Guerre au Nord du Mali : La Communauté Arabe s’inquiète

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L’Alliance de la Communauté Arabe du Mali (AL-CARAMA) a attiré l’attention sur la nécessité d’éviter les risques de bavures à son endroit au cours des opérations militaires pour la libération de nos régions occupées, au cours d’une conférence de presse, le dimanche 20 janvier dernier à l’Hôtel Salam.
«Notre adversaire est connu. Il a une adresse, une identité. Nous menon une guerre contre les ennemis de l’unité nationale. La victoire ne doit pas être  entachée par des bavures inutiles». C’est ce qu’a déclaré le Président d’AL-CARAMA, Mahamoud El Oumrani, faisant allusion aux risques d’amalgames entre les peaux claires qui sont entrées en rébellion contre leur pays, pour certaines, et qui ont pris les armes pour appliquer la Charia, pour d’autres et les membres de leurs communautés innocents de tout crime.
L’ambassadeur El Oumrani ainsi rejoint l’Honorable Baba Haïdara dit Sandy, qui avait fait les mêmes observations dans l’interview qu’il nous a accordée la semaine dernière. «Tout ce qui est peau blanche va leur brûler les yeux. Et c’est ce qui est dangereux. Toute peau blanche n’est pas rebelle, toute peau blanche n’est pas touarègue. Tout enturbanné n’est pas rebelle. Nous avons des communautés multi ethniques. Nous avons des Arabes qui ne sont pas des rebelles. Tous les Touaregs ne sont pas dans la rébellion», disait-il.
Dans une déclaration lue lors de la conférence de presse, AL CARAMA a affirmé veiller à la défense et à la préservation des droits et devoirs légitimes, ainsi que des intérêts spécifiques et stratégiques, de la communauté arabe du Mali, dans un pays laïc, un et indivisible, et contribuer à la restauration et à la préservation de l’unité et de l’intégrité territoriale du Mali, ainsi qu’à la paix, la sécurité et le développement. «Ses membres sont loyalistes et républicains, non par conformisme mais bien par conviction. C’est pour cela qu’ils se battent depuis toujours pour défendre les valeurs de la République», ajoute le texte.
La communauté arabe a également réaffirmé son attachement indéfectible à la cohabitation pacifique entre toutes les communautés nationales en général et celles du Nord en particulier et s’est engagée à consolider l’unité et la cohésion sociale, seul gage de paix, de sécurité et du développement dans le Nord Mali.
Face à la situation actuelle, AL CARAMA recommande au Gouvernement «la poursuite de l’amélioration de la communication et de la sensibilisation en direction des populations, pour éviter la stigmatisation et faciliter la réconciliation nationale; la poursuite des efforts pour renforcer la capacité et l’indépendance des acteurs privés de la communication, à travers une meilleure information et des moyens adéquats et l’implication effective des cadres civils et militaires de toutes les communautés, pour recouvrer l’unité nationale et l’intégrité territoriale».
Elle conseille enfin que les militaires, restés loyalistes jusqu’au bout, issus des communautés arabe et touareg, soient mobilisés dans le nouvel engagement armé en cours pour recouvrer notre intégrité territoriale.
Youssouf Diallo

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  1. La plupart des Musulmans pensent : « l’islam ne défendrait jamais le meurtre d’innocents. Allah du Coran n’a jamais prescrit le meurtre. Tout ceci est l’œuvre de quelques désaxés aux marges de la société. Le véritable islam est consacré contre la violence. Nous dénonçons toute violence. L’islam signifie la paix. L’islam signifie la tolérance. »

    Mais est-ce vrai ? L’islam enseigne-t-il vraiment la paix, la tolérance et la non-violence ? Ces musulmans qui commettent des crimes au nom d’Allah pensent différemment. Ils pensent que ce qu’ils font est un Jihad. Ils disent que le meurtre d’innocents est obligatoire pour tout Musulman. Ils ne tuent pas en croyant enfreindre les règles divines, mais en croyant au contraire que c’est ce qu’un vrai Musulman ferait. Ces gens qui tuent des pauvres innocents qui font exploser leur propre corps pour tuer encore plus d’innocents le font parce qu’ils pensent qu’ils seront récompensés au Paradis musulman. Ils espèrent être bénis par Allah, manger des nourritures célestes, boire du vin pur et profiter de l’agréable compagnie de leurs consœurs divines.

    Sont-ils complètement dans l’erreur ? Où ont-ils trouvé cette idée tordue ? Comment en sont-ils arrivés à croire que le meurtre d’innocents plaît à Dieu ?

    Ou bien sommes-nous qui sommes dans l’erreur ? L’islam prêche-t-il la violence ? Appelle-t-il les croyants à tuer les incroyants ? Nous dénonçons ceux qui commettent des actes de violence et les qualifions d’extrémistes. Mais sont-ils vraiment extrémistes ou bien font-ils simplement ce que le Coran leur ordonne de faire ? Qu’est-ce le Coran enseigne réellement ? Avons-nous lu le Coran ? Savons-nous quelles sortes d’enseignements s’y trouvent ?

    Examinons certains d’entre eux et regardons de plus près à ce que Allah ORDONNE aux musulmans sincères!

    Ce que le Coran enseigne aux musulmans

    Coran 2.216 : Le combat vous a été PRESCRIT alors qu´il vous est désagréable. Or, il se peut que vous ayez de l´aversion pour une chose alors qu´elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu´elle vous est mauvaise. C´est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas.

    Sourate 9 verset 63. Ne savent-ils pas qu’en vérité quiconque s’oppose à Allah et à Son messager, aura le feu de l’Enfer pour y demeurer éternellement ? Et voilà l’immense opprobre.

    Sourate.9,verset 5 Les mois sacrés expirés, tuez les idolâtres partout où vous les trouverez. Faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade ; mais s’ils se convertissent, s’ils observent la prière, s’ils font l’aumône, alors laissez-les tranquilles, car Dieu est indulgent et miséricordieux

    Sourate,4 verset 144 : ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les mécréants au lieu des croyants. Voudriez-vous donner à Allah une preuve évidente contre vous ?

    Sourate 9 ;verset 23. ô vous qui croyez ! Ne prenez pas pour alliés, vos pères et vos frères s’ils préfèrent la mécréance à la foi. Et quiconque parmi vous les prend pour alliés… ceux-là sont les injustes

    Que les croyants de prennent pas pour patron les incroyants au lieu des croyants. Celui qui fait cela n’aura rien à attendre d’Allah, à moins que vous n’ayez d’eux quelque dangers » (Sourate.3 verset .27)

    Sourate 98 verset 51 Les Juifs et les Chrétiens et les païens brûleront dans le feu d’enfer à jamais. Ils sont les plus vils de toutes les créatures. »

    Sourate VIII verset 55 « Les pires bêtes, aux yeux d’Allâh, sont les incroyants qui s’entêtent à ne pas croire. »

    Sourate.8 verset 39: O vous qui croyez ! Les ASSOCIATEURS [= les chrétiens] ne sont qu’IMPURÉTÉ

    O vous qui croyez ! Les ASSOCIATEURS [= les chrétiens] (Muslim, Sahih 1/200)

    Sourate 8. verset 39 Et COMBATTEZ-LES jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah.

    Sourate 9, verset 29 « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre,les CHRÉTIENS et les JUIFS jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés

    Soura 4: verset 95 Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux – sauf ceux qui ont quelque infirmité – et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense ; et Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants en leur accordant une rétribution immense ;

    Sourate 3. verset 156. ô les croyants ! Ne soyez pas comme ces mécréants qui dirent à propos de leurs frères partis en voyage ou pour combattre : “S’ils étaient chez nous, ils ne seraient pas morts, et ils n’auraient pas été tués.” Allah en fit un sujet de regret dans leurs cœurs. C’est Allah qui donne la vie et la mort. Et Allah observe bien ce que vous faites.

    Sourate 48 verset:16 Dis aux bédouins restés en arrière : « Vous serez bientôt appelés à affronter un peuple doué d’une force redoutable, que vous aurez à combattre, à moins qu’ils ne se CONVERTISSENT à l’islam. Si vous acceptez de combattre, Dieu vous accordera une belle récompense. Mais si vous refusez de prendre part au combat, comme vous l’avez déjà fait, Il vous infligera un douloureux châtiment. »

    Sourate 9. verset 112 Dieu a acheté des croyants leurs biens et leurs personnes pour qu’il leur donnât en retour le paradis ; ils combattront dans le sentier de Dieu, ils TUERONT et seront tués. La promesse de Dieu est vraie

    Mahomet a dit :J’ai reçu ordre de mener la guerre contre les hommes jusqu’à ce qu’ils attestent qu’il n’est pas d’autre dieu qu’Allah, que Mahomet est l’envoyé d’Allah, qu’ils accomplissent la prière et qu’ils versent l’aumône. S’ils le font ils sont quittes de leur sang et de leurs biens, sauf en ce qui revient de droit à l’islam. Ils en rendront compte à Allah. (Bukhari, Sahih 2/17

    Sourate 9 verset 44. Ceux qui croient en Allah et au Jour dernier ne te demandent pas permission quand il s’agit de mener combat avec leurs biens et leurs personnes. Et Allah connaît bien les pieux.

    Sourate 9 verset 45. Ne te demandent permission que ceux qui ne croient pas en Allah et au Jour dernier, et dont les coeurs sont emplis de doute. Ils ne font qu’hésiter dans leur incertitude.

    Sourate 4 verset 47 » « Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu’à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c’est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d’Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions

    Chers frères et sœurs musulmans : est-ce l’Islam auquel vous croyez ? Est-ce là le Très Miséricordieux, Très Compatissant Allah que vous priez chaque jour ? Dieu pourrait-il nous inciter à tuer d’autres personnes ? Comprenez qu’il n’y a pas de gène terroriste, mais qu’il pourrait y avoir une tournure d’esprit terroriste. Cette tournure d’esprit trouve son terrain le plus fertile dans les principes fondamentaux de l’islam
    Ce ne sont pas les extrémistes qui comprennent mal l’islam. Ils font littéralement ce que le Coran leur dit de faire.

    C’est nous qui ne comprenons pas l’Islam. Nous sommes les désorientés. Nous sommes ceux qui supposons à tort que l’Islam est une religion de paix. L’islam n’est pas une religion de paix. Dans sa forme soi-disant pure, il peut etre très bien compris comme une doctrine de HAINE. C’est tout simplement ce que font les terroristes et les intellectuels MALHONNETES, apologistes de l’islam, le cache.

    Le nier et présenter l’islam au grand public comme une religion de paix similaire au BOUDHISME ou au CHRISTIANISME est une entreprise de contrevérité. L’Histoire de l’islam entre les 7ème et 14ème siècles est traversée de violences fratricides et de guerres d’agression, qui commencent à la mort du Prophète et continuent pendant le califat orthodoxe, soi-disant « pur ». Et Mahomet lui-même a hissé l’étalon du meurtre, du pillage, des massacres et du sang versé. Comment pouvons-nous nier l’histoire toute entière ?

    Le comportement de Mahomet tel qu’il est inscrit dans les sources islamiques authentiques et incontestées est tellement immoral et barbare d’un point de vue humain. Mahomet était un barbare chef militaire, un CRIMINEL dépourvu de vertus. L’imiter dans les aspects de la vie (suivre la Sunna) est premièrement impossible et deuxièmement dangereux au 21ème siècle. Pourquoi sommes-nous si désespérément dans le déni de cette simple évidence ?

    Ce ne sont pas des histoires, mais des faits rapportés par l’histoire islamique authentique et les Hadiths.

    (Hadîth:Muslim XX 4696). … le messager d’Allâh a dit : celui qui meurt sans avoir combattu sur le chemin d’Allâh et n’a pas exprimé le désir de COMBATTRE pour le jihad meurt de la mort d’un hypocrite

    (Bukhari, Sahih 49/13,2).
    ibn Awn a dit : j’avais écrit à Nafi ; il me répondit également par écrit que le prophète avait fait une expédition contre les Banu Mustaliq et les avait surpris au moment où ils s’abreuvaient leurs troupeaux, qu’il avait tué un certain nombre de combattants et emmené leurs enfants en captivité ; ce fut ce jour-là que le prophète prit Juwayra.
    – C’est Abdallah ibn Omar, ajouta t-il, qui m’a raconté ce fait et il faisait partie de l’expédition

    Muslim, Sahih 19, 4292).
    … j’ai écrit à Nafi pour lui demander s’il était nécessaire de proposer aux infidèles une invitation à accepter l’islam avant de les combattre. Il m’a écrit dans sa réponse que c’était nécessaire (seulement) dans les premiers temps de l’islam. Le messager d’Allah a fait une ATTAQUE contre les Banu Mustaliq alors qu’ils n’étaient pas prévenus et que leur bétail s’abreuvait. Il a tué ceux qui combattaient et a capturé les autres…. Nafi a dit que cette tradition a été racontée par Abdullah ibn Umar qui faisait lui-même partie des troupes qui ont pillé
    .

    Sahih Bukhari Volume 6, livre 61, Numéro 577 : J’ai entendu le prophète dire, “à la fin des temps, apparaîtront de jeunes gens aux idées folles. Ils parleront bien, mais ils sortiront de l’islam comme une flèche sort de son jeu, leur foi ne dépassera pas leur gorge. Ainsi, partout où vous les trouvez, tuez les, il y’aura une récompense pour ceux qui les TUERONS au jour de la résurrection. ”

    D’après `Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu’Allah soit satisfait de lui),
    l’Envoyé d’Allah (pbAsl) a dit : “Il n’est pas permis de verser le sang d’un musulman qui témoigne qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah et que je suis l’Envoyé d’Allah, sauf dans ces trois cas : l’époux adultère, le coupable d’un meurtre et l’apostat qui abandonne la communauté musulmane”. Sahîh de Muslim : 3175

    D’après Ikrima :
    Le prophète a dit : “celui qui quitte l’islam, TUEZ LE !”. Sahîh Bukhari : 6411

    Bukhari, Sahih 46/ 717).99
    … le prophète avait BRUSQUEMENT attaqué les Banu Mustaliq sans avertissement alors qu’ils étaient sans crainte et que leur bétail s’abreuvait aux points d’eau. Les hommes combattants ont été tués et les femmes et enfants pris comme captifs..

    ” L’apôtre d’Allah a dit :
    – Sache que le paradis est à l’ombre des épées. ” (récit d’Abdullah ibn Abi Aufa, Bukhari LII 73) ”

    ” Alors que nous étions à la mosquée, le Prophète vint et dit :
    – Allons voir les juifs. Nous sommes sortis et nous sommes allés à Bait ul Midras. Il leur dit :
    – Si vous vous convertissez à l’islam, vous serez saufs. Vous devez savoir que la Terre appartient à Allah et à son apôtre et je veux vous expulser de cette terre. Donc, si quelqu’un parmi vous possède des biens, il a le droit de les vendre, sinon, vous devez savoir que la Terre appartient à Allah et à son apôtre. ” (récit d’Abu Huraira, Bukhari LIII 392 et LXXXV 77) ”

    Bukhari (59:572) “Toi qui crois en moi! Ne donne pas ton amour à mes ennemis qui n’ont pas cru dans la Vérité (Allah, Mahomet le prophète et le Coran).”

    Le messager d’Allah a dit :
    – Ne saluez pas les juifs et les chrétiens avant qu’ils ne vous saluent et quand vous les rencontrez sur les routes, forcez-les à passer sur la partie la plus étroite. ” (récit d’Abu Huraira, Muslim XXVI 5389

    Bukhari, Volume 5 Numéro 369 : Le messager de Dieu dit : “qui veut tuer Ka`b bin al-Ashraf ? Il a offensé Dieu et son prophète !” là-dessus Maslama répondit, “Oh messager de Dieu ! Voulez vous que je le tue ?” le prophète dit, “oui”. Maslama dit, “Puis-je lui mentir (Afin de le tuer)”. Le Prophète dit, “oui”. (…) Ils (Maslama et ses complices) tuèrent Ka’b et partirent chez le prophète pour l’informer.

    Que les juifs et les chrétiens soient MAUDITS pour avoir utilisé les tombes de leurs prophètes comme des lieux de culte. ” (récit de Aisha et Abdullah, Muslim IV 1082)”

    Sahih Muslim (19:4294) – “Lorsque vous rencontrez vos ennemis qui sont païens, invitez les à suivre trois actions. S’ils s’acquittent de l’une d’entre elles, vous l’accepterez et vous abstiendrez de leur faire du mal. Invitez les à accepter l’islam ; s’ils acceptent, acceptez le aussi et cessez de les combattre… S’ils refusent d’adhérer à l’islam, exigez d’eux la jizya. Si ils sont d’accord pour payer, saisissez la et retirez vos mains à bonne distance des infidèles. Si ils refusent de payer l’impôt, demandez l’aide d’Allah et combattez-les

    Le messager d’Allah a dit :
    – Quand arrivera le jour de la résurrection, Allah fournira à chaque musulman un JUIF ou un CHRÉTIEN et dira : “c’est ton remplaçant dans le feu de l’enfer.” ” (récit d’Abu Musa, Muslim XXXVII 6665)

    Expédition de Zayd ibn Haritha à l’oasis de Qarada (Sira Il 50 -51)
    Le prophète envoya Zayd s’emparer d’une caravane menée par un guide des Banu Bakr qu’il intercepta sur un point d’eau dans le Najd. Zayd réussit à s’emparer de bêtes et leurs chargements sans pouvoir saisir les hommes qui lui échappèrent. Il rapporta son butin au Prophète.

    L’exécution de Ka’b ibn Al-Achraf (Sira II 51 – 58) : le poète juif à la lecture des Quraych tués par les hommes de Mahomet à Badr, composa des poèmes indignés et exorta les gens de la Mecque contre lui. Mahomet envoya des hommes pour le tuer qui, à la suite d’un guet-apens le poignardèrent à mort.

    Le trésor des Banu Nadir (Sira II 336 337) Le mari de Cafiyya détenait le trésor. Sommé par le Prophète d’en révéler la cachette, il fut torturé par les musulmans puis eut la tête tranchée quand une paille fut découverte.

    Histoire de Cafiyya, mère des croyants (Sira II 636). Les captives de Khaybar furent largement réparties entre les musulmans. Le Prophète eut en partage Cafïyya et deux de ses cousines. Il mit son manteau sur Cafiyya après l’avoir fait asseoir. Les musulmans comprirent qu’il se la réservait.

    Les Banu Quraydha se rendent au jugement du prophète (Sira Il 239 – 240). « Celui-ci décréta que les hommes seront tués, leurs biens répartis entre les musulmans et que les femmes et enfants seront bannis » confirmé par le Coran sourate 47 verset 3 ext : « lorsque vous rencontrerez des incrédules, frappez les à la nuque jusqu’à ce que vous les ayez abattus.”

    Les Banti Quraydha sont ÉGORGÉS (Sira II 240 – 241). Le prophète ordonna de faire descendre de leurs fortins les Banu Quraydha et de les enfermer. Ils étaient 600 -700. Après les avoirs disposés au bord d’un immense fossé creusé à cet effet le Prophète ne cessa de les ÉGORGER jusqu’à leur extermination totale confirmé par le Coran ; sourate 33 verset 26 à 27 « Et Il a fait descendre de leurs forteresses ceux des gens du Livre et Il a jeté l’effroi dans leurs cœurs ; un groupe d’entre eux, vous tuez, et un groupe vous faites prisonnier. ».

    L’exécution de Huyavv (Sira II 241). On le fit venir devant le Prophète les mains ligotées, tailladé de toutes parts. « Je ne regrette absolument pas d’avoir été ton ennemi, dit-il » Puis il s’assit et le Prophète lui TRANCHA la tête.

    Le partage du butin pris aux Banu Quraydha (Sira II 244-245).
    Le prophète fit ensuite le partage des femmes, des enfants et des biens des Banu Quraydha entre les musulmans. Avant tout partage, il prit pour lui le cinquième du butin, puis il établit les règles de la répartition : deux actions pour un cheval : une action pour son cavalier : une action pour le fantassin. Les cavaliers ayant pris part à l’extermination des Banu Quraydha étaient au nombre de trente six. C’était le premier butin auquel s’appliquait cette règle du cinquième pour le Prophète et de la répartition par action des quatre cinquièmes. Ce principe fut adapté par la suite pour le partage du butin après toutes les expéditions et les conquêtes. Le Prophète envoya dans le Najd une partie des captives juives des Quraych, contre lesquelles il acheta des chevaux et des armes.

    Histoire de Rayhâna (Sira I1 245). Parmi les captives des Banû Quraydha, le Prophète avait choisi pour lui-¬même une femme juive appelée Rayhana qui resta chez lui en sa possession jusqu’à sa mort mais qui résistant à la conversion fut mise en quarantaine jusqu’à ce qu’elle cède, le Prophète s’en réjouit.

    Bannissement des juifs de Khaybar, sous le calife Omar (Sira II 356 – 358) « En effet le Prophète avait dit qu’il ne pouvait y avoir qu’une seule religion en Arabie sourate 33 verset 27 : « il vous a donné en héritage leur pays, leurs habitations, leurs biens et une terre que vos pieds n’ont jamais foulés ».

    On objectera que ces comportements n’étaient ni inconnus ni inhabituels pour des conquérants et chefs du monde médiéval, mais ce ne sont pas des activités correspondant à celles d’un Saint paisible, et certainement pas à quelqu’un qui se revendiquait de la miséricorde de Dieu
    Cher lecteurs si malgré ces faits officiels et authentiques de la traditions musulmane certains apologistes de l’islam se plaisent toujours à prétendre que l’islam est religion de paix, sont-ils des ignorants ou des hypocrites dangereux.

    Ces gens là ne connaissent-ils pas l’islam ou confondent-ils leur raisonnement humain et pacifique avec celui du Coran qui leur est dans ce cas complétement antagoniste ? Ces gens là, doivent savoir que si nous critiquons l’islam c’est parce que nous refusons l’hypocrisie qui ignore volontairement l’appel à la guerre éternelle de l’islam qui monte les musulmans contre tout le reste de l’humanité.

    Tout musulman qui persiste à dire que l’islam est religion de paix malgré toutes ces preuves qui démontrent le contraire doit savoir qu’il est aussi dangereux qu’un terroriste car son silence emporte chaque jour des vies humaines innocentes un peu partout sur le globe.
    On ne doit pas se contenter de critiquer l’islam tel qu’il est aujourd’hui, mais on doit le dénoncer et le COMBATTRE Cela n’est pas de l’islamophobie mais de l’humanisme.

    • Mon cher Le DJIHADISTE détrompes-toi.

      Les terroristes au Nord du Mali et toi n’ont rien compris du mot JIHAD.
      Avant d’aller loin je t’informe ou te rappel que ton soit-disant dieu ou fils de dieu ( JESUS ) qui est un bon Prophète à nous, a fait le Jihad.

      Lis ceci dans la BIBLE :

      On lit, en effet, dans l’évangile de Luc, ces propos de Jésus:

      1- « Quant à mes ennemis, ceux qui n’ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici et égorgez-les en ma présence » (Luc 19 :27)

      2- Jésus dit : « Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. » (Matthieu 10:34)

      3- Selon Luc, chapitre 22, versets 36-38, Jésus aurait ordonné à ses disciples « de vendre jusqu’à leur vêtement pour acheter des épées », et ce en vue de se défendre contre les juifs qui voulaient le faire mourir. Ceci est une preuve irréfutable que Jésus n’était pas comme « une brebis muette que l’on conduit à la boucherie »

      4-« … que celui qui n’a pas d’d’épée vende son vêtement et en achète une » (Luc 22:36)

      Après avoir donné cet ordre à ces disciples, Matthieu (chapitre 26, verset 52) nous rapporte que l’un des apôtres voulant défendre le Messie sorti son épée et coupa l’oreille du ceinturions

      5- « Et voici, un de ceux qui étaient avec Jésus étendit la main, et tira son épée; il frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille. »

    • Mon cher Le DJIHADISTE détrompes-toi
      J’ai oublié d’ajouter ce que Jesus a fait dans le Temple dans
      Jean 2:13-25 :
      En entrant dans le Temple, Jésus est saisi d’indignation. Il est en colère devant ce spectacle de désordre, de brouhaha et de trafic. Il est hors de lui. Il se fabrique un fouet avec des cordes et chasse tout le monde du Temple, avec bœufs et brebis. Il renverse tables et bancs, jetant à terre la monnaie des changeurs.

      Pourquoi tu n’as pris tous les versets sur le Jihad ?
      Je t’invite à lire ceux-ci aussi le Coran et Hadiths :
      La définition exacte du JIHAD est le terme dérive de la racine J.H.D. qui signifie faire des efforts, lutter d’où juhd veut dire énergie accompagnée de gros et pénibles efforts. C’est-à-dire que le Jihâd couvre toute activité, qu’elle soit militaire, civile ou morale, qui implique une tâche et une concentration physiques et intellectuelle ou les deux à la fois.”

      Certains traducteurs occidentaux emploient le terme “guerre sainte” pour traduire le teterme arabe “Jihâd”, ce qui est complètement faux comme nous venons de le voir. Le terme arabe pour guerre est “harb” ou “qitâl”, ainsi l’expression “guerre sainte” se traduit en arabe par “al-harb al-muqqadassa”. Cette expression n’existe nulle part, ni dans le Coran, ni dans la tradition islamique. Elle est apparue pour la première fois lors des Croisades et a été employée par ces derniers. Cette expression, au sous-entendu négatif, ne saurait être employée pour parler du Jihâd en Islam. Ce glissement de sens a été opéré par les faussaires de l’Histoire

      S’opposer aux polythéistes en les appelant à suivre la vérité et en réfutant leur culte des ancêtres et des traditions, a été la forme principale du jihad prescrite par le Prophète dès l’aube de l’Islam et ensuite par ses Compagnons. Un tel jihad consistait également à crier haut et fort la vérité comme cela était le cas du Prophète et des ses Compagnons et ce quels que soient les peines et les dommages. L’une des plus importantes de ses formes a été de continuer à faire connaître le livre de Dieu et à faire prévaloir ses préceptes et ses prescriptions sans tenir compte des risques que cela comporterait.
      Peut-on nier un tel jihad alors que Dieu lui-même l’a appelé expressément de ce nom en s’adressant à son Envoyé Muhammad, encore installé à la Mecque : “Ne cède pas aux dénégateurs. Par ceci combats-les d’un grand combat”. C’est-à-dire combat-les par les arguments du Coran et ceci constitue un grand combat, comme l’a dit Ibn Abbas et d’autres. […]
      Cette vérité se confirme davantage dans les hadiths du Prophète, tels que : “Le meilleur jihad est une parole juste dite devant un souverain injuste” et “le meilleur jihad réside dans ton effort en Dieu contre toi-même et contre tes caprices”
      N’obéis donc pas aux infidèles; et avec ceci (le Coran), lutte contre eux vigoureusement.
      Sourate Al-Fourqâne 25, 52
      Quand devient-il légal et contre qui ?
      En analysant le premier verset autorisant la lutte défensive :
      Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués (de se défendre) – parce que vraiment ils sont lésés; et Allah est certes Capable de les secourir -ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, – contre toute justice, simplement parce qu’ils disaient : «Allah est notre Seigneur». – Si Allah ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom d’Allah est beaucoup invoqué. Allah soutient, certes, ceux qui soutiennent (Sa Religion). Allah est assurément Fort et Puissant, ceux qui, si Nous leur donnons la puissance sur terre, accomplissent la Salat, acquittent la Zakat, ordonnent le convenable et interdisent le blâmable. Cependant, l’issue finale de toute chose appartient à Allah.
      Sourate Al-Hajj 22, 39-41

      On se rend compte que l’autorisation de lutter est motivée par trois choses :
      – L’injustice que représente l’agression dont les musulmans ont été les victimes et leur expropriation à contre droit, et seulement pour avoir dit : “Notre Seigneur est Dieu”.

      – N’était-ce la permission que Dieu a donnée aux hommes de se défendre, la totalité des sanctuaires où l’on rappelle le nom de Dieu seraient détruits en raison de l’iniquité des mécréants, lesquels ne croient pas en Dieu et au Jour dernier.

      – Le secours que Dieu nous apporte, la capacité qu’Il nous donne sur la Terre et le pouvoir qu’Il nous octroie n’a d’autre but que l’accomplissement de la prière, l’acquittement de l’aumône légale, la prescription du convenable et la proscription du blâmable. [10]

      En effet,
      Si la paix est de règle et la guerre, une exception, alors on dira que la guerre n’est légitime au regard de l’Islam que dans deux cas :
      – Dans le cas où les musulmans doivent défendre leur personne, leur honneur, leurs biens ou leur nation. Dieu dit : {Combattez sur le chemin de Dieu ceux qui vous combattent, sans pour autant commettre d’agression : Dieu déteste les agresseurs.} S.2, V.190 Abû Dâwûd, at-Tirmidhî et an-Nasâ’î rapportèrent d’après Sa’îd Ibn Zayd, que le Prophète (sws) a dit : “Qui est tué pour son bien, est mort en martyr ; qui est tué pour sa personne, est mort en martyr ; qui est tué pour sa religion, est mort en martyr ; qui est mort pour sa famille, est mort en martyr.” Dieu dit : {Il ferait beau voir que nous ne combattions pas sur le chemin de Dieu, après avoir été exilés de nos demeures et de nos fils !} S.2, V.246

      – Dans le cas où les musulmans doivent défendre la prédication islamique contre ceux qui veulent l’étouffer, soit en malmenant ceux qui y adhèrent, soit en empêchant ceux qui désirent se convertir de pouvoir le faire, soit en interdisant aux prédicateurs musulmans de transmettre le message divin.
      Témoignent de cela les preuves suivante : Dieu dit : {Combattez sur le chemin de Dieu ceux qui vous combattent, mais ne commettez pas d’agression : Dieu déteste les agresseurs. Tuez-les où vous les aurez accrochés. Evincez-les d’où ils vous ont évincés. Car le trouble est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas auprès du Sanctuaire consacré, à moins qu’ils ne vous le disputent par un combat. S’ils le faisaient, alors combattez-les pareillement. – Telle soit la récompense des mécréants. Cependant, s’ils en finissaient, alors Dieu est Tout pardon, Miséricordieux. Ainsi combattez-les jusqu’à ce que qu’il n’y ait plus de trouble, et que la religion soit rendue à Dieu. – Cependant s’ils en finissaient, alors plus d’offensive, sinon contre des iniques} S.2, V190-193. Ces versets comprennent les points suivants :
      L’ordre de combattre ceux qui font montre d’agression, afin qu’ils en finissent. En effet, combattre pour défendre sa personne est légitime au regard de toutes les lois et toutes les doctrines. Ceci ressort clairement de cette parole divine : {Combattez que le chemin de Dieu ceux qui vous combattent.}

      L’interdiction de combattre ceux qui ne font pas montre d’agression, car Dieu interdit l’agression, la démesure et l’injustice : {Ne commettez pas d’agression, Dieu déteste les agresseurs.} Si l’interdiction de commettre l’agression est motivée par le fait que Dieu n’aime pas les agresseurs, ceci prouve que cette interdiction est péremptoire (muhkam) et non susceptible d’abrogation, car commettre une agression est une injustice et Dieu déteste les injustes.
      Le but de cette guerre légale est d’empêcher que les croyants et les croyantes subissent le trouble, qu’on leur cause préjudice, et de les laisser libres de pratiquer leur religion. Dieu dit : {Qu’avez-vous à vous abstenir de combattre sur le chemin de Dieu, quand il est tant d’opprimés d’entre les hommes et les femmes et les enfants à dire : “Notre Seigneur, fais-nous sortir de cette ville aux habitants iniques. Commets-nous de Ton sein un protecteur. Commets-nous de Ton sein un secourant !} S. 4 , V.75. Ce verset comprend deux motifs de combattre :

      – combattre pour la cause de Dieu, but que se fixe la religion afin de faire cesser le trouble et que la religion soit rendue à Dieu ;

      – et combattre pour la cause des opprimés, ces convertis de La Mecque qui n’avaient pas pu rejoindre le Prophète (sws) à Médine, et qui, malmenés par les Qurayshites, demandaient du secours. Or, ces opprimés ne sauraient faire l’économie d’une protection contre le mal des injustes, ni d’une protection qui leur permette de professer la doctrine qu’ils veulent.

      Dieu dit : {S’ils se tiennent à l’écart de vous, sans vous combattre, et vous lancent la paix, Dieu ne vous laisse plus contre eux de chemin} S. 4, V. 90. Ainsi, ceux qui n’ont pas combattu leur peuple, n’ont pas combattu les musulmans et se sont tenus à l’écart des belligérants par désir réel de paix, ceux-là, Dieu ne confère aux musulmans aucun droit de les combattre. Dieu dit : {S’ils penchent pour la paix, penches-y toi-même, sans cesser de faire confiance à Dieu, qui est l’Entendant, le Connaissant. S’ils veulent te duper, qu’il te suffise de Dieu} S. 8, V. 61-62. Dans ce verset, on trouve l’injonction de pencher pour la paix quand l’ennemi penche pour elle, même s’ils ne font cela que par ruse. [11]

      On peut se poser la question suivante : Le Jihâd belliqueux est-il destiné à repousser la combativité ou à mettre un terme à la dénégation (mécréance) ?

      Le Dr. M. S. Ramadan Al-Bouti a été très perspicace dans son livre intitulé “Le Jihad en Islam: comment le comprendre et comment le pratiquer?” dont je vais résumer l’avis. [12]

      Selon la majorité des jurisconsultes (les Hanafites, les Malikites et les Hanbalites), la cause du Jihâd belliqueux (ou armé) consiste à repousser la combativité et non à mettre un terme à la dénégation. Seul Ash-Shafi’î, selon une de ses 2 opinions sur le sujet, considère que la dénégation peut être la cause du Jihâd belliqueux. Ibn Hazm, de l’école Dhâhirite qui a aujourd’hui disparue, est du même avis.

      Les arguments de la majorité se basent sur les nombreux versets coraniques qui enjoignent le combat uniquement contre ceux qui agressent les musulmans et non contre ceux qui ne les attaquent pas pour cause de religion (cf. Coran 2,190 ; 9,13 ; 9,36 ; 60,8-9) et des nombreux hadiths du Prophète (sws) qui enjoignent de ne tuer ni les femmes, ni les enfants, ni les vieillards que nous aurons l’occasion de citer par la suite.

      Les arguments des autres se basent sur les versets suivants : Coran 9,5 et 9,29. De plus, ils se basent sur le hadith prophétique dans lequel le Prophète (sws) aurait affirmé n’être envoyé que pour combattre les gens jusqu’à ce qu’ils professent leur foi en un Dieu unique ainsi que d’autres traditions similaires.

      Le Dr. M. S. Ramadan Al-Bouti fait ensuite remarquer que l’opinion de la minorité n’est pas fondé pour plusieurs raisons :

      – La première, est que le verset 5 de la Sourate n°9 At-Tawba (le Repentir) est sortie de son contexte. En effet, si le lecteur s’attache au sens littéral de ce seul verset en oubliant ceux qui le précèdent et ceux qui le suivent, il arrivera à la même conclusion que celle des chafi’îtes et des dhahirîtes. Cependant, les versets qui suivent ordonnent aux croyants d’assurer la sauvegarde aux associants qui le demandent. De cela, découle que le passage se comprend en un sens contraire à l’opinion de la minorité. Ce sens contraire se répète trois fois :
      1 – Lorsque Dieu nous ordonne d’accorder la sauvegarde aux associants qui le souhaitent dans l’espoir de leur faire entendre la Parole divine, ensuite en assurant leur protection jusqu’à leur lieu de retour sans contrepartie. Si la dénégation était la source du combat contre les associants, serait-ce justifiable de leur accorder une telle protection ? Il ressort clairement du passage que c’est l’absence de combativité de leur part qui justifie cette protection et que le combat est ordonné que contre ceux qui commettent des excès à l’égard des musulmans.
      2 – Dans l’exception du reste du verset n°7 “A l’exception de ceux avec lesquels vous avez conclu un pacte près de la Mosquée sacrée . Tant qu’ils sont droits envers vous, soyez droits envers eux. Car Allah aime les pieux”.
      Si la dénégation, en tant que telle, était un motif de combat, qu’est-ce qui justifie un traité avec ceux que Dieu nous ordonne de combattre ?
      3 – Dans l’annonce de la cause pour laquelle le Message Divin dénonce le fait que les associants se prévalent d’un pacte auprès de Dieu et de Son Envoyé. Le verset n°8 stipule en effet : “Comment donc ! Quand ils triomphent de vous, ils ne respectent à votre égard, ni parenté ni pacte conclu. Ils vous satisfont de leurs bouches, tandis que leurs coeurs se refusent; et la plupart d’entre eux sont des pervers.” Si la dénonciation d’un tel pacte entre les musulmans et les polythéistes avait pour motif la dénégation, peu importerait alors que ces derniers respectent ou non leur pacte car la dénégation serait donc la cause du combat et de la rupture du pacte !

      Il n’est donc pas légal de postuler l’abrogation de ces 3 versets par celui qui les précède ! Cela supposerait que des versets postérieurs puissent être révélés tout en étant abrogé ! Qui soutient une telle hypothèse parmi les savants musulmans ?

      En ce qui concerne l’argument de la minorité se référant au verset 29 de la Sourate 9, le Dr. M. S. Ramadan Al-Bouti réplique comme suit :
      1 – L’objectif du combat prescrit par Dieu est la soumission au régime de capitation. Une fois cette soumission acquise, la non conversion à l’Islam ne constitue pas un inconvénient. Dans ce cas il est faux de conclure que la dénégation est le motif du combat car après la capitation, la conversion n’est pas exigée.
      2 – Dans son contexte historique, ce verset fut révélé alors que les Gens du Livre et plus particulièrement les tribus juives, étaient dans une situation qui leur permettaient d’agresser les musulmans. De plus, ce verset ordonne de combattre et non de tuer.
      Dans la langue arabe, les verbes qatala (tuer) et qâtala (combattre) présentent une nuance qui ne doit pas échapper à un arabophone averti. La forme qâtala implique la réciprocité et ne peut être utilisée que si l’on veut exprimer une action réciproque de résistance contre celui qui manifeste le premier une attention de meurtre ou en prend l’initiative. Quand à celui qui manifeste en premier une intention de meurtre ou en prend l’initiative, il ne peut être qualifié de combattant mais de meurtrier. Lorsqu’on dit par exemple : “je combattrai tel gens pour mes biens ou mon honneur” on ne peut comprendre qu’une intention de votre part de faire face à vos agresseurs. Votre résistance fait donc suite à leur agression.

      En ce qui concerne les traditions prophétiques utilisées par la minorité, nous les avons traité dans plusieurs articles :
      1) Le Prophète (sws) aurait été envoyé pour combattre les gens jusqu’à leur conversion !?!
      2) Le prophète (sws) aurait été envoyé juste avant l’Heure l’épée à la main ?!?

      Ainsi les arguments de la majorité sont bien plus en adéquation avec les textes que les arguments employés par la minorité. Et Dieu Seul Sait ce qu’il en est.
      Quelles sont les règles à respecter en matière de guerre ?
      La jurisprudence islamique est claire quant aux règles à respecter en matière de guerre, et en cela elle a devancé les Conventions de Genève de plusieurs siècles. En effet,
      Si l’Islam tolère la guerre comme un mal nécessaire, il lui fixe toutefois des limites précises. Ainsi n’est-il permis de tuer que les ennemis qui participent au combat ; quant à ceux qui n’y prennent pas part, il n’est nullement permis de s’en prendre à eux. De même, l’Islam défend de tuer les femmes, les enfants, les malades, les vieillards, les moines, les salariés employés comme serviteurs. Il interdit de mutiler les corps des ennemis, de tuer les animaux, d’altérer les champs, l’eau, les puits et de détruire les maisons. Il interdit d’achever les blessés, de poursuivre les fuyards. Car, la guerre étant comme une opération chirurgicale, il convient de ne traiter que les parties touchées par le mal.
      A ce titre, Sulaymân Ibn Abî Burayda rapporte d’après son père : “Lorsque l’Envoyé de Dieu (sws) désignait un émir à la tête d’un corps d’armée ou d’un corps expéditionnaire, il l’exhortait de se prémunir de Dieu et de faire le biens aux musulmans qu’il emmenait. Puis il disait :”Combattez, mais ne prélevez pas une part du butin, ne violez pas un pacte, ne mutilez pas les corps des ennemis, ne tuez pas les enfants.” [13]

      Toutes ces prédispositions sont, bien entendu, tirées de la vie du Prophète (sws). Quoi de plus probant que de citer les recommandations de ce dernier à son armée lorsqu’il partait en guerre ? A ce titre, la tradition islamique est abondante :

      Ibn ‘Omar a rapporte que l’Envoyé de Dieu (sws) a vu au cours de l’une de ses expéditions une femme tuée ; il désapprouva cela et défendit par la suite de mettre à mort les femmes et les enfants. [14]

      On rapporta à Mâlik que ‘Omar Ibn ‘Abdul-‘Aziz (le plus célèbre des califes ommeyades) écrivit à l’un de ses préfets : “On nous rapporta que quand l’Envoyé de Dieu (sws) envoyait une troupe d’hommes, il leur disait : “Faites l’expédition au nom de Dieu et luttez dans la voie de Dieu. Vous abattrez ceux qui ne croient pas en Dieu ; ne fraudez pas, ne trahissez pas, ne défigurez pas vos victimes et ne tuez pas les enfants.” A transmettre cela à ton armée et à tes troupes s’il plait à Dieu. Que la paix soit sur toi.” [15]

      Dans les recommandations que l’Envoyé de Dieu faisaient à ses lieutenants, nous pouvons citer les traditions suivantes :

      Lorsque l’Envoyé de Dieu (sws) voulut nous envoyer au Yémen, Mu’âdh et moi, il nous dit : “Facilitez et n’entravez pas ; annoncez la bonne nouvelle et n’inspirez pas de l’antipathie, agissez dans un but de conciliation et non dans un but de division.” [16]

      Lorsque l’Envoyé de Dieu (sws) envoyait un de ses Compagnons régler une affaire, il lui disait : “Annoncez la bonne nouvelle, n’inspirez pas de l’antipathie ; facilitez et n’entravez pas.” [17]

      On rapporte rapporte que le Prophète (sws) a dit : “Allez au nom de Dieu, par Dieu, et selon la religion de l’Envoyé de Dieu ! Ne tuez ni les vieillards ni les enfants ni les femmes. Ne prélevez pas une part du butin, mais rassemblez-le, Améliorez, agissez avec bonté: Dieu aime ceux qui agissent avec bonté.” [18]

      De même que les Califes qui ont succédé au Prophète (sws) ont adopté les mêmes recommandations. Leur présence près du Prophète (sws) a largement influencé leurs actions en tant que Calife des musulmans. A ce titre, on peut clairement voir l’influence des enseignements du Messager de Dieu (sws) sur son premier successeur Abû Bakr As-Siddîq.

      En effet, l’Imâm Mâlik rapporte dans son “al-Muwatta” que lorsqu’Abû Bakr As-Siddîq fut investit du Califat, il donna à Yahya Ibn Sa’îd 10 prescriptions lorsqu’il l’envoya en Syrie, lesquelles étaient : “De ne tuer ni femme, ni enfant, ni vieillard, de ne pas couper un arbre fruitier, ni détruire ce qui est construit, de n’égorger ni mouton ni chameau, sauf s’ils sont à manger ; de ne pas mettre au feu les abeilles et ne pas les disperser ; ne fraude pas et ne sois pas lâche.” [19]

      Le docteur M. S. Ramadan Al-Bouti rapporte dans son ouvrage “Le Jihad en Islam: Comment le comprendre ? Et comment le pratiquer ?” les recommandations du 2ème Calife de l’Islam, ‘Umar Ibn Al-Khattab envers Sa’d Ibn Abi Waqqas et à ses soldats la veille de leur départ pour El-Qadissiyah (en Persie) dans les termes suivants :

      “Ô Sa’d, fils de la mère de Sa’d, ne sois pas enivré par le fait que l’ont dit de toi que tu es l’oncle maternel et le Compagnon de l’Envoyé de Dieu car Dieu n’absout pas une mauvaise action par une autre mauvaise action mais il absout celle qui est mauvaise par un bonne action. Entre Dieu et tout homme, il n’y a de lien que celui de son obéissance à Dieu. Dans la religion de Dieu, les hommes sont égaux parce qu’ils sont tous ses serviteurs. Les uns se distinguent des autres par les conséquences de leurs actions. Ils atteignent sa bénédiction par leur obéissance. Regarde bien la conduite que tu as vu l’Envoyé de Dieu observer et observe-la.
      Je t’ordonne, à toi et à tes soldats de vous prémunir de Dieu dans toute situation car se prémunir de Dieu est la meilleure façon de se préparer au combat contre l’ennemi et la manoeuvre la plus puissante en temps de guerre. Je t’ordonne, à toi et à tes soldats, de vous méfier de vous plus de votre méfiance de votre ennemi car les péchés de l’armée sont plus à craindre que l’ennemi lui-même. La victoire des Musulmans tient surtout à la désobéissance à Dieu de leur ennemi. Sans ces péchés, notre force ne saurait les affecter car notre nombre n’est pas comparable au leur et nos armes ne le sont pas non plus par rapport aux leurs. Si nous rivalisons avec eux en matière de péchés, leur force l’emportera sur la nôtre. Si nous ne pouvons pas l’emporter sur eux par la vertu nous ne l’aurons pas par la force. Sachez que sur vos chemins, il y a des anges qui Dieu envoient vous préserver. Ils savent ce que vous faites. Ayez de la pudeur vis-à-vis de ces anges. Ne commettez pas de péchés, vous qui marchez dans la voie de Dieu. Ne dites pas : “Notre ennemi est pire que nous et Dieu ne lui permettra pas de nous dominer”. Dieu peut faire en sorte qu’un peuple soit dominé par un autre pire que lui. Il a donné aux paiens un pouvoir sur les fils d’Israël parce qu’ils se sont permis de commettre des péchés. Ainsi, purent-ils les pourchasser jusque dans les maisons et voilà la promesse accomplie. Demandez à Dieu de vous aider contre vous mêmes comme vous lui demandez de vous rendre victorieux sur votre ennemi. Je le demande à Dieu et pour vous et pour nous. Dieu est votre protecteur, toi et tes soldats et c’est Lui qui vous fera remporter la victoire sur votre ennemi. Dieu vienne nous aider.” [20]

      Comme nous le voyons, la tradition islamique respecte la vie quelle qu’elle soit, même en temps de guerre. Si l’Islam a défini une législation relative à la guerre, ce n’est pas parce que ce n’est pas une “religion d’amour” comme le prétendent les polémistes de tout bord, mais bien au contraire ! Une religion qui interdit de tuer les femmes, les enfants, les vieillards, les moines, les animaux et qui interdit de plus de détruire la faune et la flore ainsi que les habitations en temps de guerre, ne peut être qu’une religion prônant la paix et l’amour du prochain tout en étant réaliste, la guerre est quelques fois un mal nécessaire. Il serait vraiment absurde de considérer les résistants, ou ceux qui mènent une guerre pour défendre leur patrie, de violents pour la simple et bonne raison qu’ils ne veulent pas vivre sous l’occupation ennemie. Dans cet exemple précis, il est évident que la guerre devient un mal nécessaire et que ne pas la faire est une injustice et un manque d’amour évident pour la justice et la paix.
      L’arrêt des hostilités
      La jurisprudence islamique a défini l’arrêt des hostilités par l’une des causes suivantes :

      – la conversion de tout ou partie de l’ennemi à l’Islam, auquel cas ils deviennent musulmans, acquièrent les mêmes droits et sont soumis aux mêmes devoirs qu’eux.

      – La suspension des hostilités pour une durée déterminée. En ce cas, il faut obligatoirement acquiescer à la demande de l’ennemi, comme a fait l’Envoyé de Dieu (sws) lors du pacte de Hudaybiyya.

      – l’ennemi désire garder sa religion tout en acceptant de payer un tribut, auquel cas un traité de reddition est conclu entre les belligérants.

      – les musulmans remportent la guerre, l’ennemi est vaincu et fait prisonnier.

      – dans le cas où des combattants ennemis demandent la sécurité, on devra la leur accorder. Même chose s’ils demandent à pénétrer en terre d’Islam. [21]

      Ensuite, est signé un acte de trêve. Il s’agit de l’arrêt provisoire des combats par conventions entre les différents protagonistes. Cet arrêt peut être suivie d’une paix ou non. Il y a lieu à une trêve dans les cas suivants :
      – Quand l’ennemi la réclame. Dans ce cas, il faut acquiescer à sa demande, même s’il s’agit d’une ruse de guerre de sa part, tout en se tenant sur nos gardes. Dieu dit : {S’ils penchent pour la paix, penches-y toi-même, sans cesser de faire confiance à Dieu, qui est l’Entendant, le Connaissant. S’ils voulaient te duper, qu’il te suffise de Dieu et de qui te suit parmi les croyants.} S.8, V.61-62. De plus, on sait que l’Envoyé de Dieu (sws) conclut, avec les idolâtres Qurayshites, lors de l’expédition de Hudaybiyya, une trêve de dix ans, afin que le sang cesse de couler et pour établir la paix. […]

      – Lors des mois sacrés de dhu-l-Qi’da, de dhu-l-Hijja, de Muharram et de Rajab au cours desquels il n’est pas permis de commencer les hostilités, à moins que l’ennemi ne les commence lui-même, auquel cas les musulmans sont tenus de le combattre et de le repousser. Il est également permis de combattre quand le début des hostilités précèdent ces mois, empiète sur eux et que l’ennemi ne donne aucune suite à une demande de trêve. [22]

      • Silame espèce de MAUDIT arabo-islamiste dégage nous avec ta sale TAKYYA islamique tout le monde connait à présent les mensonges de l’islam qu’est ce que les écrits de Mr le DJIHADISTE ont à voir avec la bible ou le christianisme? d’ailleurs pour l’islam la bible n’est-elle pas fausse??? ou est-elle fausse seulement quand ça vous arrange et vraie quand vous voulez l’utiliser pour relativisez et justifier la violence islamique? nous savons bien que l’islam vit par 2 éléments la violence et le mensonge, sois tranquille que dans l’avenir cette sauvagerie appelée islam éradiquée de toute l’Afrique noire

    • Cher le DJHADISTE.
      Lis ceux-ci concernant la Guerre-Sainte d’autres Prophètes :

      Une armée nombreuse et disciplinée.

      Au départ d’Egypte, la Bible donne un chiffre de 600 000 hommes aptes à porter les armes. Le recensement que fait Josué avant le franchissement du Jourdain donne à peu près le même chiffre, ce qui est assez curieux. Faut-il compter dans ses 600 000 hommes, les cousins hébreux qui sont restés au pays de Canaan ou qui y sont revenus avant les quarante ans ? mystère ! Ce qui est en revanche très probable, c’est l’arrivée massive de combattants volontaires venant de “la zone occupée” pour se rallier à Moïse en prévision des futurs combats. Maître des ressources de Moab et des pays voisins, celui-ci était en mesure de les héberger et de les nourrir.

      Cette armée, Moïse l’a soumise à une discipline de fer, d’abord en lui imposant des règles très strictes pour l’habituer à une obéissance sans hésitation ni murmure. Celui qui a péché en ramassant du bois mort le jour du sabbat est lapidé par ses compagnons (Nomb 15, 35- 36). Les chefs qui ont fauté sont empalés face au soleil (Nomb 25, 4). Les groupes qui se rebellent sont enterrés vivants ou livrés au feu (Nomb 16, 31 – 35).

      Cette armée doit faire du butin pour alimenter le trésor et le service de l’intendance. Il est rare que l’homme de troupe soit autorisé à “butiner” pour son propre compte (c’est ce mot qui figure dans ma Bible, Nomb 31,53). Il faut qu’il attende pour recevoir sa part. Celui qui détourne le butin frappé d’anathème est non seulement puni de mort mais également son entourage qui ne le dénonce pas, bétail compris (Jos 7, 25). Un allié s’écarte du droit chemin, c’est une bonne occasion pour le rayer de la carte et pour s’emparer de tous ses biens (Nomb 31, 1- 12).
      La cohésion et le moral de cette armée sont soigneusement entretenus par tout un cérémonial à la fois militaire et religieux. Lecture de la Loi, célébrations collectives, repas commémoratifs, cérémonies d’intronisation et de dissolution, manifestations de repentance et d’absolution, discours au peuple, la vie de la collectivité est rythmée par une liturgie qui ne laisse rien au hasard. Les étrangers sont exclus du camp et des villes stratégiques occupées. La race est préservée par une généalogie soigneusement tenue à jour. La présence de Yahvé est omniprésente. Les maladies et les épidémies sont des punitions que Dieu inflige à l’individu, au groupe ou au peuple à cause des péchés présents, passés ou oubliés. Mais Yahvé est très attentif pour récompenser. S’il dépossède les uns, en revanche il donne à d’autres.Un principe de dissuasion, un plan de campagne.

      L’adversaire de Josué n’est pas le peuple dominé des campagnes mais le peuple dominant retranché derrière les murailles de ses villes fortifiées. Si la ville accepte la paix qu’on lui propose, les habitants ont la vie sauve mais sont soumis au nouveau pouvoir qui s’installe. Si la ville ne se rend pas dès les premières sommations, tous les mâles seront frappés du tranchant du glaive. Femmes, enfants, bétail seront pris comme butin (Deut 20, 10 – 14). Tel est le principe de dissuasion qui – pour qu’il fonctionne – doit être appliqué dès la première ville qui résiste, sans pitié et sans aucune restriction.
      En ce qui concerne les villes stratégiques nommément désignées, il est prévu de les vider de leur population et de les occuper sans partage. Les habitants doivent savoir qu’ils seront passés systématiquement au fil de l’épée, hommes, femmes, enfants et bétail, s’ils ne vident pas les lieux avant l’arrivée de l’armée

      • Cher Silame! examinez plutôt les ACTES du prophète de l’islam, ses viols, ses meurtres, ses pillages, et dites moi en quoi MAHOMET et son coran ont de saints?

  2. sa se une honte pour les arabe le mali et de pay noir et black ou et les arabe pas au mali alez au qatar ou arabi saoudt alez vite moves po hali awte malo mogo kountan nounou nogolen hali oute ko basa nounou mali arabou hou oute malo.

    • mercimn frere tu a vrement raison. cèdes delinkant venus d tt horizon pr destabiliseer notre pays , en complicité de certains des citoyens ki se croient musulmant horsrien.
      les apysarabes n snt pa plu musulmans k le mali , meme la mecque.
      eux memes nsdisent kil snt musulmans non pratikants.

      moi je souhaite meme k le mali kitte l”OCI et tisse des relations diplomatik avec l’Israel, cè pkoi jème l’israel pour tt c kil fait a ses arabes la.

      • Notre pays n’a pas besoin de racistes qu’ils soient blancs ou noirs (comme vous) 👿

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