C’est un secret de polichinelle. Les rapports entre la Suisse et les mouvements rebelles touaregs de notre pays ont toujours été très étroits. On se rappelle que les 25, 26 et 27 juillet 2012, le département fédéral des Affaires étrangères (DFAE) avait financé une réunion politique des rebelles touareg indépendantistes du MNLA, à Ouagadougou, au Burkina Faso. Moussa Ag Assarid, le porte-parole du MNLA déclarait en son temps que : ” La Suisse aidait à faire promouvoir la paix au nord du Mali “. Plusieurs fois des organisations de la société civile ont dénoncé la Suisse comme l’un des parrains de la rébellion touarègue.
Aussi la délégation de dignitaires religieux (musulmans et chrétiens) et de patrons de syndicats en rencontrant les autorités de ce pays leur a clairement expliqué qu’ ” il n’y a pas de crise entre les communautés du nord et du sud et que ce sont quelques individus non représentatifs des communautés du nord qui ont pris les armes pour défendre leurs propres intérêts “.
Ils ont déclaré avoir expliqué à leurs interlocuteurs qu’ ” il n’y a pas non plus de problèmes religieux au Mali qui demeure un Etat républicain, laïc et démocratique “. Ils disent avoir également réaffirmé à leurs hôtes l’opposition des Maliens à toute forme de division de leur pays et leur volonté de vivre dans un Etat unitaire. A Berne, tout comme à Genève, les officiels et religieux helvétiques ont réaffirmé leur soutien à l’unité du Mali et déclaré ne plus soutenir le MNLA. Les membres de la délégation disent avoir réitéré le même message à Paris à travers des rencontres au Quai d’Orsay, au ministère de l’intérieur, au Secrétariat d’Etat chargé du développement et de la francophonie (Annick Girardin), à la Francophonie avec la Secrétaire générale Michaëlle Jean, à la fédération des associations islamiques d’Afrique et des caraïbes et à l’Elysée. En Belgique, la délégation a eu des rencontres au Parlement européen, au Parlement belge et au Service européen pour l’action extérieure de l’Union européenne. S’y ajoutent des entretiens au siège d’Amnesty International, de la FIDH,etc.
Par ailleurs, la délégation, qui a tenu à saluer l’ambassade de France et la commission de l’Union européenne au Mali, a précisé avoir effectué cette mission sur fonds propre.
Signalons que la délégation de 15 membres était conduite par Chérif Ousmane Madani Haïdara et comprenait l’imam Mahmoud Dicko, Monseigneur Jean Zerbo( porte-parole) le pasteur Youssouf Dembélé, Mohamed Ahmed Ag Hamani, ancien premier ministre, les honorables Adama Kane, N’fa Simpara, Mohamed Ould Matali. On notait aussi la présence de Mohamed Maki Ba, Bandiougou Gakou, ancien diplomate.
Abdoulaye DIARRA
Des escrocs
LE MNLA RESTERA MAUDIT POUR TOUS LES CRIMES COMMIS SUR DE PAISIBLES POPULATIONS QUI N’ASPIRENT QU’A VIVRE …………..LEUR QUOTIDIEN………….
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LE MNLA RESTERA MAUDIT POUR TOUS LES CRIMES COMMIS SUR DE PAISIBLES POPULATIONS QUI N’ASPIRENET QU’A VIVRE …………..LEUR QUOTIDIEN………….
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ils sont venus en Europe pour gouter au Johnny Walker , sacrés religieux 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
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