Surtout, ces bandits détestent se faire gouverner par des négroïdes.

  6. ce lui qui a écrit ce articles ne connais rien .et il est remplies de la haine noir contre la Mauritanie et l Algérie. le mali ne doit pas laisser des imbéciles écrire n importent quoi . ses gens risque de détruire ce pays

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