Le 17 janvier est considéré comme un jour de trahison pour bon nombre de Maliens, car il marque le déclenchement des attaques ciblées contre l’armée malienne. Contre toute attente, les Maliens se sont réveillés avec la provocation du MNLA appuyé par une coalition de terroristes et de narcotrafiquants.
Des groupes homogènes qui se sont signalés par l’agression barbare contre les militaires maliens dans le Nord du Mali. C’est cet anniversaire triste et macabre que le MNLA a célébré le samedi 17 janvier dernier dans la ville de Kidal en grande pompe, toute honte bue. “Cette journée rappelle pour nous la date officielle de la déclaration de guerre au gouvernement malien”, a signifié un organisateur.
Au menu des activités commémoratives, une marche dite pacifique organisée le matin du 17 janvier, suivie d’un meeting dans l’après-midi. Selon nos sources, au cours de la cérémonie, les responsables du MNLA ont rappelé à la population l’objectif de leur lutte ; à savoir : l’indépendance de l’Azawad.
De la lutte à la perte de légitimité
Ce qui choque dans la célébration du 17 janvier par le MNLA, c’est les attaques terroristes au même moment qui ont ciblé le camp de la Minusma causant la mort d’un soldat tchadien. Pour qui connaît les relations entre le MNLA et le contingent dans l’Adrar des Ifoghas, il est facile de se faire une idée. Autre fait qui démontre que le MNLA a perdu sa lutte dite d’indépendance, c’est que malgré l’occupation, il n’a jamais pu avoir une assise populaire au sein des populations du Nord.
Pis, le MNLA a été chassé dans des conditions inqualifiables dans les villes du Nord par ses alliés terroristes. Ressuscité grâce à l’opération Serval, le MNLA impose un embargo sur Kidal et défie les autorités maliennes. Le groupe manipule les populations civiles et parvient à interdire la ville à un Premier ministre.
Sans oublier que des ministres en visite officielle dans la ville de Kidal ont été pris à partie. La grande défiance envers le régime IBK qu’on croyait à hauteur de mission, c’est le voyage mouvementé de Moussa Mara. La suite on la connaît, pertes en vies humaines et une région qui échappe depuis à l’autorité du Mali.
S’il y a bilan que le MNLA peut se targuer d’avoir de l’accord de Ouagadougou à celui d’Alger en cours, c’est sans doute son faible poids sur le terrain. Car, de nos jours, les masques sont tombés, le Nord échappe à tout contrôle de ce groupe séparatiste. Par contre, ses alliés terroristes y ont le vent en poupe.
La mise en place du Gatia vient compliquer davantage la situation déjà trop précaire pour le nébuleux MNLA, s’y ajoutent les dissensions internes. Le MNLA a surtout perdu le peu de sa crédibilité qu’il avait lorsqu’il a avoué reconnaître l’intégrité territoriale, avant de réclamer encore le fédéralisme.
De la lutte indépendantiste, le MNLA a tout simplement mordu la poussière en perdant toute légitimité.
Alpha Mahamane Cissé
Traitre
la situation a toujour echaper au mnla. Il ne controle rien il sont toujour de meche avec les dhihadistes qui attaque et qui continueront à attaquer
Cisse, le probleme n’est pas et n’a jamais ete le mmmmp;;ll, mais le probleme est nos politichiens imccapable de construire la securite de la nation, au dela de leurs interest particuliers!
Le sahel depuis des millenaires a toujours ete un repaire de criminelles et de toutes sortes de traffiquants, et le mali, un pays sahelien, s’est permis le luxe de detruire son armee.
C’est cela le probleme.
Question: pourquoi il y a plus de bases dans le sud que dans le nord ou tous les malheurs commencent?
Ce journaliste est un vrai malien, il maitrise son domaine.IL DOIT ETRE DECORE CAR A REVELE DES FAITS QUE BON NOMBRE DE PATRONS VENDUS , N OSENT PAS FAIRE.
GROUPE MAUDIT CONSTITUE DE MAUDITS SUR DES IDEES CHIMERES……………….
ILS SONT PERDANTS ICI BAS ET AUSSI DEMAIN …………..AU JOUR J………….CE GROUPSUCULE MAUDIT NON MANDATE PAR AUCUNE POPULATION MALIENNE A COMMIS TROP DE CRIMES………..
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Si tout ce que vous dites est vrai, pouquoi votre armée n’est pas encore à Kidal?
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