Iyad Ag Gally reprend du service

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L’ex chef de la rébellion touareg, Iyad Ag Gally reconverti en diplomatie à été sollicité par le Mali et la France pour établir le contact avec les ravisseurs des sept agents (cinq français, un  Togolais et un Malgache) du groupe AREVA. Il  a temporairement quitté son poste de diplomatie à Djedalah pour s’investir dans la médiation visant à libérer les sept otages de l’l’AQMI (Al Qaeda pour le Maghreb Islamique). Sa  première mission consistera à recueillir les revendications des reviseurs parqués dans la zone montagneuse située à la frontière entre le Mali et l’Algérie. Paris a besoin de ces revendications pour lancer la médiation. Les Français sont convaincus que la force ne résoudra pas le problème.Ils gardent encore à l’esprit le sort fatal qui a frappé l’ancien otage, Michel Germaneau. Ce dernier a été abattu en représailles à l’attaque conjointe franco-mauritanienne contre un groupe de l’AQMI au Nord-Mali. Choquées par cet événement tragique, les autorités françaises s’étaient  jurées de faire payer le coup à l’AQMI. Cependant, avec le rapt des 5 français Paris n’a plus le choix que de négocier à travers des médiateurs engagés par Bamako. Mais aux dernières nouvelles, Iyad dément  cette information

 L’ex chef de la rébellion touareg, Iyad Ag Gally reconverti en diplomatie à été sollicité par le Mali et la France pour établir le contact avec les ravisseurs des sept agents (cinq français, un  Togolais et un Malgache) du groupe AREVA. Il  a temporairement quitté son poste de diplomatie à Djedalah pour s’investir dans la médiation visant à libérer les sept otages de l’l’AQMI (Al Qaeda pour le Maghreb Islamique). Sa  première mission consistera à recueillir les revendications des reviseurs parqués dans la zone montagneuse située à la frontière entre le Mali et l’Algérie. Paris a besoin de ces revendications pour lancer la médiation. Les Français sont convaincus que la force ne résoudra pas le problème.Ils gardent encore à l’esprit le sort fatal qui a frappé l’ancien otage, Michel Germaneau. Ce dernier a été abattu en représailles à l’attaque conjointe franco-mauritanienne contre un groupe de l’AQMI au Nord-Mali. Choquées par cet événement tragique, les autorités françaises s’étaient  jurées de faire payer le coup à l’AQMI. Cependant, avec le rapt des 5 français Paris n’a plus le choix que de négocier à travers des médiateurs engagés par Bamako. Mais aux dernières nouvelles, Iyad dément  cette information

M MAIGA

 

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