La tension née de la descente musclée opérée par la MINUSMA dans les locaux de l’ONG Tassagh à Gao, ne retombe pas. Ainsi, profitant de la conférence de presse hebdomadaire, des responsables de la mission onusienne ont justifié cette intervention qui a également concerné le domicile du promoteur de l’ONG, Abou Ag Assabit.
Selon la MINUSMA, les auteurs présumés d’une attaque qui a coûté la vie à l’un de ses casques bleus, le 6 avril dernier, ont trouvé refuge dans le quartier Château de Gao au siège de l’ONG Tassagh. C’est dans ce cadre qu’une opération des Forces de Sécurité Maliennes a été menée, mardi 10 avril, dans l’après-midi, avec l’appui et des moyens spécialisés d’UNPOL, afin d’agir avec le maximum de sécurité pour les personnes. « Le site était sécurisé pas les FAMas ».
La mission a déclaré que des indices ont été saisis lors de cette opération, y compris des plaques d’immatriculation et le responsable de l’organisation a été entendu par la police à Gao. Pour la MINUSMA, « toute l’opération a été conduite dans le cadre du droit, du mandat de la mission et dans le respect des procédures internationales d’intervention professionnelle ».
Pourtant, les responsables de l’ONG ont affirmé que la descente a été faite par les casques sans la présentation du moindre mandat et les personnes incriminées ne savent pas ce qu’on leur reproche.
Dans une déclaration signée, ce mercredi 11 avril, la Coordination Régionale des ONG de Gao qu’avant toute descente de ce genre, il faut avoir un mandat de perquisition en bonne et due forme ; se faire accompagner d’un OPJ malien pour faire le constat de ce qu’ils sont venus chercher ; prendre des dispositions utiles pour le respect minimum des droits de la personne, de sa dignité et/ou de l’institution, lors de l’opération car n’ayant opposé ou manifesté aucune résistance.
La France réclame la présomption d’innocence pour leur ancien PDG de Renault, son épouse qui le Japon comme une voleuse
http://www.courrier-picard.fr/176351/article/2019-04-07/lepouse-de-carlos-ghosn-quitte-le-japon-alors-que-la-justice-voulait-linterroger
(Baffouant ainsi les justices de ces pays étrangers comme pour l’affaire “Arche de Zoé” ces français font fréquement pretextant la fermeté de la justice de ces pays que se soit pour l’affaire Air Cocaïne, ou Félix Dorfin dealuer présumé échappé de prison en Indonésie, ou les époux Courjault auteure d’infanticide, ça commence à en faire beaucoup et encore la liste est non exhaustive ! )
lanouvelletribune.info/2019/01/indonesie-felix-dorfin-un-francais-sechappe-de-prison-comme-un-dalton/
alors qu’ils ne se sont pas géné d’accuser à tord la Chine d’espionnage, une affaire qui remonte à 2011 mais qui a défrayé alors la chronique et le monde automobile. À l’époque, une main anonyme envoie à la direction de Renault une lettre, les trois chercheurs ressortent finalement blanchis!
Le vrai faux scandale
En fait c’est une entreprise très sombre, comme pour l’affaire sur le Rwanda
lexpansion.lexpress.fr/entreprises/espionnage-chez-renault-et-depart-de-patrick-pelata_1492197.html
La France réclame la présomption d’innocence pour leur ancien PDG de Renault
http://www.courrier-picard.fr/176351/article/2019-04-07/lepouse-de-carlos-ghosn-quitte-le-japon-alors-que-la-justice-voulait-linterroger
alors qu’ils ne se sont pas géné d’accuser à tord la Chine d’espionnage, une affaire qui remonte à 2011 mais qui a défrayé alors la chronique et le monde automobile. À l’époque, une main anonyme envoie à la direction de Renault une lettre, les trois chercheurs ressortent finalement blanchis!
Le vrai faux scandale
En fait c’est une entreprise très sombre, comme pour l’affaire sur le Rwanda
lexpansion.lexpress.fr/entreprises/espionnage-chez-renault-et-depart-de-patrick-pelata_1492197.html
Pas vrai Tassagh est bien une ONG en lien avec les terroristes. C’est pas caché de personnes. Ils sont tous en lien avec ces imbeciles qui écument le nord et qui empêchent aux paisibles citoyens de dormir
Nfp, c’est le raccourci de ce nullard et fils de pute qui fait de la propagande fasciste française sur Maliweb jour et nuit, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
Nfp, arrête tes propagandes et va en France !
Espèce de Nullard et Fils de Pute, Nfp de Maliweb !!!!
Le titre de l’article indique qu’on a trouvé des présumés auteurs dans les locaux de l’ONG or tel n’est pas le cas. Si la Minusma avait trouvé quelque chose on allait les attendre avec des déclarations fracassantes. Ils n’ont qu’à mieux travailler et affûter leur dispositif de renseignements. La police de Gao aurait mieux fait qu’eux. Donc on les encourage à solliciter les maliens et ils verront plus clair.
IL faut traquer ce terroriste et fermeture des ces locaux définitif et d’arrêter le directeur il ne pas de différence entre le terroriste et le soutien .
La MINUSMA n’a aucune preuve c’est juste une mensonge pour ne pas dire qu’il n’ont rien trouve et puis faut il maillote des gens sans motif frappe et humilie devant les citoyens sans motif pourquoi ils ne nous ont pas arrêté parce-que il n’ont rien trouve Tassaght a été victime d’injustice mais sachez que la lumière verra le jour très bien tôt
Si la Minusma à de bonnes raisons de penser que cette ONG à servi de refuge à des terroristes qui ont tué un des leurs, je ne vois rien à redire à ce qu’on les appuie à mener une simple perquisition !
Au contraire, je trouve meme que c’est la moindre des choses!
S’il s’était agi D’ARRESTATIONS, ça aurait été différent. Mais une perquisition, c’est tout à fait normal!
Et s’il s’avère, preuves à l’appui, que cette ONG à bel et bien abrité des terroristes, il faut immédiatement la fermer et envoyer son promoteur en taule!
Avant même de lire l’article, on peut lire déjà “LES auteur(S)” au pluriel, et “AVAIT trouvé” au singulier!😎😎😎😎😎
Et une faute pareille, DANS LE TITRE!😎😎😎😎 Pitié Kibaru, corrigez ça au plus vite!😎
Bon maintenant que c’est dit, je vais quand même lire l’article😆😆😆
Tout avertissement dans ce cas de figure est de nature à tuer l’enquête avant même qu’elle ne débute . Sachons raison gardée que la préservation de la sécurité est au profit de la population civile en premier lieu .
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