La MISMA déploie des observateurs des droits de l’homme à Tombouctou

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La Mission internationale de soutien au Mali (MISMA) a annoncé samedi avoir procédé, après Gao (nord-est), au déploiement de sa deuxième équipe d’observateurs des droits de l’homme dans la région malienne de Tombouctou (nord-ouest).
observateurs des droits de l'homme
Composée de deux dames et de deux hommes, l’équipe a été accompagnée vendredi dans la région par l’avocate et professeur de droit, Reine Alapini Gansou, chef de la composante Droit de l’homme de la MISMA.

Pierre Buyoya, le chef de la MISMA, s’est réjoui de ce nouveau déploiement d’observateurs des droits de l’homme, soulignant qu’il va permettre de ‘’connaître la vérité sur la situation des droits de l’homme au nord du Mali depuis le déclenchement de la crise malienne”.

 

 

Une première équipe de quatre observateurs des droits de l’homme de l’Union Africaine (UA) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) avait été déployée par la MISMA dans la région malienne de Gao (nord-est), le 7 juin dernier.

Toutes les équipes sont attendues fin juin à Bamako pour la préparation d’un rapport devant spécifiquement être consacré aux ‘’violations des droits de l’homme”, a précisé la MISMA.

 

 

APA

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1 commentaire

  1. Nous sommes notre propre mal à force de nous coucher…. La Vie appartient à ceux qui croient et non à ceux qui désespèrent. Si nous estimons que Kidal est déjà perdue, redessinons alors la carte du Mali. Si elle n’est pas perdue dans nos têtes et nos cœurs, DEBOUT, MALIENNES et MALIENS ! APRES LE 1er JUILLET ET SES CASQUES BLEUS, CE SERA TROP TARD. Les arbitres viendront jouer au ballon et le match sera truqué. De faux penalties pulluleront sur le terrain. Contre nos quelques défenseurs rescapés, l’arbitre même sifflera la faute imaginaire. Kidal sera un lointain souvenir. Modibo Keita pleurera une seconde fois. Soundjata et Sonni Ali Ber nous maudiront de voir leurs noms mêler à cette affaire d’héritiers imposteurs et indignes de leurs noms, leurs cœurs et leurs âmes ! Oui, si l’Histoire doit se faire, personne ne viendra l’écrire et la faire à la place des Maliens, eux qui, avant le reste de l’Afrique ont inauguré le Cycle des printemps révolutionnaires… en 1991. Y.T.(Reporteur)

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