Présent à Bamako dans le cadre de la tenue de la 11e session du Comité de suivi de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale, Ibrahim Ag Mohamed Assaleh a tenu, hier mardi, au cours d’un point de presse à l’Hôtel El Farouk, des déclarations fracassantes, à la limite, belliqueuses. Dans un ton guerrier, cette figure emblématique de la rébellion de 2012, qui avait pris un moment ses distances avec le MNLA pour créer son propre mouvement (CPA), a annoncé son retour au mouvement séparatiste avant de déclarer la guerre au Gatia.
En organisant ce point de presse, l’ex-président de la Coalition pour l’Azawad (CPA) entendait informer l’opinion nationale et internationale sur certaines décisions importantes en rapport avec son mouvement, mais surtout avec les affrontements qui ont opposé les groupes armés de la CMA et du Gatia ayant occasionnés, ces derniers jours, plus d’une dizaine de morts.
La première décision majeure concerne son retour au sein de son groupe d’origine : le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Ibrahim Ag Mohamed Assaleh a expliqué ce choix par le souci de toutes les forces du « peuple de l’Azawad » de fédérer leurs synergies pour mener à bien un combat commun en vue d’atteindre les objectifs assignés. Voilà pourquoi le directoire et le président fondateur de la CPA ont décidé de la dissolution du mouvement politico-militaire ; d’adhérer, à partir d’hier mardi 20 septembre au MNLA. Aussi, le conférencier d’annoncer qu’une rencontre de haut niveau sera organisée par le mouvement indépendantiste pour prendre en compte le processus d’adhésion de ses cadres politiques et militaires et que des missions d’information seront organisées dans les jours à venir pour expliquer à ses militants les tenants et les aboutissants de cette nouvelle configuration.
Par ailleurs, cette tribune d’expression a été également mise à profit par l’ancien élu de la Nation pour fustiger les lenteurs et les blocages constatés dans la mise en œuvre de l’Accord de paix issu du processus d’Alger. Des difficultés qu’il a mises au compte et au passif du Gouvernement qu’il accuse de faire preuve de mauvaise volonté politique pour pouvoir faire avancer ce processus.
Aussi, dans la nouvelle configuration de l’accord d’Alger, le désormais ex-patron de la CPA s’estime marginaliser et isoler dans le cadre de sa mise en œuvre y compris par les autorités du pays. Alors que, avance-t-il, c’est lui qui a tout fait pour faire venir l’administration malienne à Kidal trois mois seulement après les accords de Ouaga ayant permis la tenue d’élections présidentielles et législatives dans le pays.
Voilà ce qui a justifié, a-t-il rappelé, sa décision et celle de ses hommes de rejoindre le MNLA avec comme objectif d’explorer les voies et les moyens et les stratégies à adopter pour booster la mise en œuvre de cet accord.
Mea culpa ou pas, en tout cas, l’ex chargé des relations extérieures qui signe ainsi son grand retour au sein de son mouvement d’origine, entend travailler à l’apaisement.
« Et là, aujourd’hui, je serai obligé de reprendre mon bâton de pèlerin pour pouvoir faire avancer cet accord », a indiqué Ibrahim Ag Mohamed Assaleh. S’il ne sait pas pour l’instant de quelle façon, il se dit profondément touché par rapport aux agissements du groupe Gatia et du Mujao qui ont attaqué, selon ses propres mots, ‘’ses parents’’. Et ce, accuse-t-il, sous le couvert de l’armée malienne.
Par ailleurs, l’homme a aussi affirmé que d’après des rumeurs persistantes qui circulent, les responsables du mouvement d’autodéfense auraient indiqué, à qui veut l’entendre, qu’ils fêteront les festivités du 22 septembre à Kidal, à Ber et dans toutes les bases détenues par les combattants de la CMA.
Dans sa diatribe contre les pouvoirs publics, le responsable de l’ex-rébellion touarègue a été également été très sévère vis-à-vis du président de la République qu’il accuse de ne rien faire pour empêcher la création et l’émergence des multitudes groupes armés violents qui foisonnent le Nord et le Centre du pays. Ce qui, selon lui, dénote l’échec total du locataire de Koulouba. D’où, la déclaration de va-t-en-guerre du conférencier, sur fond de chantage politique : « j’ai décidé de retourner chez moi pour défendre qui de droit ».
Interrogée sur sa volonté de rejoindre oui ou non le maquis, la réponse de la figure emblématique du MNLA est sans appel : « oui, je suis obligé de reprendre le maquis. Je n’ai pas le choix. Je vais le faire pour défendre les miens, mes parents et l’Azawad ».
Mesurait-il la gravité de tels propos ? Tout semblait l’indiquer. Car, a-t-il clamé haut et fort qu’il allait ‘’s’attaquer à toutes formes de forces armées (y compris le Mali, à travers les FAMAs qui s’en prendraient aux siens. Et le pas est vite fait pour annoncer la déclaration de guerre de la coalition des groupes armés de Kidal, regroupés au sein de la CMA, au mouvement politico-militaire du Gatia qui a réussi ces derniers jours à les infliger une belle déculottée aux alentours de Kidal.
« S’ils ne nous attaquent pas d’ici au 22 septembre, on va les attaquer. Et on verra en ce moment qui est gagnant et qui est perdant. Nous, nous avons sacrifié tout ce que nous avions pour cet accord. Malheureusement, on continue toujours d’armer des gens pour venir nous attaquer.
Aujourd’hui, s’ils veulent récupérer Kidal dans le giron du Mali, ce ne pas par la manière de la force, auquel cas, ils ne pourront jamais conquérir Kidal par les moyens de la force même avec l’aide de la Minusma ou de la force Barkhane. À Kidal, nous avons des forces présentes face auxquelles aucune autre force ne peut prendre la ville sans notre consentement », a soutenu Ibrahim Ag Mohamed Assaleh pour qui leur mouvement est « poussé au mur » et lequel n’a aucune autre alternative que de se défendre pour ses intérêts et ceux de son peuple.
Autant donc, dire que le mouvement indépendantiste, comme l’a confirmé son responsable, était, malgré le fait qu’il soit signataire de l’Accord de paix, dans une logique belliqueuse, à travers le réarmement et la formation de ses combattants.
Pour autant, l’ancien député de Bourem affirme, la main sur le cœur, la bonne volonté, l’engagement et l’attachement de son mouvement en faveur de l’Accord de paix ainsi qu’à sa mise en œuvre.
Sincérité ou simple ruse ? Voilà qui met en exergue le double visage des responsables de ce mouvement séparatiste qui soufflent le chaud et le froid, selon les circonstances.
Affaire donc à suivre.
Par Mohamed D. DIAWARA
Il faut ecouter attentivement avant de sauter a’ une conclusion. L’essentiel n’est pas de prendre la ville de Kidal par la force mais de pouvoir la garder dans la paix et la securite’. Soyons prudents pour ne pas verser dans le cycle vicieux des revanches. Il serait preferable et sage d’avoir une solution negocie’e pour eviter les possibles carnages! KIDAL EST ET SERA TOUJOURS UNE PARTIE INTEGRANTE DU MALI!!!!
Mes amis, mesurons les consequences de nos actes. AGISSONS AVEC SAGESSE ET NE TRAVAILLONS JAMAIS DANS LE SENS DE LA DIVISION DES TRIBUS NOMADES DE LA REGION!
Ceci etant dit, je rappelle au frere Ibrahim Ag Mohamed Assaleh que le MNLA s’impose aux populations de Kidal par la force. Cette occupation illegale et illegitime doit prendre fin immediatement et la republique du Mali doit doit recouvrer sa souverainete’ et son integrite’ sur toute l’etendue du Mali en general et a’ Kidal en particulier!!!!!
J’ai eu a le dire, a ceux qui ont applaudi ce chanappand quand il creait son faut CPA que ce gars est un cupide. Politiquement et militairement il ne vaut rien.. Et puis le blakoro dit que “‘aucune force ne peut prendre Kidal par la force »”? Comment toi et tes c… racailles y sont arrives?
Va labas ****: pourquoi t’es toujours a Bamako? rejoints donc tes “pieds nikeles” et prenez le maquis ou tout ce que vous voullez.. Mais je ne vous en veux pas, tout ca c’est IBK, qui vous a permi de “****apres la honte du 21 Mai 2014. Si 10.000, 20.000 ou meme disons 100.000 personnes meme surarmes “dictent leur loi a plus de 16 millions de personnes dont au moins 6 millions de jeuves au bras et c. valides, tant pis.pour ces 16 millions. Nos aileuls doivent se retourner dans leur tombe, nous maudissant chaque jour qui passe.
AUCUNE force ne peut prendre KIDAL par la force, grande de gueule parce que vous avez de couverture de protection vos alliés de la MINUSMA et BARKHANE à KIDAL mais pour combien de temps ? JE crois que vous pourrez pas faire vos toilette dans la ville tous les jours quand même faut sortir ……
Il fume quoi cet mr
De toute façon tu le dit a bko vas redire la même chose a kidal et informe nous comment tu es entrer dans la ville
A t’entendre parler je crois que tu vas pas te faire accompagner par la minusma .un p’tit rappel il y a un GÉNÉRAL dans la région
Bonne route mr et a bientôt
Bonjour,
Frère Mossad, merci de votre contribution et du fait de reconnaître qu’on ne peut que me suivre dans mon schéma, que vous croyiez idyllique mais qui ne l’est pas.
En effet, un appel pour la mise en œuvre diligente et franche de l’accord de paix n’est pas en soi idyllique mais est juste normal.
Vous et certains internautes, vous dites que :
1. l’application de l’accord de paix rencontre des difficultés au Mali car il a été conclu par les uns sans les autres, ce qui n’est pas vrai car l’accord de paix est issu des POURPARLERS INCLUSIFS INTER-MALIENS sous la supervision de la communauté internationale. Ces derniers se sont déroulés à travers des rounds à la suite desquels des recommandations des forces vives avaient été faites.
J’étais, moi-même, Président du groupe Défense et Sécurité, qui a proposé des recommandations lors d’une des rencontres des forces vives (politiques, assemblée nationales, forces de défense et sécurité, société civile, religieux, …) organisé par le gouvernement.
LES AUTRES PARTIES PRENANTES ONT FAIT DE MÈME.
CERTAINES DE CES RECOMMANDATIONS ONT ÉTÉ PRISES EN COMPTE LORS DES ROUNDS SUIVANTS A ALGER.
IL EST INDIQUÉ DANS L’ARTICLE 2 DE L’ACCORD DE PAIX QUE LES PARTIES PRENANTES S’ENGAGENT A METTRE EN ŒUVRE TOUTES SES DISPOSITIONS.
Il faut, donc, que leur engagement soit réel et franc. D’où cet appel afin de diligenter la mise en œuvre de cet accord.
2. j’occulte les forces invisibles or j’ai bien dit dans le texte de cet appel que des intérêts cachés ou des mains invisibles pourront empêcher l’accord de Bamako de démarrer et de se dérouler normalement. Dans ce cas, ils doivent être mis en évidence et les auteurs exhibés devant tous pour que cesse ce qui empêche que l’accord se déroule normalement.
Si toutes les parties prenantes et la médiation s’engagent honnêtement, franchement et sans complaisance, pour une mise en œuvre et un suivi stricts de l’accord, ces intérêts cachés (ou ces mains invisibles) seront débusqués (es), ainsi que ceux qui sont derrière.
C’est aux enquêteurs ou à la justice de mettre en évidence ces mains invisibles ou ces intérêts cachés. A NOUS, A VOUS D’Y CONTRIBUER.
CHAQUE ACTEUR PEUT AVOIR L’ŒIL SUR LES AUTRES : LA CONFIANCE N’EXCLUT PAS LE CONTRÔLE.
3. LES INTÉRÊTS ÉCONOMIQUES, GÉOSTRATÉGIQUES ET GÉOPOLITIQUES PEUVENT SUPPLANTER TOUT. En effet, ils peuvent faire partie de ces intérêts cachés ou mains invisibles dont je parlais au point précédent et dans le texte de l’appel.
AVEC CES INTÉRÊTS CACHÉS ET CES MAINS INVISIBLES, ON POURRAIT FAIRE LE LIEN (avec le trafic de drogue et la possession d’armements sophistiqués et chers) APRÈS UNE SÉRIEUSE VÉRIFICATION POUR NE PAS ACCUSER POUR RIEN.
4. VERS QUELLES POSTULATIONS SONT PORTÉES LES ACTEURS ?
CELLES DES ACCUSATIONS MUTUELLES ET, DES FOIS, LA FUITE EN AVANT.
Pour éviter cela, j’ai proposé dans cet appel : UNE MISE EN ŒUVRE DILIGENTE DE L’ACCORD POUR LA PAIX ET LA RÉCONCILIATION AU MALI ET UN ENGAGEMENT FRANC, HONNÊTE ET SANS COMPLAISANCE DES ACTEURS.
Suite à la XI session du CSA, dans le communiqué, du 21 septembre 2016, de la médiation internationale, elle va dans ce sens.
IL RESTE A SAVOIR SI LES INTÉRÊTS CACHÉS ET LES MAINS INVISIBLES SERONT DÉBUSQUÉS à travers les enquêtes qu’elle pourra diligentées et qui pourront aboutir à des sanctions individuelles ou collectives.
Cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
TEL 00223 95 58 48 97
Dr,
C’est vrai que vous donnez des raisons d’y croire, seulement il existe beaucoup de points d’ombres sinon de déphasage entre les autorités et la population malienne. De manière caricaturale et simple:
1- Vous vous rappelez certainement que depuis l’après coup d’Etat de 2012 il n’ y a jamais eu dans ce pays une rencontre du genre “Conf.Nat.”, “Concertation Nat.” ou du moins un simple sommet de haut niveau pour débattre réellement de cette crise. Au contraire on s’est entredéchiré entre les capitales ouestafricaines…!
2- OUGA donna certes naissance aux élections mais on s’est armé de l’autre côté pour conforter les positions lors de négociations futures. Les FAMAs consignées, la polpulation kidaloise prise en otage, la Cedeao et son embargo et suspension, la France comme chez soi au Nord sans autre forme de procès…!
3- Dans le tatonnage le Pdt IBK n’a eu mieux à faire que d’aller confier manu-militari le destin du pays à l’Algérie, la même que lui même fustigea en son temps, en 2006! Ce n’est pas évidemment que les 77% ont élu M IBK pour les débouter après de tout verbes…
4- L’Accord fut signé dans les conditions connues de tous: boudé de tous les côtés. Et cette force vive dont vous parlez Dr, entre nous, c’est qui en réalité? – Quel élu malien s’est préalablement rendu auprès de sa base pour en discuter sérieusement? Pourtant ils sont payés pour cela! – Et cette opposition malienne, quel fut son rôle exact dans toutes ces démarches? – Les citoyens du Nord et spécialement de Gao? Et ces Gal et Col. que vous qui occupent le devant de la scène sans jamais vu le terrain, quel est vraiment le dégré de leur implication? Après tout aucun ne moura aux fronts!
5-Le constat d’un citoyen lambda est que la basée fut faussée dès les départs et on a simplement voulu constuire une maison sans soubassement, certes possible, sauf que cela devient problématique en temps d’intempéries, et Dieu seul sait combien on en a depuis des années. Il serait aussi envigeable de la part de nos autorités d’inviter enfin tout le monde à la même table, en initiant de vraies conférences/ consultations régionales et faire une synthèse des avis avisés au niveau national…ne serait ce que tout le monde ait ce sentiment que la Rép. ne comporte plus de points d’ombres! MERCI!!
Bonjour,
Une méthodologie inclusive pour la mise en œuvre de l’accord de Bamako doit être utilisée.
Naturellement, tout le processus de mise en œuvre doit se passer dans toutes les régions du Mali et doit être inclusif c’est-à-dire INTÉGRER dans chaque région, les représentants de TOUTES les communautés de la région.
Comme je l’avais déjà proposé (voir ma lettre ouverte en ligne, publiée le 21 JUIN 2016 sur Maliweb, sur s’entendre sur les autorités intérimaires, le DDR et plus pour la mise en œuvre et le suivi stricts de l’accord de Bamako), afin que la mise en œuvre de l’accord soit inclusive et profite à tous les Maliens, il est nécessaire de choisir une méthodologie inclusive consensuelle et d’échanger sur cette dernière et sur la mise en œuvre de l’accord à travers un dialogue intra et intercommunautaire.
Devant la complexité des concertations nationales proposées par l’opposition, la conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord de Bamako pourrait servir, entre autres, pour échanger sur ces éléments. Elle pourrait aussi avoir des ramifications régionales et communales.
Processus inclusif de mise en œuvre
Des ramifications régionales et communales du processus inclusif de mise en œuvre de l’accord doivent être créées.
Vu que l’accord de Bamako doit être mis en œuvre aux niveaux national, régional et communal, la parallélisation doit être utilisée.
Une organisation stricte dans chaque région doit être mise en œuvre avec des synchronisations régulières avec les autres niveaux.
Pour les Maliens de la diaspora, des antennes pourront être créées dans des pays judicieusement choisis.
Tous les Maliens doivent s’impliquer et participer à ce dialogue et à cette mise en œuvre
Compte-tenu du problème de représentativité et d’inclusivité qui se posent sérieusement pour la composition des membres des autorités intérimaires aux niveaux régional et communal, il convient lors de la future conférence d’entente nationale, prévue dans l’accord, de désigner quelques représentants (exemple, deux pour une région et un pour une commune) pour compléter les autorités intérimaires de chaque collectivité territoriale du Mali.
Pour améliorer la représentativité et l’inclusivité, cette conférence d’entente nationale doit avoir des ramifications dans TOUTES les régions du Mali.
Il faut aussi penser à la représentation des Maliens de la diaspora.
Lors de cette conférence d’entente nationale des représentants des forces vives (partis politiques, société civile, députés, …), du gouvernement, des collectivités territoriales, des communautés de base seront choisis pour intégrer les autorités intérimaires des collectivités territoriales.
Ainsi, les autorités intérimaires mettront tous les Maliens d’accord, indépendamment des bords politiques, et renforceront l’inclusivité en intégrant des représentants, choisis par la conférence d’entente nationale, de la société civile, des anciens élus, de toutes les régions du Mali et ceux des mouvements armés.
S’unir autour de la mise en œuvre et du suivi de l’accord de Bamako
Comme le disent, certains internautes et les Maliens qui supportent l’accord de Bamako, nous sommes TOUS/TOUTES condamnés à mettre en œuvre l’accord de Bamako pour le bien-être des TOUS les Maliens.
Engageons-nous (tous les acteurs), franchement, honnêtement et sans complaisance.
Dr ANASSER AG RHISSA
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Mail : Anasser.Ag-Rhissa@orange.fr
TEL (223) 95 58 48 97
******menance de prendre les armes et tuer, personne pour enfermé cet enturbanés des sables…
Il a bu trop de lait de chamel, ça lui monte au crane…
Ce voyou comprend, maintenant, que nul n’a le monopole de la violence!
Quand ils tuaient, impunément, les parents d’autrui, il n’auraient pas imaginer qu’un jour, il seraient dans la meme situation!
Maintenant qu’ils sont coincés à Kidal & ne peuvent, meme, pas aller faire pipi aux alentours de la ville, ils viennent pleurnicher devant les cameras!
Je crois que la peur a changé de camp!
Mais ils n’ont, encore, rien vu!
Tout le monde est allé s’armer pour se defendre! Et quand tout ce monde sera de retour, ce qui arrive a Kidal serait un picnic, par comparaison!
Bandes de voyous!
Je me demande bien ce qu’ils fument au MNLA pour avoir un double visage de pacificateur et de guerrier comme ça. Que Dieu les ramène à la lucidité, afin qu’ils sachent que ce qu’ils font n’est bénéfique pour personne, même pas pour leur soit disant peuple!!
Voyez des ******** comme celui-là. Il se veut à la fois unificateur et azawadien, ce qui ne colle pas avec la vérité. Alors, parce que ses parents ont été tué qu’il va reprendre les armes qu’il n’a jamais déposé d’ailleurs. Le Mali qui a vu des centaines de ses militaires, froidement exécutés par ces salopards ne parle pas de revanche, et c’est lui qui ne veut pas tourner la page. Le Mali n’a pas oublié la perte de ses hommes. Le moment venu, tous ces fils de putes passeront à la guillotine. C’est quoi le but recherché par ces gens-là? Ils sont dans le giron malien, ou il sont et restent azawamerde? Tel que c’est parti, je ne crois pas que Gamou va se laisser ravir sa position actuelle par ces enfoirés. Et, maintenant, c’est l’état qui est accusé de complicité avec le Gatia, parce que c’est chaud autour de kidal. Ils voient la main de l’état partout, au lieu de regarder dans la direction de la paix. Q u’il retourne donc dans le maquis, c’est là qu’il a toujours vécu. Ce chantage ne portera pas. Qu’il soit du côté de la paix, ou qu’il retourne dans ce qu’il a toujours connu, la situation est désormais inversée. Voilà une belle occasion pour le retour forcé à la paix, mais les déclarations de la communauté internationale me font croire que celle-ci veut encore rompre la corde tendue par le Gatia pour pouvoir permettre à la Cma de se repositionner. Le Gatia ne cédera pas d’un pas, tant que les enfoirés restent armés dans kidal. Qu’ils déposent d’abord les armes, les négociations se poursuivront comme d’habitude. La donne a changée, et il faut faire avec.
Quand Touré dit “Q u’il retourne donc dans le maquis, c’est là qu’il a toujours vécu”, ce qu’il ne connait pas ce vagabond qui a eu sa seule chance de sortir d’une vie de galère quand la généreuse Chatou, la député de Bourem, ‘avait tracté, conne un âne, ce vaurien qui, dès qu’u’il a a vécu avec des sous dont il n’avait jamais sent l’odeur,, en tznt que député du Mali, ça lui avait monté dans sa tête d’Achemor et il s’en était aller à Ouaga pour mentir à Balise qui lavais traité comme un nabab et pire, IBK l”avait adoubé parce que ce beau parleur avait flaté la mégalomanie de IBK. ag Assaleh n’ira pas loin de Koulouba, à la rigueur, il va faire une virée en Mauritanie, en France et en Suisse pour voir s’il pourrait avoir des oreilles attentives pour qu’il puisse réanimer un hypothétique épisode de rébellion comme son acolyte Moussa Ag Chaghatmat.
Sincèrement
” Aujourd’hui, s’ils veulent récupérer Kidal dans le giron du Mali, ce ne pas par la manière de la force, auquel cas, ils ne pourront jamais conquérir Kidal par les moyens de la force même avec l’aide de la Minusma ou de la force Barkhane.”
Pour aller ”se payer” ces forces ( Minusma, Barkhane ) , il faut être soit sacrément balèze soit complètement inconscient .
La protection du territoire national et la population qui y vit est une responsabilité essentielle de l’Etat . Je suis en colère contre le laxisme généralisé qui sévit partout au Mali ,l’absence d’autorité sous toutes ses formes .Le mutisme de certains ” responsables ” sur ces sujets qui préoccupent à juste titre les maliens sont édifiants et scandaleux .
Des militaires démunis en termes d’équipement meurent presque tous les jours sur le terrain. Des civils sont également tués .
Les groupes armés , en toute impunité ,font supporter leur choix de vie à la population . Ils piétinent la loi au nom de leur vision personnelle des choses.Comment se réserver un peu de joie au milieu de toute cette tristesse ?
Les militaires maliens se sont rendus à l’évidence . Ils ne font pas le poids face aux groupes armés et n’ont pas d’autres choix que de battre en retraite . Qui leur en voudrait ?
Entre risquer sa vie et agir de façon inconsidérée alors qu’on a de forte chance d’y rester,,ce sont deux choses tout à fait différentes .
Le Mali doit prendre des mesures majeures de restructuration de son armée pour la professionnaliser .
“Le MALI doit prendre des mesures majeures de restructuration de son armée pour la professionnaliser.”
À tous ceux qui disent cela, on répond que le régime est venu trouver le pays et son armée en lambeaux mais jamais ne dit ce qu’il attend pour s’en occuper.
On dit souvent que les fausses excuses sont propres aux personnes médiocres .Ces incapables en trouveront toujours pour justifier leur échec .C’est un simple principe de réalité que je rappelle ici .
Je pense que se monsieur n’a aucune responsabilité car en tant qu’adulte il quitte le MLNA pour créer son propre groupe (CPA) pour ensuite rejoindre ses anciens acolytes cela qu’il déambule au gré de ses intérêts.
La rébellion devient récurrente car après chaque accord il y’a des violences .
Je voudrais que le peuple malien prenne conscience dans ce conflit les fautes sont commises de part et d’autre à savoir par des dirigeants soit du côté gouvernemental que celui de la rébellion.Un fait j’ai jamais vu ou entendu la mort des enfants d’un dirigeants
que ça soit d’un côté ou de autre et les enfants qui fuient la misère sont envoyés à abattoir.. Les Kidalois sont maliens au même titre que les bamakois ou d’autres ressortissants d’ une autre ville du Mali et nous devrons vraiment mettre nos querelles personnelles de côté pour que le pays puisse avancer.Nous avons de la chance de vivre dans un pays de brassage et de métissage depuis la nuit des temps donc puisons dans nos différences pour bâtir un Mali nouveau.
Ibrahim Ag Mohamed Assaleh à propos du contrôle de kidal: ‘aucune force ne peut prendre Kidal par la force »
Par Inf@sept -22 Sep 2016
– Rappelons cette citation des Bambara qui dit que: “Mògò man fari, a djigui dé ka fari”
Et à ce Monsieur de se rappeler comment il est rentrer dans Kidal et comment il est pistonné soit en avant soit en arrière à Kidal au gré des circonstances!
– Il aura vraiment vécu celui-là!
Dis à cet petit bonhomme que nu tété la France terroriste, les envahisseurs de la Munisma et de l’opération Barkane, on allait enrailler kidal de la carte du Mali. Mais c’est pas fini, on attend que les imbéciles de la France entrent d’abord!!
nu tété… N’eût été…(être au plus-que-parfait du subjonctif) .N’eussent été , pour un sujet pluriel : ” Dis à ce petit bonhomme que n’eussent été la France terroriste , les envahisseurs de la Minusma et de l’organisation Barkhane ,on allait …..
😀😀😀😀😀😀😀😀😀😀 Moi je mets tout ça au compte de IBK qui ne peut même plus parler normalement. 😀😀😀 Selon les audiences, il alterne versets coraniques et subjonctifs. Résultat : on voit des “nu tété”, des “n’eut était” des “Inch allah” ,des “amen” dans la plupart des posts du forum. 🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓🤓
Lollll ! IBK ,un ancien sorbonnard ? 🙂
Quelles sont vos objectifs assignés ? Dommage qu’actuellement le Mali ne dispose plus d’une armée qui faisait la fierté de son peuple
Ce que je conseillerai aux un-es et aux autres, c’est de ne jamais créer l’amalgame “touareg” car tous les vrais Touareg, tous les vrais Bambara, tous les vrais Tamasheck; tous les vrais peulhs, tous les vrais Malinké, et j’en pas, sont pour un Peuple – un But et une Foi (un seul Mali). Comment souhaiterait un paresseux mettre fin au trafic d’arbre et de drogue ? et surtout quand on est habituer à pointer les arbres dans la nuque de l’Etat pour lui soutirer de l’argent.
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