L’accord de paix au Mali, un an après : La désillusion !

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accord de paix
Photo à titre illustratif

C’est l’heure du bilan, une année après la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali. Et si théoriquement l’accord connait des avancées, concrètement presque rien n’a été fait sur le terrain. Les acteurs du processus sont tous unanimes sur au moins une chose : les résultats ne sont pas à hauteur des ententes. Tout ou presque reste à faire : de la signature de l’accord à aujourd’hui, l’insécurité a fait plus de 300 morts et environ 200 blessés; les refugiés ne sont pas encore de retour ; en plus du nord, des foyers djihadistes se forment au centre du pays ; l’absence de l’Etat dans le Nord et le centre du pays a exacerbé les conflits intercommunautaires et de nouveaux groupes d’autodéfense voient le jour; les groupes armés ne sont pas encore cantonnés. Finalement le gouvernement malien et les groupes armés, après moult atermoiements, se sont mis d’accord sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires, des autorités intérimaires qui devaient, normalement, être opérationnelles trois mois après la signature de l’accord.

Il y a de cela un an, la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) paraphait l’accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger. Un moment hautement symbolique choisi par Ramtane Lamamra, le ministre des Affaires étrangères d’Algérie, chef de file de la médiation internationale, pour faire le point sur la mise en œuvre avec les différentes parties du processus de paix au Mali. Il séjourne, à cet effet, depuis avant –hier à Bamako. Pour la même circonstance, Bamako accueille aussi Bilal Ag Sherif, le secrétaire général du Mnla (un groupe armé de la CMA) qui a quitté son fief de Kidal pour prendre part à la célébration de l’anniversaire de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali. A l’occasion de ce premier anniversaire de la signature de l’accord de paix pour la réconciliation nationale issu du processus d’Alger, Ibrahim Boubacar Keïta, a fait une allocution télévisuelle. Selon lui, un an après sa signature, l’accord connaît des progrès certains dans sa mise en œuvre, même s’il a reconnu qu’un certain retard et de multiples défis immenses jalonnent encore le processus de paix. « Dès le lendemain de la signature de l’accord de paix, le gouvernement s’est donc attelé à la mise en œuvre des engagements qu’il a solennellement pris devant la communauté internationale. Cette mise en œuvre est particulièrement complexe puisqu’elle recouvre des domaines aussi variés que les réformes politiques et institutionnelles, la défense et la sécurité, le développement économique, social et culturel ainsi que la justice, la réconciliation nationale et les questions humanitaires», a déclaré le président de la République.

Depuis la signature de l’Accord, les obstacles à sa mise en œuvre se sont multipliés, selon IBK

Selon IBK, dans la mise en œuvre de l’accord, «  nous avons obtenu des résultats particulièrement édifiants qui sont autant de motifs de croire en la paix et qui nous engagent à poursuivre les efforts en cours». Comme actes posés, le président de la République citera entre autres :  la nomination et l’installation des gouverneurs des nouvelles régions de Taoudéni et Ménaka pour lesquelles une enveloppe de 1 milliard huit cent millions de FCFA a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’administration générale ; la promulgation de la Loi instituant les autorités intérimaires, puis l’adoption du décret fixant les modalités de mise en place desdites autorités ; l’amorce du processus de révision de la Constitution, à travers la mise en place du groupe de relecture et l’élaboration du chronogramme de travail, notamment pour prendre en charge les dispositions de l’accord relatives à la mise en place de la 2ème chambre du Parlement, le Sénat ; la création du cadre institutionnel de la Réforme du secteur de la sécurité (RSS) avec la nomination d’un Commissaire à la RSS ainsi que la relecture en cours du décret créant le Conseil national de la RSS. Ce travail a été fait en collaboration étroite avec les représentants des mouvements signataires. Dans la même veine, la Commission nationale de Désarmement, démobilisation et réinsertion (CN-DDR) et la Commission Intégration (C-I) ont été aussi créées ; la prise en charge par le Gouvernement des combattants des mouvements signataires, en attendant le démarrage effectif du processus de DDR ; l’identification des vingt – quatre (24) sites de cantonnement à viabiliser et le début de construction de trois (3) sites (Likrakar, Fafa, Inegar) et l’accord pour en construire cinq (5) autres supplémentaires ;  la réalisation en octobre 2015 de la première patrouille mixte (FAMA et mouvements signataires) ; la remise des listes partielles des ex-combattants des mouvements signataires de l’accord, en vue de la constitution des premières unités du Mécanisme opérationnel de coordination (MOC) et du démarrage des opérations de pré-cantonnement et de DDR…. Après avoir fait un listing de toutes les « avancées de l’accord de paix, le président de la République a déclaré que chacun, à son niveau, a pu constater que tout ne se déroule pas comme prévu. « Depuis la signature de l’accord pour la paix, les obstacles à sa mise en œuvre se sont multipliés; le parcours qu’on a souhaité le plus paisible possible s’est avéré des plus sinueux et improbables, atténuant fortement, par moments, l’enthousiasme et l’espoir de nos concitoyens les plus optimistes», reconnait le président de la République. Il indiquera que très prochainement les autorités intérimaires seront installées et le Mécanisme opérationnel de coordination sera effectif.

Sur le terrain, rien n’a changé

Concrètement un an après la signature de l’accord rien n’a été fait sur le terrain. De report en report, les membres du Comité de suivi de l’accord(CSA) ont pu finalement s’entendre sur les modalités pratiques de mises en place des autorités intérimaires (15 juillet au 25 août) lors de la neuvième session ordinaire du comité de suivi de l’accord. Une question qui devait être tranchée au plus tard trois mois après la signature de l’accord. La méfiance et les tergiversations entre les membres du comité sont passées par là. Pendant six mois, au sein du CSA, l’organe chargé de la mise en œuvre de l’accord, les questions de la représentativité et du budget ont paralysé les travaux.

Selon Jean-Hervé Jézéquel, le directeur adjoint du projet Afrique de l’Ouest de l’International Crisis Group(IGS), un an plus tard, c’est la désillusion. « Sur le papier, des dispositions ont été prises. Mais sur le terrain, très peu de choses ont été mises en place », a déclaré Jean-Hervé Jézéquel au journal le Monde Afrique. « Quelques sites de démobilisation ont été créés et des listes de combattants éligibles à la réinsertion dans les forces armées ont été fournies, mais les avancées sont mineures. Les parties refusent de déposer les armes avant de savoir qui va gouverner localement et quel va être leur sort, quels postes seront donnés à la Plateforme et au CMA dans le dispositif sécuritaire malien de demain», explique-t-il, tout en ajoutant : « Nous observons une extension des zones de violence, notamment vers le centre du Mali, ainsi qu’une multiplication des accidents. Même s’il n’y a plus de grandes offensives comme en 2015, la situation est très préoccupante ».

Malgré la signature de l’accord de paix, le Mali reste en proie à l’insécurité. Le  jeudi 16 juin 2016 à New York, le Chef de la Minusma, Mahamat Saleh Annadif, dans le cadre de la présentation du rapport de Ban Ki Moon, le Secrétaire général des Nations-Unies sur la situation au Mali au Conseil de Sécurité, a déploré la détérioration de la situation sécuritaire au Mali.

Détérioration de la situation sécuritaire, malgré la signature de l’accord

L’insécurité, de la signature de l’accord à aujourd’hui, a fait au minimum 300 morts et 200 blessés au Mali. Selon le patron de la Minusma, l’évolution de la situation demeure malheureusement toujours préoccupante. « Un an après la signature de l’accord de paix, force est de constater que ni les signataires, moins encore la médiation internationale, ne sont satisfaits du rythme d’exécution de sa mise en œuvre. Cette lenteur qui est difficilement compréhensible est en train de compromettre tout le processus, notamment la mise en place des patrouilles mixtes. La situation sécuritaire s’est notablement dégradée ces dernières semaines », a –t-il dit. En plus, estime Mahatmat Saleh Annadif, la situation au Mali affecte la région entière. « Les récentes attaques en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso illustrent la fluidité des groupes terroristes et l’interdépendance des pays dans la lutte contre le terrorisme », a expliqué le patron de la Minusma aux membres du Conseil de l’ONU. Selon Mahatmat Saleh Annadif,  la faiblesse de l’Etat dans le Nord et l’absence d’un contrôle effectif du terrain par les autres parties là où elles sont présentes ont cédé la place à une montée du terrorisme, du crime organisé, du banditisme et des tensions intercommunautaires, etc. « Plus on accumule du retard dans la mise en œuvre de l’accord et la prise en charge réelle de ces défis, plus l’on risque de voir le processus de paix se fragiliser davantage», a avertit le chef de la Minusma. Il a souhaité un renforcement des capacités de la Minusma : « Il est nécessaire d’accroître les capacités à la fois de la Force et de la police en termes de personnel, d’équipements et de couverture aérienne.»

La plupart des localités des régions du Nord et du Centre du Mali échappe au contrôle des autorités maliennes. Constatant des difficultés dans la  mise en œuvre de l’accord, les populations de la région de Kidal ont haussé le ton le mois dernier. Les Kidalois ont, ainsi, manifesté pour non seulement inviter à une accélération de la mise en œuvre de l’accord de paix, mais aussi pour dénoncer l’absence des services sociaux à Kidal. L’insécurité et l’absence des services sociaux de base rendent difficile le retour des réfugiés. L’absence de l’Etat dans le centre et le Nord du pays a eu comme conséquence une multiplication des conflits intercommunautaires. Les conflits s’ethnicisent. Et pour se défendre, de nouveaux groupes armés voient le jour. A la veille de l’an I de l’accord de paix, plus précisément le samedi passé, un nouveau groupe armé a, ainsi, vu le jour au Mali. Il s’agit de l’Alliance nationale pour la sauvegarde de l’identité peule et la restauration de la justice (Ansiprj). Le mouvement politico-armé a été créé par des leaders peulhs remontés contre l’armée malienne qu’ils accusent de tuer injustement des membres de leur communauté. Le mouvement non djihadiste et non indépendantiste, selon son secrétaire général Oumar Aldjana, est un mouvement d’auto-défense.

 

Madiassa Kaba Diakité

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119 COMMENTAIRES

  1. Il fallait d’abord penser à consulter tous les maliens par referendum avant de se lancer en solo ( gouvernement tout seul ) dans une quelconque négociation ou signature d’accords . Le problème est avant tout national et non familial ( gouvernement familial ou politique familiale ) . A force de chercher à se faire voir on se fait avoir . Donc arrêtez de parler d’ennemis , d’opportunistes ,d’apatrides . L’entêtement a son prix à payer .Pensez vous que c’est un plaisir pour les maliens la situation que nous vivons aujourd’hui ? Modibo Keita était TRES CLAIR avec ses séparatistes il disait : ” UN PEUPLE -UN BUT -UNE FOI ” telle est la devise du MALI . Il n’ y a qu’un seul PEUPLE au MALI ,c’est le PEUPLE MALIEN . Donc pas de confusion intentionnelle entre PEUPLE et ETHNIE . Merci

  2. De toute façon, je lance un appel aux Maliens de tout bord, politique, religieux, société civile, porteurs d’uniformes, la diaspora etc…. Que la réussite de ce processus n’est pas une affaire du gouvernement tout seul. Parce qu’on a intérêt à ce que sa marche, pour le bien de nous tous. si non dans le cas échéant on ai tous responsable.

  3. un an après la signature de l’accord de paix, nous sommes patients et resteront attentifs dernière notre gouvernement dans tout ceux qu’il fait pour la bonne application de cet accord, parce qu’on sait, qu’il est au four et au moulin, que pour la recherche de la paix en la stabilité au Mali du Nord au Sud et d’est en ouest.

  4. aujourd’hui on ne peut pas parler de désillusion car le problème est plus que compliqué parce qu’il ne s’agit pas de rebellion mais des terroristes venu s’installer, acceuil par l’ancien régime avec armes et tout le monde connait la suite,aujourd hui le president ibk a pu obtenu un accord pour le retour d’une paix durable et vous parler de desillusion vraiment les mot me manque pour vous qualifié…

  5. Tout comme fait, du paraphe de l’accord à nos jours, le gouvernement est entrain de faire de son mieux pour sa mise en œuvre sur le terrain. Les actions entreprise son bien visible, les plants de cantonnement, l’entente pour la mise en place des autorités intérimaire, les gouverneurs de Ménaka et de Taoudenie etc…. sont là quelques points et j’en passe.

  6. les gens pense que le probleme du nord concerne que ibk,moi je remercie le president ibk grace a lui j’ai compris la realité du nord chose que l’ancien regime a n’a pu faire car il nous ont menti sur tout ce qui se passais au nord.

  7. les Différent parties s’est réuni à Bamako pour donner un coup d’accélérateur a la mise en œuvre de ce document, à l’issue de la rencontre un calendrier a été adopté pour l’installation des autorités intérimaires, le mécanisme opérationnel de coordination (MOC) les patouilles mixtes et le retour de l’administration sur l’instruction de IBK.

  8. samake je te rejoind car c est la premiere fois que nous le peuple malien on pu lire le contenu avant d’etre signé inchalla personne ne pourra mettre cette accord en cause.vivre le mali

  9. certaine personne de mauvaise foi veulent même parce qu’elle a été bien paraphé,voila tous le problème qui s’oppose.

  10. c est le meilleur accord que le mali pu signé,car elle préserve son intégrité territorial

  11. aujourd hui le mali est bien parti pour decrocher cette paix car nous savons la volonté.

  12. IBK est un homme de la paix, il incarne la paix et la réconciliation. Il a tout à accepter pour que l’accord puisse être signé, après la signature de l’accord plusieurs il a fait preuve de bonne foi dans le cadre de la mise en n’œuvre de du processus de l’accord de paix et de réconciliation. Les s’autres partie doivent faire preuve de bonne foi et responsabilité, ils doivent respecter leurs engagement pour que le pays enfin retrouver la paix et la sécurité durable.

  13. Le retour de la paix dans le nord Mali est certes difficile, mais possible. Tout le peuple malien doit se mobiliser derrière nos leaders, IBK et son gouvernement sont engagés, déterminés pour la lutte du retour et le maintien de la paix et la réconciliation dans le nord Mali. La crise du nord Mali est une crise qui date depuis la veuille de l’indépendance. C’est normal que les maliens doutes de cet accord, car la crise a connu des confusions et beaucoup d’atrocités qui continue jusqu’à présent. Mais IBK et son gouvernement œuvrent pour une paix possible et durable. Les maliens doivent accorder la confiance totale à nos leaders.

  14. La crise du nord Mali est une crise qui date depuis la veuille de l’indépendance. C’est normal que les maliens doutes de cet accord, car la crise a connu des confusions et beaucoup d’atrocités. Mais IBK et son gouvernement œuvrent pour une paix possible et durable. Les maliens doivent accorder la confiance totale à nos leaders.

  15. Le processus de paix est déjà en marche et le peuple malien ne doute pas de ses dirigeant. Nous sommes en marche vers un Mali un et indivisible.

  16. Le Mali aura la paix que vous le voulez ou pas donc cessez les articles à vocation diffamatoire.

  17. A moins qu’on ne soit ennemis du Mali sinon tout le monde s’est qu’il y a eu des avancés notable,eth le processus suit son chemin.Ne nous laissons pas distraire luttons pour un mali meilleur avec IBK

  18. IBK et son gouvernement sont à féliciter de leur détermination pour la quête de la paix et la réconciliation au Mali. La paix n’est pas un vain mot mais un comportement, le grand mérite revient à IBK et son gouvernement.

  19. Le processus a pris du temps certe mais nous devons garde espoir et nous devons continuer a soutenir nos dirigeants pour l’atteinte des objectifs qui leur son assigné .

  20. Aujourd’hui dire que le processus de paix n’avance pas n’est que parlé pour ne rien dire.Nous somme tous conscient que beaucoup de progrès ont été réalisé,notamment le processus de cantonnement,la mise en place des autorités intérimaire etc .

  21. Le mali a traversé,une crise sans précédant,une crise multidimensionnelle,s’il faut faire face a tout ses obstacles c’est normale que le processus puisse être lent au yeux de certains,IBK et son gouvernement on la ferme volonté de réunir tout les enfants du Mali,nous ne pouvons qu’en être fier.

  22. Le processus de paix n’est pas une course de vitesse,qui va lentement va sûrement donc soyons optimiste.

  23. Pour une paix durable il est nécessaire de se mettre à la table de négociation et tout ce processus prend du temps. Il est plus facile de détruire que de reconstruire un pays. Courage au Président IBK et au Gouvernement du Mali.

  24. La paix sur le papier n’est pas forcement la paix sur le terrain. Certes, Le président Keita et son gouvernement sont conscients de cela, mais l’accord la mise en application rencontre des difficultés ardentes mais pas insurmontables. Les différents acteurs doivent se faire confiance, le gouvernement est déterminé pour le en œuvre effective de l’accord de paix et de réconciliation.

  25. Le retour de la paix dans le nord Mali est certes difficile, mais possible. Tout le peuple malien doit se mobiliser derrière nos leaders, IBK et son gouvernement sont engagés, déterminés pour la lutte du retour et le maintien de la paix et la réconciliation dans le nord Mali en favorisant la mise œuvre de paix.

  26. Notre gouvernement doit être félicité a cause de cette entente trouvé avec ses groupes armés dans l’application sur la question d’autorité intérimaire comme cela avait été convenu par le gouvernement avant son anniversaire.

  27. La crise était le résultat de la succession de non-applications des accords signés. Je lance un cri de cœur à tous les compatriotes d’accompagner IBK dans l’application intégrale de ce document.
    En commençant d’abord par l’application de l’autorité intérimaire qui est une étape importante dans gestion de cette crise.

  28. L’opposition de notre pays veux passer par tous les moyens pour nuire ce pays qui tente de se remettre sur ces pieds pour que nous puissions avancer dans le processus de la paix et la réconciliation nationale.Mais avec le président IBK nous aurons la paix dans ce pays.

  29. La signature de l’accord de paix et la réconciliation est une grande étape pour le maintien de l’ordre et la sécurité dans le pays.
    20 juin 2015 signature de l’accord de paix avec les groupes armés fut parachevée a Bamako en ce jour même il y a une année.

  30. L’opposition de notre pays veux passer par tous les moyens pour nuire ce pays qui tente de se remettre sur ces pieds pour que nous puissions avancer dans le processus de la paix et la réconciliation nationale.Mais avec le président IBK nous aurons la paix dans ce pays.

  31. Le gouvernement ne va jamais accepter de partitionner le territoire mali au profil des groupes armés. L’adoption de cette loi est un préalable pour aboutir à la paix. Que l’opposition arrête de s’inciter la société civile à la révolte. Le pays n’a pas besoin d’une opposition sur l’application de l’accord dont elle a pris part à sa négociation

  32. Nous sommes tous au courant comment les négociations ont été vraiment tendu avant de pouvoir trouver un terrain d’entente.Chaque partie est obligé de renoncer des principes auquel ils tenaient vraiment pour une avancée dans ce processus de paix.

  33. L’accord d’Alger connait des problèmes de part et d’autres mais il y a eu quelques acquis même si ceux-ci ne sont pas à hauteur de souhait.
    Ce n’est pas la désillusion comme on veut vraiment nous le faire croire car mieux vaut aller lentement et surement que de brûler les étapes et se casser la figure aux premières difficultés. Malgré les problèmes les acteurs ont su toujours se retrouver et garder le cap. 😎 😎 😎 😎 😎

  34. Nous sommes actuellement au temps de dialogue dans ce pays,tout ce que le président IBK souhaite,c est le retour de la quiétude dans partout dans ce pays.Nous te soutenons sur cette lancée et nous en sommes sûr que les objectifs sera atteints.

  35. Le peuple malien a confiance au président IBK. Le Mali ira à la paix sans ces opposants qui pensent qu’à leur circonscription électorale. Cette entente a un agenda bien détaillé sur le redéploiement des services déconcentrés ainsi les autres services. Les autorités intérimaires seront choisies par le gouvernement , la CMA et lea société civile donc le choix se vient pas seulement aux groupes armés pour lui imposer les choses

  36. C’est une bonne avancée dans ce processus de paix après une année que les accords ont été parachevés à Bamako pour que le peuple malien pu avoir la paix et la tranquillité sur le territoire nationale.

  37. C’est parce que les Soumaila les voleurs vous ont payé pour mentir sur la mise en place de cette loi. Vous parlez de quelle concertation nationale encore. La société civile et ces opposants véreux ont tous participé à la signature de l’accord de paix. Je ne pense pas qu’ils aient compris le temps de lire cette loi. Tous des bornés.

  38. Nous sommes heureux que les groupes armés aient pris cette décision assez capitale pour le reste du processus de paix. Les autorités intérimaires étaient une étapes que le chef de l’état avait beaucoup misé pour son adoption mais sa mise en place avait soulevé des polémiques. Et aujourd’hui, tout semble bien terminé car un terrain d’entente est trouvé pour le bien-être de la population.

  39. Le bon fonctionnement de tout ce processus de paix et de réconciliation nationale dépend la mise en place de cette autorité intérimaire qui est une étape nécessaire, important pour la suite de l’application de cet accord de paix.

  40. Ce sont les politicards opportunistes qui voient une partition du pays à cause de vos intérêts électoraux. La cour constitutionnelle a validé la loi alors ce n’est des idiots de merdes comme vous qui mettrez la mise en place des autorités intérimaires.

  41. De plus en plus, les évènements montrent que le chemin vers la paix est en train d’être dessiné peu à peu. Les acteurs parlent tous de la même voix et c’est déjà un bon départ.
    Même si la paix n’est pas encore effective sur toute l’étendue du territoire, on doit pouvoir saluer cette prise de responsabilité de part et d’autres des acteurs en vue de la mise en œuvre effective de l’accord de paix. Le bout du tunnel n’est certainement pas loin et il faut oser y croire et y aller. ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ ➡

  42. Cette entente est une grande avancé dans l’application de l’accord pour la paix et réconciliation nationale mais monsieur le journaliste n essayez point de nous raconter vos histoires qui tienne pas debout.

  43. C’est la manipulation de l’opposition qui incite la société à associer à leur lutte qui n’arrange pas la situation. La paix demande des concessions et l’état malien s’est inscrit dans cette logique. Nous devons faire confiance au gouvernement actuel qui n’acceptera jamais de céder une seule portion de notre pays.

  44. Notre gouvernement doit être félicité a cause de cette entente trouvé avec ses groupes armés dans l’application sur la question d’autorité intérimaire comme cela avait été convenu par le gouvernement.

  45. Plus vite que la musique, on danse mal. Pourquoi se précipiter contre le Gouvernement qui se tue à la besogne pour rétablir la paix. Les résultats sont bien à la hauteur des attentes. Faites avancer le pays, nous vous soutenons

  46. Ça se voit que les Maliens ont décidé de prendre leur destin en main. Restons un et indivisible, ensemble nous allons combattre tous les ennemis du Mali.
    Il est temps de voler de nos propres ailes, personne ne pourra venir sauver notre pays a part nous-même. Et si les acteurs prennent leur responsabilité; c’est une bonne chose pour la suite des évènements dans la mise en œuvre des accords de paix.

  47. Le souhait des autorités de ce pays est d’apporter la paix, la réconciliation et la cohésion sociale à leur population donc il ne faudrait pas douter de leur bonne foi et être un peu patient.
    Les autorités ont marqué leur engagement pour ces accords et je suis sûr qu’elles le tiendront.
    Mais ceux qui entravent le processus de paix de façon voilée et qui viennent dire que le pays est divisé doivent se revoir car ce sont eux les premiers ennemis de la paix dans ce pays.

  48. Il faut saluer ce travail des acteurs de la crise malienne en particulier le gouvernement qui ne ménage aucun effort pour que des solutions puissent être trouvées aux problèmes qui plombent les accords de paix.
    Cette “entente” entre le gouvernement et les ex-rebelles est vraiment salutaire.
    Vivement la traduction sur le terrain de ces accords pour aller de plus en plus vers la paix.

  49. A travers l’énumération des différentes étapes accomplies par le Président IBK lors de son allocution, il faut reconnaitre que le goût de la paix s’annonce au Mali.

  50. Comme la maxime le dit lors que tu te laves avant de demander de l’aide pour qu’on te lave le dos il faut en premier lieu laver ton ventre qui est à ta portée. Juste pour dire que nous devons prendre en main l’accord de paix et nous engager pour la réconciliation. Que ce soit la société civile comme les acteurs politiques. La paix nous est profitable à tous et ne passera que par nous mêmes maliens d’abord.
    Mettons-nous ensemble pour avoir la paix durable et définitive.
    Vive la paix au Mali!

  51. Le président IBK est déjà animé par la volonté de faire avancer le Mali quant à l’application, elle se fait au fur et à mesure alors il n’y a rien à reprocher.

  52. Le discours du président de la république résume vraiment tout. Le Mali a assez souffert de cette crise qui a trop duré. Donnons nous la main pour que ce pays puisse avoir la paix car sans paix il n’y a pas de développement; il n’y a pas de vie en vérité…
    Alors mettons nous ensemble et évitons pour mettre le feu au poudre pendant que nous sommes sur la route de la paix.

  53. Il faut vraiment que l’appel du président IBK à l’union sacrée autour de la république à l’occasion de l’an un des accords d’Alger ne va pas tomber dans des oreilles de sourds. Comme il l’a si bien dit quelques soit nos divergences dans l’appréciation des choses; nous devons mettre le Mali au dessus de toutes autres considérations. C’est en cela que nous gagnons; nous devons donc nous y atteler pour que ce processus de paix obtenu a travers plusieurs concessions ne puisse pas couler car c’est un moyen pour nous ramener cette paix dont nous rêvons tous.

  54. L’accord d’Alger connaissait vraiment beaucoup de difficultés dans sa mise en application. Mais le gouvernement et la CMA ont récemment démontré à travers “l’entente” leur volonté à le mettre en application à travers différentes actions.
    Qu’on arrête de mettre de l’huile sur le feu et accompagnons les acteurs dans la mise en œuvre des accords.

  55. Il faut que la société civile accepte d’accompagner l’état malien. Si l’accord de paix a été adoptée c’est pour le bien être de notre pays. C’est vrai qu’il y a des non dits dans cet accord mais nous demandons l’accompagnement de tous acteurs politiques pour que le Mali renoue avec la paix.

  56. L’accord de paix connait des obstacles comme tout accord d’ailleurs mais il y a des avancées.
    Je pense donc qu’il est temps qu’on se donne la main, soutenir le président, nos forces armées, le gouvernement, leurs montrer à quel point l’accord de paix compte pour nous, c’est sure que le Mali retrouvera le bonheur car avec l’accord de paix Plateforme,Gatia, Cma, Fama: c’est une famille maintenant! VIVE LA PAIX AU MALI

  57. La mise en place des autorités intérimaires dans les 5 régions sera décidé avec l’accord du gouvernement, la société civile et les groupes armés. Donc je ne sais encore pour de telle question de partage du pays. Le président a bien réfléchi avant de signer cet accord.

  58. Avec une opposition qui n’en fait qu’à sa tête, le respect de la totalité de l’accord ne peut être que mise en retard mais il faut reconnaitre qu’un grand pas a été effectué à travers l’entente sur la mise en place des autorités intérimaires.

  59. La guerre est un fruit de la dépravation des hommes, c’est une maladie convulsive et violente du corps politique, il n’est en santé, c’est-à-dire dans son état naturel que lorsqu’il jouit de la paix. Il est temps de tourner la page des violences afin de se préparer pour accueillir cette paix que nous devons préserver.

  60. je pense qu’avec le récent entente entre le gouvernement et les groupes armés, nous pouvons croire que cette paix c’est pour bientôt car un calendrier a été fixé pour la mise en place des accords de paix. avec l’installation des autorités intérimaires et le redéploiement des services techniques nous pouvons maintenant dire que le nord est récupéré.

  61. Nous devons savoir qu’un pas très important vient d’être fait par les partis signataires de l’accord d’Alger. Et pour la suite chacun doit respecter les engagements pris ainsi nous allons tous être heureux.

  62. Il vaut aussi souligné que cet accord à donner beaucoup d’espoir à la population malienne car c’est une volonté ferme du président de la république d’aller à une paix durable qu’il a décidé très bientôt de nommé un haut représentant.

  63. Le peuple malien doit rester confiant, notre Gouvernement, malgré les difficultés, fait de son mieux pour rétablir la paix.

  64. Je pense qu’après l’installation des autorités intérimaires et le redéploiement des services techniques il faudra accélérer le processus sans mettre de temps avant le cantonnement et le DDR sinon il aura encore des blocages. Je pense que les groupes armés doivent faire des sacrifices à leur niveau afin d’éviter les blocages de la mise en œuvre des accords de paix car beaucoup d’efforts sont fournis par le gouvernement pour atteindre ce résultat.

  65. la nomination et l’installation des Gouverneurs des nouvelles régions de Taoudéni et Ménaka dont une enveloppe de 1,8 milliard a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’administration générale permettra le bon fonctionnement de ces deux régions ainsi nous pouvons passer au développement.

  66. Le président de la république certes à reconnu certains défaillance quand à la pratique de ce accord qu’il trouve lui même très complexe.

  67. Nous devons savons qu’un calendrier a été mis en place pour l’installation des autorités intérimaires et le reploiement de l’administration dans les cinq régions du nord. Une chose est certaine c’est que le gouvernement et les groupes armés sont parvenus à un accord mais il serait mieux d’accélérer le processus afin d’éviter encore des blocages car avec les groupes armés il faut attendre à tout.

  68. je pense que qu’on discute avec des personnes qui raisonnent et qui vont dans le sens de la réconciliation nationale.L’opposition malienne ne veut que salir le mandat du président IBK.Elle est donc bornée et ignore tout ce qui nous fait avancer.

  69. l’accord de paix au Mali à été signé il y a juste un an. Après cette signature, on peu dire que le Mali à beaucoup avancer. Tel que la création des nouvelles régions poursuivit par la nomination de ces gouverneur, une loi voter pour la mise en place des autorités intérimaires qui renforcera les collectivités.

  70. le fait que le processus de mise en place des accords était bloqué, cela a dégradé la situation sécuritaire au nord avec des attaques par ici des attaques par là et il faut dire que le mois de Mai a été le mois qui a enregistré plus de victime. aujourd’hui les deux parties sont parvenues à s’entendre pour accélérer le processus de paix en commençant pas l’installation des autorités intérimaires.

  71. je pense que tous sont unanimes que les résultats ne sont pas à hauteur des ententes du peule qui avaient cru à la signature des accords de paix. le plus dure reste à venir donc nous regardons toujours en direction de Kidal car il faut le dire que c’est la mauvaise foi des groupes armés qui a fait que nous sommes toujours à ce stade. tout compte faire cette paix nous l’aurons et bientôt.

  72. Le gouvernement malien et les groupes ont trouvé une entente sur les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires. Merci au gouvernement, il était temps que les groupes armés voient ce qu’on voyait depuis longtemps.

  73. Restons confiants, car malgré les quelques coups médiatiques de l’opposition, les accords d’Alger et d’Anéfis progressent et va nous envoyer à la paix.Le président IBK dans cette allocution a mis l’accent sur les avancées dans la mise en œuvre de l’accord.Le Mali arrivera certainement à la pais avec le président IBK.

  74. Un an après sa signature,la situation n’est pas comme avant, il y a eu des avancés sur le processus mais un accord est un accord, parfois il peut y avoir des discussions sur des parties qui s’avère difficile, le comité de suivie est dans sa 9 eme phase de rencontre qui aboutit toujours à quel que chose. Il y a eu une entente entre le gouvernement et les groupes armés sur la mise en place des autorités intérimaires dans les régions concernées.

  75. L’accord entre le gouvernent malien et la CMA indique que les préfets, sous-préfets et gouverneurs seront secondés de représentants de la CMA et de la Plateforme. Les trois parties se sont aussi engagées à assurer la sécurité et le redéploiement des services sociaux de base.C’est le retour de l’administration à Kidal.Les ennemis de notre pays peuvent dire ce qu’ils veulent.Cela ne nous empêche pas d’avancer sur la route de la paix.

  76. il est temps que les signataires (Les groupes armés) de l’accord nous prouvent leur honnêteté, leur patriotisme et leur sens de l’honneur. On ne signe pas un accord pour s’éterniser dans la négociation. C’est placer la charrue avant les bœufs. En hommes, les signataires doivent respecter la parole donnée. Plus jamais question de conflit ni de partition du pays.

  77. Je pense que nous devons nous donner la main, majorité et opposition, combattants maliens de tous bords, pour la paix au prix de la vérité et de la justice, à travers une véritable concertation nationale. Il le faut maintenant car nous perdons à attendre.

  78. Toute la population malienne souffre de la lenteur de la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger. Il est temps que des choses sérieuses commencent pour sauver ce pays.

  79. L’autorité intérimaire est composée des représentants du gouvernement et de la plateforme et ses membres seront désignés de façon consensuelle. Une fois en place, elle choisira un président et deux vice-présidents en son sein. Le président sera provisoirement le chef de l’exécutif local.Qu’est ce que les idiots ne comprennent pas en cela et dise du n’importe quoi.

  80. Prévue par l’accord de paix, la mise en place des autorités constituait un blocage dans le processus de paix. Les groupes armés l’avaient posée comme condition pour poursuivre leur participation aux travaux du comité de suivi de l’accord.Un accord a été trouvé pour avancer.C’est le plus important.L’opposition malienne peut dire ce qu’elle veut le pays avance sur le chemin de la paix.

    😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  81. Pour résoudre le problème au nord Mali il faut attaquer le mal par les racines. Le nord a toujours crée des problèmes aux régimes précédents du fait d’un délaissement. C’est pourquoi le président IBK a jugé bon de conférer des pouvoirs décisionnels aux nouvelles autorités afin de poser des actions de développement dans ces zones.

  82. Gardons de l’espoir, le meilleur de cet accord est à venir parce que rien n’est encore fait une fois les autorités en places en places, les services déconcentrés de l’Etat seront présent, et après le MOC sera opérationnel, le tout c’est juste une question de temps, la cma a compris maintenant le sens de la paix.

  83. L’accord prévoit un calendrier de mise en œuvre et du retour de l’administration dans les cinq régions du nord du Mali. Ainsi, dès le 30 septembre, on assistera au retour effectif de certains services de l’État à Kidal, actuellement hors de son contrôle. Il s’agit notamment des services techniques de l’éducation, la santé, l’énergie et l’eau et la justice.C’est cette avancée qui gène l’opposition malienne et qui paye ces journalistes pour dire du n’importe quoi.

  84. Ce qui nous reste c’est de souhaiter, comme l’a si bien dit le samedi, le ministre algérien des Affaires étrangères, à la signature d’un accord pour la mise en place des autorités intérimaires, « un nouveau départ ». IBK a promis de tout faire pour « maintenir l’espoir d’optimisme et la confiance ». ➡ ➡ ➡

  85. Il faut dire qu’après une année de la signature des accords de paix et de réconciliation, presque rien n’a été fait sur le terrain car les acteurs du processus ne sont pas parvenus à un accord afin de permettre la mise en place des accords de paix qu’ils ont eux-même signés. Mais il faut dire qu’aujourd’hui ils sont parvenus à une entente qui permettra de booster le processus de paix.

  86. Les détracteurs qui veulent qu’on reste sur cette situation de non droit au nord, pensent que rien n’a été fait, alors qu’il y a eu plein plein de choses dans l’accord qui ont bougé, il y a des sites de cantonnement qui sont construit, d’autre chantier son en cours, l’entente a été fait entre les parties en ce qui concerne l’installations des autorités intérimaires dans les régions concernées.

  87. La lenteur dans la mise en œuvre de l’accord de paix réside à plusieurs niveaux. Il faut reconnaître qu’en dehors de la mauvaise foi de certaines parties signataires, le gouvernement malien manque de moyens pour tout mettre en place pour cette mise en œuvre, et la communauté internationale ne veut pas la fin de la crise aussi tôt.

  88. L’accord de paix d’Alger de 2015 est une réussite pour le régime d’IBK. Mais cet accord a du mal à s’appliquer. Car le comité de suivi avait lui aussi du mal à se mettre en place. Ce retard s’explique par le double jeu des groupes armés qui jouent à la complicité avec les terroristes.

  89. Selon le patron de la Minusma, l’évolution de la situation demeure malheureusement toujours préoccupante. « Un an après la signature de l’accord de paix, force est de constater que ni les signataires, moins encore la médiation internationale, ne sont satisfaits du rythme d’exécution de sa mise en œuvre. OUI c’est normale parce que la minusma est en complicité avec ces gens dont elles sont sensé la neutralisée. ➡ ➡

  90. En trouvant un consensus sur La mise en place des autorités intérimaires et d’autres points saillants de l’Accord de paix, les parties signataires posent ainsi un pas important dans la mise en œuvre du document issu du processus d’Alger.Les maliens,les vrais en sont satisfaits.Les autres pseudos maliens peuvent dire ce qu’ils veulent mais le pays avance.

  91. dans un document officiel dénommé ‘’Entente’’, le Gouvernement et les mouvements armés, en l’occurrence la Plateforme et la CMA, ont consigné les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires, du redéploiement des services déconcentrés de l’Etat.Nous sommes très contents de cette de cet accord qui constitue un coup d’accélérateur pour le processus de paix.

  92. Un processus de paix a toujours été des étapes. Si après un an les deux protagonistes ont décidé de revoir l’accord c’est de bonne augure car cela montre leur volonté manifeste d’aller résolument à la paix pour le bonheur de tous. Cette action doit être saluée et accompagnée par l’ensemble de la société et des partenaires techniques et financiers.

  93. La volonté de parvenir coûte que coûte à la paix du gouvernement malien est connue de tous. Les groupes armés ont toujours été, sont et resteront les plus grands obstacles au retour de la paix dans notre pays. Ils sont en complicité avec les terroristes pour rendre les choses difficiles au gouvernement et profiter de la situation.

  94. Le président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta tient beaucoup au retour de la paix et de la réconciliation nationale. Si seulement les autres parties signataires de l’accord d’Alger étaient de bonne foi comme le gouvernement, cette nation allait connaitre la paix depuis fin 2015. 😈 😈 😈

  95. les chefs de l’état de la communauté doivent savoir que la crise malien est aussi complexe qu’il ne le pense les troupes qu’ils ont envoyé au nord ne suffisse pas pour faire face au menace qui guette la région il faut l’engagement totale

  96. La gestion de la crise malienne n’est pas cachée du grand public malien et de toute la communauté internationale. Les avancées faites par le régime en place sont connues de tous et le retour de la paix n’est plus impossible. Ce sont toujours certains groupes rebelles qui servent de soutiens aux terroristes qui déstabilisent actuellement notre pays.

  97. L’accord connait un blocage certes mais il n’est pas dit qu’il a failli les parties signateurs les rebelles de la plateforme ne veut pas s’engager réellement dans le processus de paix ils exigent du gouvernement leur conditions qui ne sont pas définis dans l’accord et tout le monde les soutien ainsi ils participent a la chute du nord afin de s’en emparer

  98. Les blocages ainsi levés, il faut donc espérer que les parties auront le sens du compromis pour la suite d’un processus qui accuse du retard. Ce, pour le bonheur des populations du Nord, des milliers de réfugiés, des Maliens tout court.
    Ce sont les ennemis de notre pays qui trouvent des choses à dire à ce sujet.

  99. JE PENSE LE GOURVERNEMENT A TOUT MIS POUR OBTENIR CETTE PAIX QUE NOUS ATTENDONS TOUS .AUJOURD’HUI TOUT LE MONDE ENTIER A RECONNU ENGAGEMENT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE.

  100. Les détracteurs qui veulent qu’on reste sur cette situation de non droit au nord, pensent que rien n’a été fait, alors qu’il y a eu plein plein de choses dans l’accord qui ont bougé, il y a des sites de cantonnement qui sont construit, d’autre chantier son en cours, l’entente a été fait entre les parties en ce qui concerne l’installations des autorités intérimaires dans les régions concernées.

  101. Actuellement, le Mali a besoin de stabilité plus que jamais. L’application de l’accord de paix n’est possible que dans la stabilité. Les récentes attaques viennent de freiner la mise en œuvre du document de paix d’Alger. Les complices de ces attaques sont invités à la prise de conscience de l’enjeu de leur acte. Le gouvernement est mille fois de bonne fois plus que les groupes armés.

  102. Je pense à juste raison que la solution de la crise au nord du Mali passe par un réel transfert des compétences et des ressources de l’Etat central aux collectivités territoriales mais surtout a la bonne idée du président IBK de régionalisation qui va dans ce sens et les autorités intérimaires et les élus locaux tous vont s’engager pour le développement de la dite région

  103. Les maliens doivent tous accepter le retour de la paix et de la stabilité dans leur pays. Les groupes armés, considérés aussi comme des maliens, doivent faire preuve de bonne foi pour une meilleure application de l’accord. Vu les avancées, je pense que le gouvernement n’a pas de responsabilité dans la lenteur.

  104. Comme on le dit il n'est jamais trop tard pour bien faire.L'accord de paix connaît des difficultés certes, dans sa mise en oeuvre,mais les parties s'accordent à aller résolument à la paix.Cet accord est contenu dans une entente dans la quelles les modalités de la mise en place des autorités est détaillée.Le gouvernement malien fait tout le possible pour arriver à la paix et nous sommes confiants que nous aurons la paix d'ici peu dans notre pays.

  105. Le retour de la paix et de la stabilité dans cette nation n’est possible que si toutes les parties signataires de l’accord de paix acceptent de traquer toute personne pouvant servir de menace à l’application à la lettre du document contenant leur engagement respectif.

  106. Certes, des difficultés jalonnent le processus de paix, après plus d’un an de signature mais nous devons comprendre que le retour de la paix à travers la mise en œuvre d’un accord de paix n’est pas du tout une chose facile. Le blocage actuel n’est pas de la responsabilité du gouvernement mais celle des groupes armés.

  107. La mise en œuvre de l’accord de paix d’Alger connait des difficultés. Le président de la république du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta est contre la lenteur qui freine l’application de l’accord d’Alger. Mais tout le problème réside au niveau des groupes rebelles qui, à mon avis, ne sont pas toujours de bonne foi. 😈 😈 😈

  108. L’accord de paix au Mali a une année, en ce qui concerne le bilan, il y a eu un pas vers la mise en applications de l’accord, le gouvernement et les groupes armés se sont mis d’accord sur l’installation des autorités intérimaires, qui facilitera le retour des services déconcentrés de l’Etat. ➡ ➡

  109. Le seul problème qui se pose dans la mise en œuvre de l’accord est que le CMA et le plateforme veut que le gouvernement installe les autorités intérimaires sans qu’ils ne soient cantonnés comme le prévoyait l’accord c’est sur cette base qu’il ont commencé avec les hostilités contre les camps des armées maliennes ainsi que celle des forces étrangères et cela au su de la commission de suivi de l’accord et de la CEDEAO l’état exerce son autorité a travers les autorités intérimaires

  110. Il faut être contre la personne d’IBK’pour pouvoir attribuer la responsabilité de la lenteur accusée dans l’application de l’accord de paix au chef de l’État, comme le font les pessimistes. Toute personne bien informée du cours du processus de paix sait qu’IBK est engagé pour le retour de la paix dans notre pays. Ce pendant, le renforcement du mandat de la MINUSMA est une nécessité.

  111. Dire que, la plupart des localités des régions du Nord et du Centre du Mali échappe au contrôle des autorités maliennes, je trouve ça absurde, ce journaliste ne nous écrit que des balivernes, l’accord avance petit à petit.

  112. Mahatmat Saleh Annadif, dire que la situation du Mali se dégrade et affecte la région entière, je trouve ça ridicule, nous sommes victime de la dégradation d’une autre situation, seulement vous ne faites pas votre travail, si la situation n’était pas dégradable, toi tu ne serais pas ici.

  113. Il faut être un’’ IBK-phobe’’pour pouvoir attribuer la responsabilité de la lenteur accusée dans l’application de l’accord de paix au chef de l’État, comme le font les pessimistes. Toute personne bien informée du cours du processus de paix sait qu’IBK est de bonne foi pour le retour de la paix dans notre pays. Ce pendant, le renforcement du mandat de la MINUSMA est une nécessité.

  114. Le président a bien progresser dans la restructuration des institutions de l’état sur le territoire nationale on sait tous bien qu’il est venu trouver le pays dans une situation déplorable mais malgré ça il a su redresser le bateau mali coulissant c’est pas maintenant que vous allez dire qu’il est incapable

  115. C’est en se donnant les mains, c’est en se pardonnant, c’est en se regardant dans le même direction que la paix semble trouver, mais pas en se divertissant, pas en étant orgueilleux.

  116. Le timbre du désaccord ne peut pas être brûler tant que vous les journalistes vous êtes la, à mettre de l’huile sur le feu, la paix n’est pas un petit mot comme tu l’imagines, dans le monde, aujourd’hui d’aujourd’hui tout le monde cherche cette paix tant attendu.

  117. Je rappelle la gravité de la situation sécuritaire au Mali et dans la région. La détérioration de cette situation constitue, sans nul doute, une menace pour l’ensemble de nos Etats. Nous espérons vivement que le Conseil de sécurité prendra les mesures nécessaires pour faire face à cette situation.

  118. il faut que le mandat de la MINUSMA soit modifié pour en faire une mission d’intervention et d’interposition à la fois. Il n’y a aucune information à donner à cette mission onusienne sur son adversaire. Elle doit agir conformément à son mandat, pour la bonne gestion de la crise au nord Je rappelle la gravité de la situation sécuritaire au Mali et dans la région. La détérioration de cette situation constitue, sans nul doute, une menace pour l’ensemble de nos Etats. Nous espérons vivement que le Conseil de sécurité prendra les mesures nécessaires pour faire face à cette situation.

  119. Une année après la signature de l’accord de paix entre le gouvernement et les groupes armés, l’heure est au bilan, en ce qui concerne l’accord, il y a eu des avancés sur plusieurs plan même si le mise en oeuvre a été bloquée pendant un moment ➡ ➡

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