Après avoir anéanti la première rébellion touareg en 1963, les autorités maliennes pensaient en avoir fini pour de bon.
Mais, c’était sans compter avec la volonté de nuisance de certains pays voisins et en dehors du continent.
Ainsi, à la surprise générale, des groupes d’hommes entraînés, armés et financés depuis d’extérieur du pays s’organisaient (Mouvement populaire de l’Azawad et Front islamique Arabe de l’Azawad) pour attaquer l’Armée malienne, tuer, piller voler, violer et détruire dans les régions nord du pays.
Le général Moussa Traoré alors président la République dont le pouvoir était menacé à Bamako à cause de la révolution démocratique, n’eut d’autre choix que de “négocier” avec les rebelles, afin de se consacrer à la “guerre” contre les élèves, étudiants et le Mouvement démocratique.
Ainsi, les 5 et 6 janvier 1991 à Tamanrasset, (Algérie) le gouvernement malien représenté par le colonel Ousmane Coulibaly et une délégation du Mouvement Populaire de l’Azawad (MPA) et le Front Islamique Arabe de l’Azawad (FIAA) signaient un triste document que l’histoire retiendra comme “les accords de Tamanrasset”.
Un document au contenu effroyable.
Boubacar Sankaré
Titre sensationnel mais vide. Mon cher journaleux departez vous de la paresse intellectuelle ou de l’inculture pour offrir à vos lecteurs des articles qui repondent à leur titre
LE MNLA EST PIRE QUE LES DJIHADISTES
MEME HRW EST OK AVEC CELA
LISEZ PLUTOT CHERS FRERES !!!!!!!!!!!
Ansar Dine mène l’enquête
Au total, près de dix-sept jeunes filles ont ainsi été victime d’agressions sexuelles ou de viols, selon HRW. Le MNLA est directement visé. Pour limiter les exactions, le groupe islamiste Ansar Dine, qui au même titre que le MNLA règne sur le nord du Mali mais avec l’ambition d’instaurer la charia, a crée une « police islamique à Tombouctou ». Ils ont pris plusieurs mesures pour protéger les civils des pillages, violences sexuelles et autres exactions généralisées commises par le MNLA, les milices arabes, et les criminels de droit commun. Le groupe islamiste mène des patrouilles à pieds et motorisées et a également mis en place des lignes d’appels directes. A Gao, ils ont exécuté deux membres du MNLA pour avoir commis des viols.
j’espere que toi tu es mujao 😆 😆 😆
La fin d’Aqmi la fin d’Elqaida ces terroristes des kamikazes de satan la fin de Bachar assed la fin d’israél l’application de la charia islamique dans les pays musulmans pour éviter un cataclysme pire que le tsunami de l’Indonésie de 2004 après l’avertissement d’ALLAH aux être humains de ce petit monde ce fort séisme en Indonésie
ET LE MALI QUI DORMAIT SE REVEILLE ET SE REND COMPTE QU IL FAUT UNE AVIATION MEME SI PAS DE MENACES IMMINENTES DE PAYS VOISINS
S ILS NE DEPOSENT PAS LES ARMES LE MALI ET SES PARTENAIRES LES DEPOSERONT
Des hélicoptères Mi-35 et Mi-17, des avions cargo, des avions de combat, des véhicules blindés, des systèmes radar de défense antiaérienne, des armes légères et des munitions : telle serait la liste adressée par le Mali à Rosoboronexport, selon une source au sein de l’agence publique russe d’exportation d’armements citée par le quotidien Vedomosti.
LE MI 35 N EST PAS LE TIGRE MAIS CELA NOUS SUFFIT (VOIR VIDEO CI DESSOUS)
http://www.dailymotion.com/video/x2z8hj_mi-35_auto
MAIS MAINTENANT TOUS CES ACCORDS SONT CADUQUES
D AILLEUR LE MNLA EST LACHE PAR TOUT LE MONDE MEME LA FRANCE
LIS PLUTOT CI DESSOUS
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré aujourd’hui à Bamako que la rebellion touareg (MNLA), devra “le moment venu accepter d’être cantonné et renoncer à ses armes”.
“Le moment venu, il faudra que tout groupe, ca vaut pour le MNLA comme pour tout autre groupe armé, accepte d’être cantonné et de renoncer à ses armes”, a déclaré laurent Fabius au cours d’une conférence de presse à Bamako.
L’auteur
Sur le même sujet
Réagir (9)
Partager
Haut de page
ON CONNAIT LA SUITE…….
HAOUSSA
VOICI UN ARTICLE POUR TON INFORMATION PERSO
Les accords de Tamanrasset du 6 janvier 1991, signés sous médiation algérienne dans cette ville, par le Colonel Ousmane Coulibaly, Chef d’État Major Général des Armées du Mali[1] et Iyad ag Ghali qui dirigeait les insurgés Touaregs, visent à mettre un terme à la rébellion touarege de 1990-1991. Ils entraînent la démilitarisation des régions de Kidal, Gao et Tombouctou[2], les trois régions du Nord, à savoir 797 000 Km²[3].
Après ces accords, le Mouvement national pour la libération de l’Azawad se scinda en plusieurs groupes : le Front populaire de libération de l’Azawad (FPLA), l’Armée révolutionnaire de Libération de l’Azawad (l’ARLA) et le Mouvement Populaire de l’Azawad (MPA) d’Iyad ag Ghali[4].
M. Sangare, vous rendez pas grand service a vos lecteurs. Vous futigiez les accords de Tamarasset,sans nous dire sur quoi ont porte ses accords ni illustrer en quoi ils ont handicapes notre pays.
Comments are closed.