Incroyable mais vrai. Romano Prodi, Représentant de Ban Ki Moon au Sahel, depuis sa nomination n’a effectué aucune visite à Bamako ou au Nord du Mali, théâtre des opérations, pour se faire une idée, sans parti pris, comme se le doit tout représentant impartial et sérieux. Il s’est assis dans des salons marocains et algériens et s’est permis en toute liberté de décider du sort de millions de personnes, agressées sur la terre de leurs ancêtres, par de faux djihadistes et des narco trafiquants ignorant tout des réalités des populations au nom desquelles et pour le salut desquelles ils prétendent agir. Que dire des pratiques mafieuses qui soutendent la réaction de Prodi sur la crise malienne ?
La désignation de Romano Prodi comme représentant de Ban Ki Moon au Sahel et la jubilation qui s’en est suivie dans les rangs des supposés soutiens des groupes armés au Nord du Mali, ont profondément inquiété les observateurs maliens. Ils ont de quoi, car les jours qui ont suivi ont sérieusement mis à mal toute la dynamique salvatrice de la France et des états de la CEDEAO, visant à libérer immédiatement les territoires sous occupations, afin de mettre fin à la souffrance de nos compatriotes.
En effet, Romano Prodi à la suite des visites dans deux pays maghrébins, a laissé entendre qu’une intervention ne serait possible qu’en septembre 2013, ” de l’avis de tous les experts ” s’est-il empressé d’ajouter, comme pour se dédouaner. Si le rôle du Maroc, l’un des pays visités, reste à définir dans la crise au Nord de notre pays, l’Algérie, elle, s’est illustrée par une opposition têtue et inexpliquée à toute intervention visant à libérer nos populations des exactions commises contre elles par ses ressortissants djihadistes. Mieux, elle compte de nombreux agents de renseignement au MNLA et à Ansardine, aux combattants desquels elle a apporté aide et assistance contre le Mali. Cette même Algérie a usé de sa diplomatie et de son argent, pour convaincre Ban Ki Moon de nommer Prodi au détriment d’un compatriote dont le jeu futur serait trop flagrant et contre l’ancien président nigérian qu’elle n’aurait aucun moyen pour contrôler. Ainsi, ayant mis Ban Ki Moon et Romano Prodi dans le sens de ses intérêts propres au détriment de la paix du Mali et de la quiétude de sa population, le pays de Bouteflika récompense l’ancien président du conseil italien en signant avec son pays des accords commerciaux préférentiels que seule une gratitude infinie pourrait commander. La chose est si immorale que de nombreuses voix s’élèvent au Mali et en Afrique pour demander l’ouverture d’une enquête internationale qui servirait à prouver le jeu de corruption de la diplomatie algérienne sur ces fonctionnaires onusiens. Surtout que Romano Prodi depuis sa nomination n’a effectué aucune visite à Bamako ou au Nord du Mali, théâtre des opérations, pour se faire une idée, sans parti pris, comme se le doit tout représentant impartial et sérieux. Il s’est assis dans des salons marocains et algériens et s’est permis en toute liberté de décider du sort de millions de personnes, agressées sur la terre de leurs ancêtres, par de faux djihadistes et des narco trafiquants ignorant tout des réalités des populations au nom desquelles et pour le salut desquelles ils prétendent agir.
Mais ce mépris de Romano Prodi pour le Mali et ses populations sous occupations ne saurait durer. Et les pratiques mafieuses qui le guident dans ce sens sont aussi sans avenir. En effet, ni la France, ni l’Union Africaine ou la CEDEAO et encore moins les populations maliennes ne se laisseront faire par cet attelage qui accorde plus d’importance aux relations mercantiles entre pays qu’à la crédibilité de la justice et du droit international. Romano Prodi a-t-il demandé leur avis aux experts de la France ou à ceux de la CEDEAO, ou, encore à ceux du Mali premiers concernés ? Outrepassant son droit et se croyant investi d’un pouvoir de vie ou de mort sur nos populations, Romano Prodi l’italien, n’a même pas daigné expliquer comment l’ONU compte soulager les souffrances des habitants de Gao Tombouctou et Kidal, en attendant son fameux ” septembre 2013 “. En agissant de la sorte, Romano Prodi donne le permis de tuer, de violer, d’amputer, pour briser moralement et physiquement toute résistance des populations face au calcul que ses amis algériens et narco trafiquants ont sur le Nord du Mali. Mais grande sera la surprise, car le Mali ne se laissera pas faire, et, ses amis n’attendront certainement pas une date ou un si long temps de prétendue préparation, que même la guerre contre Hitler n’avait pas nécessité. La communauté internationale sait aussi que l’ONU, qui en deux semaines, avait décidé de faire une guerre en Libye, beaucoup plus coûteuse et risquée, ne se compromettra pas avec des impostures et des arrangements entre Etats mafieux et diplomates sans scrupules.
Lire les articles ci-dessous qui étayent nos propos.
Mamadou DABO
L’Algérie et l’Italie signent huit accords de coopération et mémorandums d’entente
(Xinhua) – L’Algérie et l’Italie ont signé mercredi huit accords de coopération et mémorandums d’entente, à l’occasion de la visite du président du Conseil des ministres italien Mario Monti, qui a effectué une visite d’une journée en Algérie, a rapporté l’agence APS.
Parmi les accords figurent une convention de coopération entre les ministères de la Défense des deux pays dans le domaine de l’aviation, un accord de coopération concernant le domaine du transport maritime, et un accord relatif à la coordination dans les opérations de recherche et de sauvetage maritimes.
Par ailleurs, les deux parties ont procédé à la signature de cinq mémorandums d’entente, dont quatre portent sur la coopération industrielle et la promotion du partenariat, les archives, la protection du consommateur et le contrôle des produits industriels et des services, ainsi que la coopération dans le domaine de la protection civile.
Le dernier mémorandum d’entente a été signé entre l’agence nationale de promotion du commerce extérieur et l’organisme italien pour le développement du commerce extérieur.
Dans une déclaration à la presse, M. Monti a indiqué que l’Algérie et l’Italie ont décidé de donner un “nouvel élan” à leurs relations, notamment dans le domaine économique.
Plus tôt dans la journée, M. Monti s’est entretenu en tête à tête avec le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et le Premier ministre Abdelmalek Sellal, avant que les entretiens n’aient été élargis aux membres des deux délégations.
M. Monti a qualifié les entretiens d”‘intenses” et “hautement productifs” pour le développement des relations bilatérales.
A propos du sujet malien, ce responsable italien a indiqué, dans un entretien paru mercredi sur le journal Liberté, qu’il privilégie une solution politique à la crise au Mali, sans toutefois exclure la voie militaire.
“La résolution (2071) du Conseil de sécurité (sur le Mali) constitue une base commune dans laquelle toute la communauté internationale se reconnaît. Et elle privilégie très justement une solution politique sans exclure la voie militaire“, a-t-il déclaré.
M. Monti est en Algérie dans le cadre du 2e sommet algéro- italien, en vertu du Traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération entre l’Algérie et l’Italie, signé le 27 janvier 2003. Le premier sommet s’était tenu en 2007, à Alghero en Sardaigne ( Italie).
Le président du conseil italien, mario monti, a ” Liberté “
“L’Algérie un partenaire important pour l’Italie“
Par : Salim Tamani
Dans cet entretien, le président du Conseil italien, M. Mario Monti, alors à Alger pour une visite officielle d’une journée, évoque l’importance des relations énergétiques algéro-italiennes à travers la réalisation prochaine du Galsi, annonce l’intérêt des constructeurs italiens pour le programme de logements en Algérie, et parle de la crise malienne en mettant l’accent sur l’intégrité territoriale de ce pays en tant que condition indispensable à toute solution mise en œuvre au Mali.
Liberté : Vous venez dans un contexte économique très particulier où l’Algérie déploie un vaste programme de développement. Les entreprises italiennes ont montré leur intérêt pour le programme de logements. Y aura-t-il des discussions à ce niveau ?
Mario Monti : L’intérêt des entreprises italiennes pour le marché algérien des grandes infrastructures civiles, remonte à la deuxième moitié des années 70.
Aujourd’hui l’engagement italien a atteint des niveaux d’excellence reconnue sur le plan de la qualité globale des produits. À titre d’exemple, beaucoup de technologies innovantes, utilisées en Algérie dans la réalisation de grandes infrastructures, sont tirées et transférées directement d’expériences italiennes.
Le programme que le gouvernement algérien compte réaliser dans les prochaines années pour la construction de logements dans le pays intéresse évidemment beaucoup nos entreprises, celles déjà présentes en Algérie aussi bien que celles qui le seront dans le futur. Afin de répondre au grand intérêt manifesté par celles-ci, il y aura, d’ailleurs, bientôt, une mission à Alger de l’Association nationale des constructeurs (Ance), à laquelle adhèrent maintes entreprises spécialisées dans les travaux publics, le bâtiment, la construction commerciale et industrielle, la protection de l’environnement, la promotion du logement et les travaux spécialisés.
Liberté : Le différend entre Sonatrach et l’italien Edison sur le prix du gaz, a été porté au niveau de l’arbitrage international, avait déclaré le 4 novembre un responsable de Sonatrach. Peut-on parler de contentieux dans les relations énergétiques algéro-italiennes?
Mario Monti : L’Algérie est pour l’Italie un partenaire de grande importance. Les relations entre les deux pays, qui remontent à l’époque de l’indépendance algérienne, sont excellentes et se sont constamment renforcées, même dans les moments difficiles. Elles ont culminé avec le Traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération de 2003. Dans le secteur des hydrocarbures, il y a un partenariat stratégique et un intérêt réciproque à renforcer la collaboration bilatérale. L’Italie est le premier partenaire commercial de l’Algérie et elle est aussi, et de loin, le premier acquéreur de gaz naturel algérien, qui couvre 35% de nos besoins nationaux. La relation avec l’Algérie pourrait bénéficier de la réalisation future du gazoduc Galsi, qui vise à relier directement l’Algérie à l’Italie à travers la Sardaigne, ainsi que de la recherche constante de nouvelles opportunités de coopération et d’élargissement des intérêts réciproques. Des questions qui relèvent des dynamiques commerciales normales ne peuvent pas affecter le rapport de fond
Liberté : L’Italie a bâti son économie sur la base des PME/PMI, économie à hauteur d’hommes, y a-t-il une offensive italienne dans ce sens en participant à la mise en place de ce type d’entreprises en Algérie ?
Mario Monti : Les petites et moyennes entreprises constituent effectivement la structure de base de l’économie italienne. À l’exception des entreprises qui opèrent comme sous-traitants dans le secteur de l’énergie et des travaux publics, la présence des PME italiennes en Algérie a essentiellement un caractère commercial. Mais ces relations entre les PME italiennes et algériennes durent souvent depuis des décennies et vont bien au-delà de la simple fourniture de machines. Elles comprennent également l’assistance, la formation et le transfert de technologie.
Il existe des marges importantes pour renforcer nos relations et promouvoir la création de partenariats entre les entreprises des deux pays en profitant des opportunités qui existent. Le Sommet est dédié aussi à l’identification d’instruments et de mécanismes pour renforcer ces liens dans l’intérêt mutuel.
Liberté : Le dialogue politique a toujours bien fonctionné entre Alger et Rome. Comment voyez-vous la situation dans le Sahel après la décision du Conseil de sécurité d’autoriser une intervention militaire pour libérer le nord du Mali ? Et la solution politique au Mali a-t-elle toujours des chances d’aboutir surtout après le retrait du groupe Ansar Dine de la branche d’Aqmi qui écume le Sahel avec le Mujao ?
Mario Monti : La résolution du Conseil de sécurité constitue une base commune dans laquelle toute la sécurité internationale se reconnaît. Et elle privilégie justement une solution politique sans exclure la voie militaire. Il est important que la communauté internationale agisse rapidement pour soutenir un processus politique qui renforce l’autorité du gouvernement de Bamako et qui prenne en charge les demandes des populations du Nord. En ce sens, il est important qu’un front commun malien se constitue contre le terrorisme.
Pour l’Italie, comme pour d’autres pays, l’intégrité territoriale du Mali est une condition essentielle de toute solution à la crise.
L’Italie est convaincue qu’une solution durable devra être trouvée seulement avec l’engagement de toutes les composantes de l’État malien, avec l’appui des pays africains et avec l’assistance de la communauté internationale tout entière. Nous sommes en contact étroit avec nos amis algériens sur ce dossier délicat aussi bien au plan bilatéral que multilatéral. Nous sommes confiants que le président Prodi, envoyé spécial du Secrétaire général des Nations unies apportera une contribution importante pour canaliser les efforts de la communauté internationale afin de développer une stratégie intégrée, acceptable et efficace.
Liberté : Le Printemps arabe va bientôt boucler deux ans, mais les sources d’instabilité sont toujours là malgré le changement des régimes. L’arrivée du courant islamiste au pouvoir en Tunisie, en Égypte notamment et la persistance de l’instabilité en Libye et la guerre en Syrie ont ajouté à l’incertitude de la région Mena. Qu’en pensez-vous ?
Mario Monti : Le Printemps arabe a constitué un changement radical, issu essentiellement de la volonté des populations d’avoir plus de liberté et plus de possibilités de développement des systèmes politique, économique et social, vis-à-vis des pouvoirs institutionnels qui, depuis des décennies, n’avaient pas été en mesure de répondre à ces exigences indispensables.
La plupart des pays touchés par ces grands changements sont en train de réaliser des pas importants vers la stabilisation et la démocratie en dépit de grandes difficultés. Je pense qu’il est important de leur tendre la main afin de garantir que cette transition ne prenne pas une allure dangereuse mais, qu’au contraire, elle renforce la stabilité et le bien-être des peuples de la région entière.
Liberté : La lutte contre l’émigration clandestine s’est intensifiée ces dernières années. Plusieurs algériens ayant tenté l’aventure se trouvent aujourd’hui dans des centres de transit en Italie. Ce dossier sera-t-il évoqué lors de vos entretiens avec les responsables algériens ?
Mario Monti : Le nombre d’Algériens reçu par les centres d’accueil temporaire en Italie a diminué au cours des ans. Cependant, la nécessité est de stopper les réseaux criminels qui organisent le phénomène de l’immigration clandestine. L’Italie a beaucoup apprécié l’excellente collaboration des autorités algériennes dans la prévention et la lutte contre les flux migratoires illégaux. Cette coopération migratoire se réalise dans un cadre juridique qui se fonde sur l’accord bilatéral de réadmission (en vigueur depuis 2006).
liens entre Ag Erlaf Prodi le mafieux le mediocre le narco trafiquant Il est raciste il n’aime pas du noir pour preuve il fait tout à partir d’ailleurs
La mafia italienne au service de l’Algérie pour déstabiliser le Mali sous couverture onusienne.
oui et en Mauritanie ou au Bouroudouna fasso
Kassim ton plan est parfait si ç a passe félicitation
SI les touareg veulent une terre ,ils n’ont qu’à rentrer chez eux en ALGERIE
Monsieur le journaliste si vous voulez qu’on vous prenne au sérieux, ne confondez pas conjecture et fait établi dont les preuves forcent la conviction. ce n’est pas parce que l’algérie favorise le dialogue entre maliens du sud et azawadis et le préfère à la guerre et à son cortège de malheurs – qui ne manquerait pas de frapper les populations du nord surtout les touarègues visés par un plan d’extermination – qu’il faut lui prêter la pouvoir de nommer les fonctionnaires de l’ONU !
Nous savons mieux que quiconque, pour avoir souffert une décennie durant des affres du terrorisme, qu’il faut mener une guerre implacable contre al qaida pour préparer la paix mais non sans avoir résolu le problème des populations du nord et des touarègues en particulier. Nous ne comptons les offrir en pâture à la soladatesque de la cedeao !
La guerre contre les terroristes d’AQMI-MUJAO oui mais dialogue avec le MNLA dont les revendications sont légitimes. Il n’est pas inutile d’ajouter que le MNLA n’a opté pour la violence qu’en dernier lieu, après avoir épuisé toutes les possibilités ! Le peuple Tamasheq a le droit de vivre dans la dignité et dans la liberté sur la terre de ses ancêtres !
CETTE TERRE S’EST LES EMPIRES DU mALI ET DU SONGHOÏ.IL N’a jamais vu UN EMPIRE TOUAREG. OU BIEN C’EST MAINTENANT QUE VOUS VOULEZ CREER UN ? CA SE FERA QUAND VOUS ALLEZ FENIR DE MARCHER SUR LE CORP DES DERNIERS PETITS FILS DE CES EMPIRES. ET DIEU VOUS NE LE PERMETTRA JAMAIS.
Il n’y a jamais eu d’empire touareg c’est vrai mais les empires que tu cites n’ont jamais dominé l’azawad dans sa totalité et puis quand bien même, cela ne saurait être un argument ! Il y a eu cependant le grand empire almoravide qui allait du nord-mali jusqu’en Espagne et fondé, s’il vous plait, par un touareg de l’azawad ! Youcef ibn tachfine !
Depuis la prise de l’azawad par les saadiens qui ont chassé les songhai dans leur patrie d’origine : le sud niger, les touaregs ont vécu en totale indépendance jusqu’à la conquête française.
Proposition d’un Plan de financement de la guerre du nord du Mali pour mettre fin aux hésitations de l’Onu et récupérer vite les régions sous occupation islamistes.
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1. Investissements: coûts estimés 3 milliards de dollars sur une année.
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a) Trois bataillons de légions étrangères de 4000 hommes (russes, ukrainiens, français, tchadiens, nigérians et sud africains) appuyés par les hommes de Gamou et Ould Meidou et des milices Gandaïzo et Gandakoï.
Ils seront en première ligne de l’assaut terrestre sur 4 fronts simultanés après deux semaines de bombardements intensifs et ciblés hors populations civiles.
b) Dix à vingt sorties de drones américains par jour pendent quatre semaines sur toutes les régions du nord et sur des objectifs ciblés.
L’objectif étant de réduire de 40 à 60% le potentiel militaire des islamistes.
c) Formation du reste de l’armée malienne (hors unités Gamou et Meidou) pour tenir les villes libérées car il ne faut surtout pas compter sur eux pour faire des combats victorieux au nord.
d) Commandement américain, nigérian et sud africain des opérations militaires terrestres en harmonie et en intelligence avec les opérations aériennes russes, ukrainiennes et américaines.
e) Logistique française, européenne, américaine, chinoise et russe.
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2. Financement des 3 milliards de dollars sur 50 ans.
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a) participation russe et sud africaine: une mine d’or pour les deux pays.
b) participation américaine: un bail de 50 ans renouvelable par tacite reconduction du camp d’amachach de Tessalit pour une base militaire de l’armée américaine assortie d’aide américaine de 500 millions de dollars annuels pour le développement des régions nord du Mali.
Aussi les blocs sédimentaires offerts à l’Eni (Italie) et à Sonatrach (Algérie) pour l’exploration et l’exploitation du pétrole au nord du Mali seront désormais attribués à Exon (USA) moyennant indemnisation dans les conditions prévues aux contrats.
c) participation chinoise: un bail de 30 ans pour la mise en valeur et l’exploitation de 50000 hectares de terres irrigables à l’Office du Niger.
d) participation française: contrat d’exploitation de l’uranium de Faléa à Areva et attribution d’un contrat d’exploration et d’exploitation de pétrole à Total au nord.
e) participation nigérienne: contrat d’exclusivité pour l’approvisionnement du Mali en pétrole et en produits pétroliers hors pétrole extrait éventuellement au Mali.
f) participation ukrainienne: contrats d’armement et de formation en exclusivité dans des domaines de compétence à définir avec elle dans l’intérêt de la restructuration de l’armée malienne sur 10 ans .
g) participation tchadienne: une prime de 300 millions de dollars avancée par la Chine au Tchad sous forme de prêt accordé au Mali sur 20 ans.
h) participation européenne: prêt au Mali remboursable sur 40 ans.
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