En visite officielle de deux jours en Algérie, entamée le dimanche 8 juin, et centrée sur la sécurité au Sahel, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius a recadré l’environnement du dialogue en vue d’une sortie de crise au Mali : « Le dialogue au Mali passe par trois canaux : la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le représentant spécial, IBK, et un canal, l’Algérie, dont l’efficacité est reconnue par les uns et les autres ».
Les principaux groupes armés en rébellion contre Bamako sont, depuis jeudi, à Alger pour des consultations « exploratoires », après l’accord de cessez-le-feu signé le 23 mai. Trois semaines après les violents affrontements à Kidal, entre l’armée malienne et les groupes armés du nord, les principaux dirigeants de ces mouvements du nord du Mali sont, depuis jeudi, à Alger pour des consultations « exploratoires », après l’accord de cessez-le-feu signé le 23 mai entre Bamako et les trois principaux groupes armés du nord du Mali (MNLA, HCUA, MAA). Dans ce contexte, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, est arrivé dimanche à Alger pour une visite officielle de deux jours, centrée sur la sécurité au Sahel. Selon afrik.com de ce lundi, Laurent Fabius a salué le « rôle pacificateur » de l’Algérie au Mali.
Mais Laurent Fabius a également recadré l’environnement du dialogue en vue d’une sortie de crise au Mali : « Le dialogue au Mali passe par trois canaux : la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le représentant spécial, IBK, et un canal, l’Algérie, dont l’efficacité est reconnue par les uns et les autres », a insisté Laurent Fabius, lors d’une conférence de presse, précise afrik.com. Le ministre Laurent Fabius, parfaitement au parfum de la présence des représentants des groupes, a signalé : «une série de groupes du Nord qui discutent à Alger d’une plateforme qui sera soumise au gouvernement malien pour faciliter la discussion et arriver à un accord ».
A travers cette visite du ministre des Affaires étrangères, Paris tente de convaincre Alger à s’impliquer dans la résolution de la crise malienne. La situation s’est détériorée après les violents combats du 21 mai, qui ont opposé l’armée malienne à la rébellion touarègue à Kidal, après la visite du Premier ministre Moussa Mara, le 17 mai. L’aide d’Alger est donc plus que jamais sollicitée pour lutter contre le terrorisme au Sahel.
Cette visite du ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius intervient moins de trois semaines après celle de son homologue de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui s’était rendu en Algérie suite à la détérioration de la situation au nord à Kidal, entre la rébellion et Bamako. Le ministère français de la Défense avait alors assuré que la visite de Jean-Yves Le Drian revêtait « une très grande importance et constituait l’occasion d’un dialogue politique de haut niveau où seront notamment évoqués les dispositifs de lutte contre le terrorisme au Sahel et la situation au Mali ».
B. Daou
mr Laurent Fabius, le vrai terroriste c’est lui .et la CEDEAO n’est qu’une ONG de la france
Il faut sincèrement se poser la question de savoir si M. Laurent Fabius est démocrate et humain.
La France est en train de soutenir une minorité qui tue,viole des femmes sans défense et pille son propre pays.
M.Laurent veut faire coûte que coûte du Nord du Mali une propriété touarègue.
Et les milliers de personnes prises en otage par ces criminels soutenus et entretenus?
Je demande à tous les maliens et maliennes de soutenir le president IBK , et les FAMAS.Restons mobliser derniere notre pays.Préparons ensemble la guerre qui mettra fin à la guerre.Pas d’indépendance ni féderalisme,ni autonomie pour les bandits du nord.Les jeunes de Kayes à Tombouctou cherchent des armes par tous les moyens pour boutter les terroristes MNLA ,et autres hors de nos frontiere.Vous devez aider les soldats avec des renseignement à vos possessions.Il faut mener une gierre urbaine contre ces bandits il faut les tuer.
le dialogue sera fait au mali, nulle part.
les gens qui écrivent que l’état malien est en position de faiblesse ont faux.
les mnla et ses alliés savent que la victoire du 21/5/14 n’est pas la fin des combats.
le mali mettra tout en œuvre pour garder la main.
si le peuple lâche ibk à cette étape, ce sera scandal.
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