Le Mali et ses bandes armées à Ouaga : Les premières discussions directes aujourd’hui

1
Ibrahim Ag Mohamed Assaleh (à g.), du MNLA, en conversation avec le ministre burkinabè des Affaires étrangères Dijbril Bassolé (à dr.) à Ouagadougou, le 9 juin 2012
Ibrahim Ag Mohamed Assaleh (à g.), du MNLA, en conversation avec le ministre burkinabè des Affaires étrangères Dijbril Bassolé (à dr.) à Ouagadougou, le 9 juin 2012

Les premières discussions s’ouvrent ce vendredi 7 juin entre Bamako et les groupes armés à Ouagadougou. Les discussions pour trouver une solution “au cas de Kidal” se tiennent au Burkina Faso depuis bientôt trois semaines, sans grands résultats, et la situation se dégrade. “Ça piétine un peu mais nous conservons espoir”, assurait hier, un haut diplomate africain. Les discussions achoppent sur la présence de l’armée malienne à Kidal.

Les discussions achoppent sur la présence de l’armée malienne à Kidal. Les autorités maliennes, qui tiennent le MNLA pour le principal responsable de la guerre, en font un principe au nom de la reconquête totale du pays. Le MNLA, lui, refuse un tel déploiement en faisant un casus belli. Or, mercredi, pour la première fois depuis janvier 2012, un accrochage a opposé les rebelles avec des soldats maliens.

Le combat, dans la ville d’Anefis, à 115 km au sud de Kidal, le conseiller spécial du président de la République chargé des négociations avec les bandits armés, l’ancien ministre malien Tiébilé Dramé représentera les autorités dans les discussions qui commencent ce matin à Ouagadougou sous l’égide de Blaise Compaoré, médiateur de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) pour la crise malienne.
YC

Commentaires via Facebook :

1 commentaire

  1. Nous disons et l’avions toujours dit que le complot contre le Mali est si grand et si inimaginable de par les noms pays sous régionaux d’Europe d’Arabie soit disant amis du Mali des organisations des personnes et groupes de personnes à l’intérieur et extérieur impliqué et que des maliens et maliennes fiers honnêtes aimant leur Mali piqueront des crises de rage de colère de déception au fur et à mesure que Dieu Le Tout Puissant Le Tout Miséricordieux les Dévoilera

    Nous disons pauvre Afrique humilié clochardisé divisé appauvri violé volé handicapé faussement démocratique de par la faute de ses lettrés mutants politiques sociétés civiles Hommes en armes et religieux avec leur gestion primaire primitive égoïste ingrate du pouvoir transformé par eux en 1pouvoir héritage familiale clanique dans 1démocratie bananière des tropiques de l’impunité reine de la « bouffaille » des deniers publics au détriment des intérêts de leurs peuples et encouragés en cela par leurs soit disant amis les « Autres » qui disent avec mépris que l’Africain n’est pas mûr pour la vraie démocratie de part leur comportement et

    Nous disons bien que leurs soit disant amis les « Autres » leur disent qu’il est bon qu’ils organisent des élections bâclées truquées même si leurs pays sont divisés en 2 ou 3 ou 4parties que de ne pas en faire et même si la moitié des populations sont réfugiées au dehors

    Nous disons bien que leurs soit disant amis les « Autres » leur disent de part leur comportement d’impunité reine qu’il est bon pour eux de s’asseoir de dialoguer et aussi de demander à leurs populations de s’asseoir et dialoguer avec les ennemis et leurs collabos qui ont tué violé handicapé à vie des pauvres citoyens lambda

    Nous disons pourtant l’histoire nous montre et enseigne que leurs soit disant amis les « Autres » n’ont jamais accepté et n’accepteront jamais de telles choses chez eux car ils ont horreur de l’impunité et dans les vraies démocraties de telles choses sont impossibles et impensables

    Nous disons que les lettrés mutants politiques maliens sociétés civiles Hommes en armes religieux des ex mouvances sont à l’image de leurs homologues africains qu’ils soient sénégalais ivoiriens burkinabés congolais etc. Et tel le « molosse » ils ne peuvent pas et ne pourront jamais changer leur « déhontée » façon de s’asseoir de se comporter

    Nous disons pourtant l’Afrique pensait bien faire en les envoyant dans les meilleures écoles et universités des « Autres » aux fins

    Nous disons bien qu’ils soient travailleurs honnêtes qu’ils aient 1amour profond pour leurs pays partout où ils se trouvent qu’ils instaurent la vraie démocratie de justice d’égalité de tous les citoyens qu’ils aient horreur de l’impunité et qu’ils se comportent d’égal à égal avec les « Autres » sans complexe pour la défense des intérêts de leurs peuples dans cette compétition mondiale politico économico militaire où tous les coups sont permis sans aucun état d’âme par les gouvernants pour la défense des intérêts de leurs peuples

    Nous disons mais que non

Comments are closed.