L’Allemagne engage des renforts au Mali

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L'Allemagne engage des renforts au Mali
La ministre allemande de la Défense sur la base aérienne de Incirlik (Turquie), le 21 janvier 2016. © REUTERS/Tobias Schwarz/Pool

L’annonce d’un engagement supplémentaire de l’Allemagne était prévue avant les attentats de novembre à Paris. Mais ces derniers ont poussé Berlin à aller plus loin pour soutenir et délester Paris dans sa lutte contre le terrorisme. Après une décision du gouvernement allemand au début du mois, le parlement a voté jeudi 28 janvier en faveur d’un nouveau mandat élargissant la participation de la Bundeswehr.

Avec 502 voix sur 574 votants, le résultat est sans appel. Tous les partis, sauf celui de gauche Die Linke, ont adopté le nouveau mandat d’un an. La participation allemande au sein de la Minusma passe de 150 à 650 hommes. Une dizaine de soldats seulement y était déployée jusqu’à présent. Environ 400 devraient être envoyés d’ici le mois de juin dans le nord du Mali.

La ministre de la Défense Ursula von der Leyen a évoqué dans une interview une intervention durable et évoqué les dangers qu’elle impliquait. Le porte-parole du groupe parlementaire social-démocrate Niels Annen a défendu cette opération hier au Bundestag.

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1 commentaire

  1. ARMÉE MALIENNE UN GÉNÉRAL A LA RETRAITE EN PERSPECTIVE D’UN SABOTAGE
    Mandaté pendant qu’il était en activité pour la constitution de la force spéciale, l’armée a mis à sa disposition des élèves officiers (EMIA) des élèves sous-officiers (ESO) et des soldats d’autres unités de l’armée. La formation a débuté en fin de l’année 2014 et a duré une année et demi. Après 2 mois de rudes épreuves au Centre de Formation Commando de Samako tous les élèves officiers et certains élèves sous-officiers ont déserté le centre pour rejoindre leur école. Ces éléments n’ont ni été blâmés ni punis et mieux ils ont terminé leur cycle de formation et sont nommés respectivement Sous-lieutenants et Sergents depuis Juillet 2015.
    Par contre les 17 élèves sergent restés au centre et ayant finalisé la formation avec un stage de formation de 4 mois en Egypte demeurent depuis sans grade sans statut défini (ils perçoivent toujours le salaire d’élèves sergents bien que n’étant pas à l’école). Ils sont affectés à Sofara et constituent les éléments de pointe dans la lutte anti-terroriste dans le SENO.
    Questionné, le général leur a signifié que rien n’est prévu pour eux mieux selon lui aucune autorité ne veut entendre parler de leur sort. En conséquence ils peuvent voir qui de droit sinon retourner reprendre le cycle à l’ESO s’ils tiennent à obtenir leur grade de Sergent. Il se fait menaçant en faisant prévaloir son grade de général en disant ceci : “personne ne vous a obligé à subir cette formation, sous d’autres cieux on vous aurait foutu en taule”. Ceux qui ne veulent pas accepter ce statut ont le choix de retourner chez leur parent.
    A quelle époque se croit-il ?
    Pour qui roule t-il ? Et pour quel but ?
    IBK, réveilles-toi, après le complot de l’ONU c’est celui de l’Armée qui est en perspective sur votre dos. Le moral de la troupe est entamé par cette injustice savamment entretenue pour démobiliser, démoraliser et révolter le maillon central de l’armée contre l’autorité de l’État.

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