Tentative d’enlèvement de véhicules militaires à Tombouctou… 3 blessés, 10 prisonniers
Des « intégrés » entre marteau et enclume
Négociations ouvertes à Alger : Pas touche à mon unité et intégrité territoriale !
Un calme apparent règne désormais dans le septentrion malien depuis l’attaque de Niafounké Mardi dernier et le génocide d’Aguelhok quelques jours auparavant. Une «quiétude» cependant ponctuée par une tentative d’enlèvements de véhicules jusque dans le camp militaire de Tombouctou, d’importants déplacements des populations surtout d’origine arabo-berbère et touarègue vers en direction des pays frontaliers.
C’est vendredi dernier aux environs de 18 heures qu’une dizaine de militaires d’origine touarègue couramment appelés des «intégrés » ont tenté d’enlever trois véhicules Pick-up de l’armée malienne équipés de mitrailleuses. Ils sont parvenus à sortir du camp.
C’est à la sortie de la ville en direction de la localité de Ber qu’ils ont été accrochés par les éléments de la garde nationale. Les assaillants ont été les premiers à ouvrir le feu. Il ne pouvait en être autrement dans la mesure où les gardes s’apprêtaient à les intercepter.
Les deux champs échangèrent donc des tirs nourris. Les gardes maliens eurent la main heureuse (nous ne cesserons jamais de louer le mérite de ce corps). Tentant d’échapper à la riposte, les occupants s’éjectèrent des véhicules. On dénombre trois blessés parmi les insurgées dont un commandant, un lieutenant et un soldat, tous des « intégrés » de l’armée régulière. Un des véhicules qui avait reçu à faufiler a été pris en chasse et intercepté par l’armée malienne. Ses occupants, au nombre de trois ont été arrêtés.
Au moins six (10) assaillants dont trois (03) blessés ont été capturés. Les seconds ont reçu des soins à l’hôpital de la ville (leur vie n’est plus en danger) pendant que les autres ont été mis en lieu sûr avant d’être jugés et condamnés par la justice. Telle est désormais la règle. Faut-il rappeler que le Mali a désormais décidé de porter plaintes contre les assaillants auprès des juridictions nationales et internationales ?
Il faut signaler qu’en marge de cette tentative d’enlèvement de matériels militaires roulants, cinq autres véhicules du même type ont été aperçus, à bord des « intégrés », vendredi dernier à Sogolo dans le cercle de Niono en direction de la Mauritanie. Une information confirmée par les populations locales jointes au téléphones et lesquelles signalent en effet que les fugitifs se son dirigés vers la frontière mauritanienne.
Des « intégrés » entre marteau et enclume
Ce n’est pas, à coup sûr, le choix de la guerre qui justifie l’attitude des militaires touaregs intégrés dans l’armée malienne. Du moins, pas tous ! Il n’est évidemment pas bon d’être à la place de quiconque parmi eux.
Victimes de préjugés du genre « ils sont tous les mêmes » (un raisonnement simplistes et erronés), ils subissent en outre des pressions de la part des va-t-en-guerre au sein des leurs. En clair, ici, la règle est simple : ou tu es avec moi, ou tu es contre moi.
L’on constate dès lors que la marge de manœuvre de ces soldats est désormais très réduite. Au sud, ils doivent vivre dans un environnement où la méfiance n’est désormais plus feinte après les attaques et atrocités perpétrées dans certaines localités du nord par les leurs : « Ils sont tous les mêmes »… Au Nord, les va-t-en guerre, menacent de s’en prendre à leurs familles s’ils s’abstiennent de rejoindre leurs rangs.
Les récents événements survenus à Bamako et autres localités du pays ont incité plus d’un à opter pour la seconde option consistant au moins à épargner leurs parents des mêmes atrocités commises par les insurgés contre des civils et militaires maliens. C’est, pour eux, le moindre mal. Logique funeste, mais logique quand même ! La même prévaut d’ailleurs côté malien (lire encadré).
Niafunké : l’armée malienne contre-attaque
La journée du samedi 4 février a été fatale pour les rebelles dans la localité de Goundam, région de Tombouctou. Plus d’une vingtaine de combattants touaregs ont été en effet surpris dans leur retraite par les militaires de Niafunké à une dizaine de kilomètres de Goundam. Ils ont été tués à l’issue du combat.
Ces hommes attendaient du renfort de Tombouctou et s’apprêtaient à attaquer la Goundam. Signalons que ce sont ces renforts qui ont été auparavant interceptés par la garde nationale.
Un détail et non des moindres mérite d’être signalé: parmi les militaires maliens ayant mené l’assaut contre les rebelles à Goundam figurent des «intégrés». A la lumière de cette précision, il convient d’éviter l’amalgame.
Ces soldats maliens ont été, en tout état de cause, accueillis en héros à leur retour à Niafunké. Ils ont en effet bénéficié de la reconnaissance et de l’encouragement des populations.
Négociations ouvertes à Alger
Plus de 4500 réfugiés maliens en Mauritanie dans la région frontalière de Wassala selon le Haut-commissariat aux réfugiés de l’ONU. Plus de 10 mille au Niger toujours selon la même source. Psychose et dans les centres urbains et bourgades… Voilà ce à quoi les aventuriers touaregs exposent leurs frères. Le pire est certainement à craindre si les choses ne se tassent pas très vite.
Ayant certainement compris les risques d’d’un embrasement aux conséquences incalculable aussi bien pour le Mali que pour tous les pays de la sous-région, les insurgés ont sollicité la médiation algérienne en vue de l’ouverture des négociations.
Depuis jeudi dernier donc, une délégation conduite par le ministre Soumeylou Boubèye Maïga s’est rendue à Alger où elle a rencontré Les représentants de l’Alliance du 23 mai à sa tête Hamada Ag Bibi, et ceux du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA).
Suite à la médiation algérienne, les deux camps ont convenu de la nécessité d’arrêter les hostilités et de donner la chance à la paix. Deux points restent cependant non-négociables: l’unité nationale et l’intégrité territoriale du Mali.
Le Mali entend en outre poursuivre les auteurs des atrocités d’Aguelhok devant les juridictions appropriées.
B.S. Diarra
1)Nous disions et nous l’avions toujours dit que l’exécutif malien sous la demande du législatif devait rapidement déclarer l’état d’urgence dans toute la zone Nord y compris la zone du Ouagadou et d’y envoyer l’armée pour ratisser toute la zone en vue d’arrêter tout suspect de faire passer de vie à trépas ceux parmi les déserteurs lâches de l’armée libyenne ou ceux parmi les touaregs maliens venus de Libye ou ceux des maliens vivants au Nord qui auraient des velléités rebelles ou indépendantistes ou ceux parmi les islamistes vivants dans le Ouagadou qui refuseraient de quitter le Mali Nous disions que l’armée pouvait se faire aider par le mouvement patriotique d’auto-défense « le GANDAKOYE » qui a 1bonne connaissance de la zone Nous disons que des mandats d’arrêt internationaux ou appels doivent être également lancé à l’encontre de toutes les personnes qui soutiennent ou soutiendront ces dites velléités aux fins de les mettre hors d’état de nuire
2)Nous disons quelle est cette armée où 1soldat ou 1officier peut déserter rejoindre l’armée ennemie et après revenir reprendre sa place sans aucune sanction Nous disons qu’il est temps que cette inconscience ce laxisme ce favoritisme cesse au nom de la rigueur et de la responsabilité Comment 1armée responsable peut elle garder en son sein ses pires ennemies soit disant au nom de la paix Nous demandons aux vrais soldats de ne plus accepter ce état de fait Nous disons que l’ennemie doit être toujours mis hors d’état de nuire par tout les moyens Nous disons également que tout déserteur allant rejoindre l’armée ennemie doit être traduit devant la cours martial et condamné à la peine capital ou la peine à perpétuité et il est inhumain et irresponsable d’envoyer des soldats se battre sans moyens conséquents Nous disons que les responsables de cela doivent passer devant la justice à la demande des parents des soldats
3)Nous disons qu’il est temps que l’exécutif et le législatif maliens cessent d’être pris en otages par ces « Touaregs paresseux sans foi ni loi » au nom du développement de leur région Nous disons que le développement des autres régions est le fait du dynamisme du labeur au travail de leurs populations et aussi grâce à l’argent des émigrés issus de ces zones car le Mali est classé parmi les pays les +pauvres de ce monde Nous disons qu’il est temps pour ces « Touaregs paresseux » d’utiliser l’argent destiné à l’achat des armes l’argent issu de leur émigration à créer des projets régénérateurs de revenues dans leur zone et de se mettre au travail Nous disons que les armes n’apportent que faim misère maladie mort hyper retard dans leur région Nous disons que c’est triste déshonorant paresseux et ignoble d’attendre toujours l’aide d’autrui des autres
4)Nous disons encore 1fois que l’exécutif et le législatif maliens doivent mettre de côté leurs intérêts politiques personnels familiaux égoïstes et primaires aux fins de résoudre 1fois pour toute ce problème des rebelles touaregs et les Suppôts de Satan d’Aqmi car aucun exécutif et législatif étrangers ne viendront faire ce travail à leur place Nous disons que le temps des dialogues est dépassé il faut opter pour la solution finale Nous disons que s’ils en sont incapables ils doivent démissionner selon la déontologie démocratique Nous disons au cas ils refusaient de démissionner sans résoudre ce problème avant les futures élections présidentielles nous demandons au peuple malien de sanctionner tous les membres de l’exécutif (gouvernement) et du législatif (assemblée nationale) qui seront candidats en ne les votant pas
bravo les c bien bon travaille comme c la guerre il veux je pense c le moment de surveillé tout les traite de l’armé
L’armée malienne n’as jamais été faible ceux sont nos faux généraux qui sont des lâches et qui ont vendu l’armée, mais tous sa la va finir I challaou. Je demande à l’armée de ne pas faire de prisonniers si non après ces faux généraux vont les gracier.Mais la garde Nationale que j’aime beaucoup il faut pas faire de prisonniers c’est des bâtards ces gens la. Ils ont tuer trop de vos frères d’armes à Aguelhock, Tessalit, Anafis Menaka alors tuer les aussi c’est une prière et vous aller au Paradis.
Ces soldats maliens ont été, en tout état de cause, accueillis en héros à leur retour à Niafunké. Ils ont en effet bénéficié de la reconnaissance et de l’encouragement des populations. Le peuple ne doit jamais douter de son armée même si cette armée est faible elle doit prouver qu’elle sait se battre!!!
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