La France, quoiqu’on dise, s’est inscrite totalement et définitivement dans une logique de partition de notre pays. Sa très faible représentation, à l’occasion de la signature définitive de l’accord d’Alger à Bamako, en dit long sur cette volonté. Pire, notre pays n’aura la paix que le jour où ses plus hautes autorités se résoudront à la partition du pays, pour l’indépendance de l’Azaouad.
Ce jour là, Iyad Ag Ghali, la vilaine marionnette du duo Algérie- France, n’existera plus. Tout ce désordre, toutes ces attaques ça et là, procèdent d’une seule et unique volonté, l’Azaouad. Une entité
politique, sociale et culturelle et même politique, transformée en un état non pas indépendant mais fédéré au Mali. ? Ou peut-être même pas ! Un état tout court. Ce jour là, le Mali retrouvera la paix.
Simples d’esprit que nous serions aux yeux de la France, nous déstabiliserons nous-mêmes nos institutions et leurs chefs, notamment Ibrahim Boubacar Keita. La France, que nous l’acceptons ou pas, ne fera rien pour notre pays tant que le président IBK restera intraitable sur l’indivisibilité du Mali et ce n’est pas pour rien, qu’elle ferme les yeux sur les agissements d’Iyad. Tout, et absolument tout, est mis en œuvre pour affaiblir notre président à défaut de ne pouvoir fomenter un coup d’état. Les supposées affaires distillées dans la presse malienne, entre autres coups bas. Mais la question, que l’on se pose aujourd’hui, est de celle- là. Combien de temps durera encore le petit jeu de l’Elysée dans notre pays. Une France qui fait désormais à elle toute seule la pluie et le beau temps dans le grand nord malien. Sinon, l’alibi de l’Azaouad n’en est vraiment pas un. Car, nous ne sommes pas les seuls dans cette situation. L’Azaouad tel qu’énoncé dans l’accord d’Alger, signé ici à Bamako, est une entité géographique, politique, sociale, culturelle.
Chose qui ferait que certaines personnes mal intentionnées, notamment Iyad AG Ghaly et même certains frères égarés s’en saisiraient pour vouloir en faire une république dans notre république, bottant à la touche l’indivisibilité de notre pays. Mais le constat est le même en Algérie, notre puissant voisin et non moins négociateur en chef. La Kabylie, à ce que l’on sache, est une entité géographique, socio-culturelle et politique connue de tous, à la fois par les algériens eux-mêmes et la communauté internationale, mais sans jamais faire l’objet d’autant de bruits et d’exigences comme cela est le cas dans notre pays.
La partition de notre pays serait- elle un gage pour un retour définitif de la paix ?
A l’unisson, IBK, son gouvernement, les politiques et l’ensemble des maliens s’inscrivent dans le l’absolu refus de la partition du pays.
Une option qui ne ferait apparemment pas les affaires de la France.
Cette France qui pourrait mettre fin à tout ce désordre, si elle le voulait, du fait de sa grande influence sur l’ensemble de la Zone. La France, selon plusieurs sources concordantes, contrôle ce qu’on appelle sa ligne Barkhane. Laquelle s’étend de l’Adar, en Mauritanie, à Faya Largeaud, au Tchad, en passant par Kidal et Tessalit au Mali et un peu dans le Niger. Au dessous de cette ligne Barkhane, ce sont les forces barkhanes qui contrôlent absolument tout et ont la capacité de mettre fin et de façon définitive à toutes tentatives de déstabilisation, notamment les activités terroristes d’Iyad un peu partout sur l’ensemble du territoire.
Iyad Ag Ghali, la France, Tamanrasset et l’Algérie. Une quadrature ?
Si la France, comme on le laisse croire, est avec le Mali, elle n’est en revanche pas l’ennemi d’Iyad Ag Ghali, le désormais ennemi du Mali et du peuple malien. La France, notre sauveur, la France, ce pays qui a chevauché en notre faveur en janvier 2013, n’est pas l’ennemi d’Iyad Ag Ghali. Elle sait où elle peut le trouver et le coincer. Mais lorsque les affaires et les intérêts s’entremêlent, les choses se compliquent. Iyad AG Ghali a une forte alliance sociale avec Tamanrasset, si ce n’est un lien de mariage. Une région qui reçoit régulièrement Iyad Ghali, les membres de sa famille, ses blessés de guerre, ses malades tout court. Et curieusement, c’est dans ce bled que les appareils français et même leurs véhicules font leur plein de kérosène et d’essence. La France sait donc où se trouve Iyad et le laisse déstabiliser le Président IBK, un homme qu’elle, la France, ne sentirait plus malgré son attachement à son agenda, celui de François hollande en France. Iyad n’est qu’une marionnette, quoique très bien protégé à la fois par la France et l’Algérie. Comprendra qui pourra ou voudra !
A suivre !
Sory de Motti
Pourquoi vouloir coute que coute l’aide d’un ennemi?
le Mali sait ce qu’il lui reste à faire et elle le fera InchaAllah et l’ennemi sera vaincu par la grace d’Allah.
Ce monde ci est un gros gateau, partagé entre les superpuissances et le Mali doit avoir des alliés puissant t’elle que la Russie, l’Iran, la Sirye ou la Chine.
j’adore Poutine, non franchement il me plait et c’est mon super héro VIVE POUTINE VIVE LA RUSSIE
bonjour a tous je panse que nous devons compardre une chose ce nous devons compter sur nous et il faut compter sur nous meme il faut tout faire pour que nous restons ensemble
ce qui concernant le nord
pendant le coup d’etat en 1991 le nord a ete ocuper le meme facho en 2012
regarde un peu riere en 2012 sur rfi le le debat sur le mali le 15 mars 2012
ils ont dis que il pluis rien n’affaire avec att hotgarde arme française il son quitte au mali il ya pluis rien affaire le 22 mars sanogo a fait de coup d’ etat il ffaut bien panser quand att diser je n’est veut pas un froche etranger dans notre sole entre temp la france a envoyer solide mauritane brikina faso au niger pour pousser tous groupe vert le mali en meme temp rfi dis que l’arme malien a bonborde le civile a kidal ce pourqois si il ya de poussiblette d’avoir les arme avec la russe il faut achette et d’ integre gatia dans notre froche arme parce que nous sommes un guree pendant la guree on rejette pas ce qui velent etre avec nous
municema ou barcanne il faut quitte la bas le probleme de la bas ces eu le jour que il quitte la ba vous verais ……IBK ne peux pas accepter que le mali sois partager parce que nous avons voter pour lui pour le unete du mali donc nous sommes pret amourir pour notre pays CE 1ER FOIS QUE ON NA VU QUE TOUS PAYS EURPEN ALLER AIDE UN ‘ETAT
CE POUR KOI CE PA EU QUI A RAMENE CETTE GUERRE CE NOUS TANQUE IL SONT LA BAS 9A VA PAS FINIR ON DEMANDE A LA FRANCE DE ARRETTE SONT GUERRE CONTRE LE MALI ET PAYS EURPEN USA DE QUITTE CE NOUS BIEVENUE LA CHINE ET LA RUSSE
MEME PAYS FRANCOPHONE COMMIS ARMEE SENEGALAISE TIADYENNE DE QUITTE
PARCE QUE CE LA FRANCE QUI DERIER TOUT ça BONCOURGE A TOUS AVEC GATIA CE LA SEULE ESPOIRS QUE NOUS AVONS MERCI
Quand UN SACKO…”PANSE”, c’est toujours …KONFOUROU ET NON…. PENSE!!!!!!
Je pense qu’un partenariat strategique avec la Chine qui serait base d’une part sur le developpement des infrastructures-clef du Mali et sur la mise en place d’une base industrielle (acierie,complexe petrochique et aluminium)et
d’autre part la co-gestion de nos resources naturelles : petrole et gas ,l’uranium ,serait de nature a faire du Mali un pays emergent et un pays-pole
dans la CEDEAO.Le Mali ne pourra developper sa capacite reelle de croissance et de develppement economique sans le desenclavement complet de ses structures economiques.Cela aurait du etre fait pendant les premiers 15 ans de l’independence.Le chemin de fer Dakar/Koulikoro,le reseau Bamako/Conakry ,le reseau Bamako/Bobo-Dioulasso et enfin Bamako/Gao
sont a construire sur une periode planifiee de 10 a 15 ans.Les travaux sur les deux grands fleuves le Senegal et le Niger sont une necessite: dragage,construction des sites hyhroelectriques pour alimenter les eaux des fleuves et stabiliser leurs cours.A cela s’ajoute une production electrique qui risqué d’etre basee notamment sur le gas.Le seul pays qui est capable de prefinancer toutes ces infrastructures c’est la Chine.Que pourrait interesser la Chine pour conclure un tel partenariat.Les resources energetiques ,le petrole et gas ,mais particulierement l’uranium.Le gouvernement Chinois est decide a lutter contre l’ozone ,ces gas qui polluent l’atmosphere en detruisant l’oxygene dans l’air.L’energie nucleaire est une energie non polluante et les centrales nucleaires produisent de grandes quantites d’electricite peu chere.En outré il serait de l’interet de l’Etat Chinois de produire certains demi-produits (acier,produits petrochimique, aluminium)
au Mali a cause des grands espaces dont nous disposons non pollues.La Chine importerait ce dont elle a besoin,une autre partie des demi-produits serait transformee au Mali et le reste serait importe par les pays partenaires qui se sont engages a parfaire les formations technologiques dans leurs universites.Une formation de longue haleine sera enterprise dans le domaine du travail des metaux.Au lieu de distribuer a tort sans but bien determine les parcelles ,le Mali devrait commencer des negociations economiques serieuses avec la Chine sur la base de son decollage economique et de la CEDEAO.
Le premier ennemi des pays africains est la France. Elle crois berner les gens avec sa politique de sauveur du monde. Voyez ce qu’elle a fait de la Libye. Aujourd’hui, la Libye est abandonné à son triste sort. Où est donc passée cette France qui tenait tant à délivrer les libyens du soi-disant dictateur Mohamar Kadafi ? Faisons attention à ne pas vivre le même cas.
La France se nourrit du sang des africains. Nous ne devons compter que sur nous même pour bâtir notre pays. Il est extrêmement important que nous nous donnons les mains. Le développement n’est possible que lors qu’il y a l’entente et la cohésion sociale.
Voici une interview qu’il absolument lire pour comprendre la position de la France dans la gestion de la crise malienne.
“La survie de l’Europe dépend de l’Afrique”
Alain Toussaint, conseiller de Leurent Gbagbo, s’est confié dans les colonnes d’Algérie patriotique. Il revient sur le procès du président déchu, la crise ivoirienne mais aussi le développement des relations Sud-Sud et la nécessité pour l’Afrique de s’affranchir du joug impérialiste. (IGA)
Algeriepatriotique : Sous Gbagbo, la Côte d’Ivoire a connu un développement économique considérable. Le PIB de la Libye de Kadhafi était un des meilleurs dans le monde. La Syrie avait réussi, malgré un système politique fermé, à unir une société multiconfessionnelle. Le Venezuela de Chavez a rendu au peuple son honneur. L’Algérie, locomotive de l’Afrique, subit un terrorisme barbare depuis vingt ans. Pourquoi les pays du Sud qui avancent dérangent-ils le Nord ?
Alain Toussaint : Le Nord a toujours eu besoin de sources d’approvisionnement en matières premières. Pour s’assurer qu’il n’y aura jamais de rupture, ces pays riches recourent à la violence armée. L’Afrique subit à la fois la domination politique, militaire et économique des grandes puissances qui lui imposent leur diktat. Notre continent qui compte un milliard d’habitants aujourd’hui – ils seront 2 milliards en 2050 – a d’énormes défis à relever : infrastructures, industrie, éducation, santé, culture, médias, etc.
L’Afrique est donc un vaste marché convoité par toutes les autres nations. La survie économique de l’Europe, par exemple, dépend du contrôle des marchés africains. Ses entreprises doivent écouler leurs produits manufacturés en Afrique. S’il y a 20 ans, les pays du Sud faisaient l’essentiel de leur marché au Nord, le rapport s’est inversé avec la montée en puissance des pays émergents, emmenés par les Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Grâce à la dynamique créée par ces nouveaux acteurs, le Sud commerce davantage avec le Sud même si certains Etats d’Afrique subsaharienne restent encore relativement dépendants du Nord, notamment dans les domaines de la médecine, des technologies de pointe et de l’armement. Le partenariat Sud-Sud représente une menace pour le Nord dont la part de marché dans l’économie mondiale est en pleine décroissance. Il lui faut donc s’agripper à l’Afrique, y compris par la violence. Alors, certains chefs d’Etat sont imposés de l’extérieur via des opérations de déstabilisation déguisées en croisades pour la « démocratie ». Par la puissance de leurs médias, des dirigeants étaient diabolisés avant d’être neutralisés.
Le Vénézuélien Hugo Chavez a succombé à un mystérieux cancer de la gorge ; Laurent Gbagbo, pourtant réélu à la tête de la Côte d’Ivoire en novembre 2010, est maintenu en détention par la France à la prison de la Cour pénale internationale (CPI), à la Haye, aux Pays-Bas. Plusieurs autres leaders progressistes d’Afrique noire et du Maghreb – mais aussi d’Amérique latine – demeurent sous la menace permanente des maîtres d’hier. L’Algérie, qui a développé un partenariat très fort avec la Chine, n’est pas à l’abri. Son gaz et son pétrole sont convoités. Les pays occidentaux ont du mal à admettre que le temps de la soumission est passé. Ils refusent de mettre à jour leur logiciel et de changer leur vision erronée d’un continent en mouvement.
Renversement du pouvoir en Côte d’Ivoire, intervention militaire au Mali, pillage des ressources halieutiques au Sahara Occidental occupé, exploitation des richesses naturelles dans d’autres pays africains… Pourquoi l’Afrique n’arrive-elle toujours pas à s’affranchir ?
La suprématie des pays occidentaux repose sur leur hégémonie économique et militaire. D’ailleurs, ils en abusent pour jouer le rôle de gendarmes du monde dont ils n’ont reçu mandat de personne. Ils font la pluie et le beau temps, décernent des brevets de dictateurs ou de démocrates à qui bon leur semble au gré de leurs intérêts géostratégiques, occupent des territoires sous le prétexte d’y lutter contre le terrorisme, attisent les conflits internes en armant un camp contre l’autre, utilisent un armement sophistiqué quand ils dénient le droit à des gouvernements agressés d’en faire autant pour combattre les pantins qu’ils ont formés et armés.
Tout le monde a compris la finalité de cette forme de paternalisme et de néocolonialisme. Plus que des missions pour le rétablissement de la « démocratie », il s’agit de conquêtes économiques. Regardez ce qu’ils ont fait au Mali, en Côte d’Ivoire, en Libye, en RDC, etc. Leur seul et unique objectif est le contrôle des richesses naturelles du continent africain. La grave crise économique actuelle que connaissent ces « grandes » puissances a davantage aiguisé leur appétit et renforcé leur détermination à dominer l’Afrique. En plus du pillage de nos ressources, il y a le fardeau de la dette africaine. Elle reste un facteur d’appauvrissement des populations et de sous-développement. C’est aussi le moteur de l’aliénation car elle entretient une dépendance totale à l’égard des pays « riches » du Nord et des institutions financières de Bretton Woods, qu’ils ont créées, notamment le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale.
Dans le monde multipolaire en gestation, les pays africains doivent se défaire de cette tutelle qui retarde leur décollage. Face à la nouvelle donne géopolitique et géoéconomique, un profond désir de liberté, d’indépendance effective et d’unité anime chaque Africain. Cela passe par la constitution de nouveaux pôles régionaux solides afin de tenir le choc face à des pays occidentaux entrés dans un cycle inévitable d’affaiblissement. L’Afrique n’a pas vocation à être l’éternelle vache à lait de l’Occident. Politiquement, militairement et économiquement, le continent doit enfin s’affranchir. Mais attention, il ne s’agit pas de remplacer les anciennes idoles par de nouvelles qui joueront le même rôle. Encore moins de passer d’un maître à plusieurs maîtres.
Les pillages et les interventions militaires ne changeront rien aux aspirations légitimes des peuples africains, privés de dignité depuis des siècles. Il faut bâtir en commun une Afrique solide pour nos enfants et les générations futures. Les Africains doivent comprendre que la bonne gouvernance est l’une des portes vers le développement. Nous devons envisager des réformes dans plusieurs domaines : politique, économique, social, culturel, etc. Nous devons, enfin, bâtir des institutions fortes et crédibles, socle de l’Etat de droit, au service des peuples africains. L’Afrique sera ce que les Africains voudront qu’elle soit. Il en va de même des relations avec les pays occidentaux. Le temps du réveil a sonné.
Des pays arabes réclament une réforme profonde de la Ligue arabe. Pensez-vous que l’Union africaine dans sa forme actuelle joue un rôle positif ou doit-elle subir une refonte totale ?
L’Organisation de l’Unité africaine (OUA) puis l’Union africaine (UA) n’ont jamais été au service des peuples africains. L’idée des pères fondateurs de l’OUA partait d’un bon sentiment, mais leur vision panafricaniste a ensuite été dévoyée par des chefs d’Etat africains en mission exclusive pour leurs maîtres occidentaux. Après un demi-siècle d’existence, une refondation de l’OUA s’impose, ainsi que la redéfinition de ses missions. Quelle est sa vision de l’Afrique et du monde d’aujourd’hui ? Comment se projette-t-elle dans le futur ? Comment compte-t-elle défendre les peuples africains et les énormes ressources du continent face à la horde de pilleurs surarmés qui menacent l’existence-même de nos pays ? Nous devons rester unis pour protéger nos intérêts. Depuis l’élection de la présidente de la Commission de l’UA, la Sud-Africaine NkosazanaDlamini-Zuma, je sens les lignes bouger. L’Afrique digne a enfin pris les commandes de l’organisation continentale. Bien avant, le Libyen Mouammar Kadhafi, assassiné par la coalition des « démocrates de la canonnière », nourrissait une réelle ambition pour l’Afrique unie et forte. En plus de renforcer les capacités de l’UA,le Guide estimait que l’autonomie et l’indépendance passaient par la création d’une monnaie unique africaine adossée à une Banque centrale, la mise sur pied d’un vrai Parlement des peuples africains, des infrastructures de télécommunications, des routes pour dynamiser un marché interafricain, etc. L’UA doit énormément s’impliquer dans la vie politique, institutionnelle et économique de nos pays plutôt que de les abandonner entre les griffes des ex-colonisateurs qui dictent leur loi à des Etats surendettés, livrés aux lobbies militaro-industriels. Les choses doivent changer.
Pourquoi la France de Sarkozy s’est-elle particulièrement acharnée contre le président Laurent Gbagbo et imposé par les armes Alassane Ouattara ?
La Côte d’Ivoire demeure la chasse gardée de la France selon l’entendement des dirigeants français. Un pays stratégique puisqu’il représente à lui seul plus de 40% de l’Union économique et monétaire (Uemoa), qui regroupe les ex-colonies françaises d’Afrique de l’Ouest et qui ont en commun une monnaie dénommée le franc CFA. En réalité, Gbagbo n’a jamais remis en cause les intérêts français en Côte d’Ivoire. Bien au contraire. Les multinationales hexagonales ont largement profité des années Gbagbo. Seulement, dès son élection en octobre 2000, le nouveau chef d’Etat a mis en œuvre une politique de partenariat avec les pays émergents et ceux du Sud. Cette tentative d’ouverture a fortement déplu à la puissance tutélaire, la France, qui estime que la Côte d’Ivoire est sa propriété exclusive. Même la politique sociale de Gbagbo, notamment l’Assurance-maladie universelle (AMU), agaçait la métropole à tel point que l’Elysée de Jacques Chirac a dépêché un jour à Abidjan un ministre français afin de demander à Laurent Gbagbo de surseoir à sa « révolution ». Voilà l’une des origines des malheurs de Gbagbo qui s’entêtait à tenir des conseils des ministres à Abidjan sans prendre l’ordre du jour à l’Elysée. Laurent Gbagbo est à la Côte d’Ivoire ce qu’Ahmed Ben Bella a été à l’Algérie. Un pacifiste, un patriote mais surtout le père de la conscience nationale. Les ex-colons lui ont préféré Alassane Ouattara, l’homme de la finance internationale, imposé par les armes au terme d’une rébellion barbare qui a fait des milliers de morts depuis septembre 2002. Depuis le 11 avril 2011, nous sommes dans une fiction de démocratie en Côte d’Ivoire. C’est le règne de la terreur, la violence d’Etat. Nos amis sont pourchassés, enlevés et assassinés par les milices d’un régime inhumain, qui s’endette sans compter pour faire plaisir à ses parrains. Aujourd’hui, plus de 700 personnalités – dont la première dame Simone Gbagbo, Pascal Affi Nguessan, le chef du parti de Gbagbo, un gouverneur de la Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Michel Gbagbo, le fils de Gbagbo, Charles Blé Goudé, ancien ministre et leader des jeunes patriotes, des députés –, sont arbitrairement détenues par le pouvoir ivoirien. Les donneurs de leçon d’hier, si prompts à accabler Gbagbo dès que la météo est mauvaise à Abidjan, sont subitement devenus aveugles et muets. Mais je reconnais que c’est bien le type de « démocratie » que préfère la France en Afrique.
Vous estimez que la décision de la CPI d’ajourner le verdict de l’audience de confirmation des charges contre Laurent Gbagbo est annonciatrice de sa libération prochaine. Sur quoi fondez-vous votre optimisme ?
C’est la CPI elle-même qui m’encourage à le penser. Comme vous le savez, ses juges ont demandé au procureur Fatou Bensouda de poursuivre ses investigations afin de présenter des preuves plus solides qui pourraient justifier un procès à l’encontre de Laurent Gbagbo. Or, Gbagbo a été déporté à La Haye depuis le 29 novembre 2011, en violation de ses droits, sur la base d’un mandat illégal. Aujourd’hui, tout le monde s’accorde à dire que le dossier d’accusation est vide. La Cour ne doit pas avoir honte de reconnaître qu’elle a été induite en erreur, trompée et manipulée par le gouvernement français de Nicolas Sarkozy et son allié Alassane Ouattara. Il n’y a aucun mal à cela. Laurent Gbagbo, à qui Jacques Chirac promettait la CPI depuis 2003, est innocent. Il doit être libéré immédiatement.
Qui, selon vous, a instrumentalisé la CPI pour « monter » un procès contre l’ancien président de Côte d’Ivoire ?
La dimension politique de cette affaire est incontestable. La détention du président Gbagbo est une escroquerie politique. Le gouvernement français détient la solution du problème Gbagbo. François Hollande qui a hérité de ce dossier n’ignore rien du complot ourdi par Nicolas Sarkozy contre Laurent Gbagbo, vainqueur de la présidentielle de novembre 2010. Le nouveau chef d’Etat français rendrait service à la Côte d’Ivoire et à la France en autorisant la libération de notre leader.
De grâce, ne me parlez pas de justice ! C’est une affaire politique, vous le savez très bien. Gbagbo est un prisonnier politique de l’impérialisme occidental, comme le furent avant lui Samory Touré, Toussaint Louverture, Béhanzin, Kadjo Amangoua et d’autres. Le président Gbagbo se retrouve à La Haye à la suite de petits arrangements entre amis, notamment Nicolas Sarkozy, l’ancien procureur de la CPI, Louis Ocampo-Moreno, et leur ami Alassane Ouattara. On le voit, le politique prédomine sur le judiciaire. L’entêtement de la CPI à vouloir coûte que coûte condamner Gbagbo est une erreur de politique pénale qui nuit gravement à son image et à sa crédibilité.
Cette Cour est si partisane qu’elle n’a engagé, pour l’heure, que des poursuites contre le camp Gbagbo mais pas contre celui d’Ouattara, le « démocrate » préféré de la communauté internationale. Cette politique du « deux poids deux mesures » démontre bien que la CPI est instrumentalisée. Les leaders africains comme Laurent Gbagbo, les présidents soudanais Omar El-Béchir ou kenyan Uhuru Kenyatta sont les victimes du nouveau colonialisme judiciaire, dans le droit fil de la domination économique, militaire et politique des puissances occidentales sur l’Afrique. Cette forme de terrorisme doit aussi cesser.
Est-il probable que Laurent Gbagbo soit libéré ? Quel impact sa libération aurait-elle sur la vie politique en Côte d’Ivoire ?
Selon moi, les chances de libération du président Gbagbo sont intactes. Le dossier est vide. Sa détention fait peser une hypothèque sur l’avenir de la Côte d’Ivoire. La libération de Nelson Mandela avait contribué à construire la nouvelle Afrique du Sud post-apartheid. Celle de Laurent Gbagbo peut être un puissant moteur de la réconciliation nationale en Côte d’Ivoire. Son retour parmi les siens permettra de renouer le fil du dialogue entre Ivoiriens, d’apaiser les cœurs et d’annihiler toute tentative de belligérance. Laurent Gbagbo a toujours œuvré pour la paix et l’unité des Ivoiriens. Il est le fondateur d’un parti politique qui transcende les clivages ethniques, religieux et sociaux. Gbagbo est un rassembleur. Cet homme du peuple manque énormément à ses compatriotes, dont une écrasante majorité – toutes obédiences politiques confondues – vit très mal son incarcération à La Haye.
Si Gbagbo recouvrait sa liberté, envisage-t-il de revenir aux affaires politiques dans son pays ?
C’est une question délicate que vous me posez. Seul le président Laurent Gbagbo est en mesure d’y répondre. Mais je ne doute pas qu’il prendra une décision cohérente, en pleine harmonie avec sa conscience, son parcours et l’espérance toute fondée qu’il incarne pour le peuple ivoirien et l’Afrique qui l’attendent.
Interview réalisée par Kamel Moulfi et Mohamed El-Ghazi
Levons pour un mali éternel, marchons pour un mali éternel et mourrons pour un mali éternel. Vive le Mali de tout temps
Il est clair que la France est au Mali pour veiller sur ses propres intérêts et non pour aider le Mali. La vie de la population malienne lui importe peu.
It is hidden to anyone that wants to destroy France MALI and seize our mining resources, but it is we who must Malian prevent this !!! We must unite and show solidarity behind our leaders in any case !!!
We must never, ever let France come between us, we must strengthen our bond of brotherhood for peace, reconciliation and vis-à-vis safety of our northern brothers !!!
On doit s’unir et c’est dans notre propre intérêt. La Nation est vraiment dans des complications, elle est confrontée à des trahisons, à des trahisons des personnes qui se sont dit amis de cette Nation. On doit faire face seul à nos problèmes. On a choisi un président qui est capable de nous faire sortir de ce merdier. IBK la confiance de toute la Nation repose sur vous et sur nos forces des ordres la FAMA.
Les maliens ont tendance à oublier que nous avons tout à gagner en nous unissant tous, et tout à perdre en nous divisant, chose que les gens ne comprennent toujours pas. Notre président nous déjà montré la voie, autant la suivre !!!
Du moment qu’il s’agit de la Nation nous sommes prêt à tous pour le défendre.
Le Mali n’est pas n’importe qu’elle pays, ce pays est connue par son histoire et nous n’abandonnerons jamais à cela. Pour ceux qui ont connu Soundiata Keïta savent de quoi on parle…
Que dieu sauve la Nation, sinon la France n’est pas là pour nous.
IBK reste toujours notre homme de confiant, c’est qui est capable.
Il saura mettre des stratégies en place pour faire sortir du Mali ce triste cauchemar.
Dites à la France que certes le bateau du Mali tanguera mais ne chavirera jamais. En une simple compréhension cela veut dire que le Mali ne s’éteindra pas.
IBK est un homme de parole, il nous a promis l’intégrité du territoire et vas le réalisé. Nous somme avec lui dans ce combat. Nous n’abandonnerons jamais les bras. Quel qu’en soit les pensées de la France, nous ne sommes pas des naïfs, on sait ce que l’on veut.
IBK est notre président et on le soutien jusqu’au bout.
On sait tous ce que la France veut de nous elle n’a pas besoin de le dire. Mais il est temps aussi que les maliennes se lèvent, s’unir pour l’avenir de notre. C’est l’union qui fait la force. D’après les BAMBARA NI KOKO PRIN NA BASSA BE DO
Nous ne devons jamais, au grand jamais laisser la France s’immiscer entre nous, nous devons solidifier notre lien de fraternité par la paix, la réconciliation et la tolérance vis-à-vis de nos frères du nord !!!
Le Mali est un pays fort, le pays des braves hommes. Mais c’est le courage qui nous manquent, la peur nous domines alors qu’on peut. Oui on peut sortir de ce pétrin, on peut sortir de cette crise sans l’aide de la France, mais il suffit seulement d’avoir confiance en nous.
La France sait où trouver Iyad Ag Ghaly et ses hommes. Elle est en complicité avec l’Algérie voisine pour la dislocation de notre Etat. Kidal est une zone sahélienne riche. Mais la position de France ne m’étonne pas. Elle est toujours ainsi. C’est plutôt la gestion de l’Algérie qui a toutes fois été chef de file de la médiation au Mali qui me tourmente un peu. La France collabore avec Iyad au nord du Mali. 😛 😛 🙄 🙄 🙄 💡 💡 💡
L’intérêt de la France a tendance à primer sur sa mission militaire au Mali. Elle est en train de manigancer la destruction pure et simple du Mali. Kidal étant une ville stratégique du Mali, la France veut se procurer cette zone. Toutes attaques terroristes tournent autour de cette analyse de Mr Sory. ❓ ❓ ❓ 🙄 🙄 🙄
Il n’est caché à personne que la France veut détruire le MALI et s’emparer de nos ressources minières, mais c’est nous maliens qui devons empêcher cela !!! Nous devons nous unir et être solidaire derrière nos dirigeants en tout état de cause !!!
Le Mali est un et indivisible. Non aux séparatistes et aux espions de la CMA. La France cherche la destruction du Mali. Après avoir imposé un accord inégalitaire mais respectueux des caractéristique de notre Etat unitaire au Mali, elle veut aujourd’hui la partition de notre Etat. 😛 😛 😛 😆 😆 😆
@NIKITA tu fais trop d’honneur à Bokassa ,il n’a jamais été dans la Légion Etrangère , mais dans ce qu’on appelait alors “la coloniale ” Il a beaucoup combattu avec l’armée française ce qui fait qu’il est passé à la régulière de sergent à capitaine ,mais sans bruler les étapes il a meme été décoré de la Légion d’Honneur ,sans doute une preuve qu’il s’est bien battu .
Ensuite son coup d’état n’est qu’un coup d’état banal comme il y a du en avoir une centaine ou plus en Afrique , c’est dans vos gènes 😆 😆 😆 😆
Et puis arretez d’emmerdez tout le monde avec votre Kidal , on dirait que la terre tourne grace à Kidal ,soyez raisonnable ,personne ne veut de Kidal hormis les trafiquants de drogue
Le Mali a suffisamment de problème, on a besoin des gens qui veulent nous aidée à résoudre ces problèmes. Mais si la France sait qu’elle est là pour d’autre chose ou qu’elle a des mauvaises intentions envers le Mali, on ne sera pas d’accord. Le Mali est un pays fort on peut souffrir mais tôt ou tard on aura le bonheur.
La France dont l’intervention militaire en 2013 avait suscité de l’espoir chez tous les maliens est devenue le problème de la rébellion malienne. Cette puissance sachant toutes les dispositions de l’accord d’Alger pour la paix et la réconciliation nationale veut manigancer la partition du Mali. 😥 😥 😥 💡 💡 💡
Jamais, je n’avais lu un article aussi intéressant que le vôtre Sory. Vous avez absolument tout dit sur la France. Et c’est le jeu de la France sous couvert de la MINUSMA au Mali. Elle veut la destruction de notre pays mais elle ne l’aura pas. Tous les maliens savent maintenant que la maudite puissance, France qui peut seule mettre fin à la crise malienne, est au cœur de la volonté séparatiste du Bamilaba. 😛 💡 💡 💡 💡 😆 😆 😆
Seule la France sait ce qu’elle veut mais la seule chose que le Mali souhaite c’est la paix et la sécurité. Et si telle n’est pas le cas pour la France, il est temps qu’elle ne se mêle plus de nos affaires.
Ce que la France cherche et qu’elle ne dit pas, on le sait déjà. Mais il vaut mieux pour eux de ne rien dire, car jamais au grand jamais on ne va pas leur accordé ce plaisir
MALHEUR A TOUS NOS ENNEMIS DE LOIN OU DE PRES.
Toi armée nationale, tu as notre soutien sans ambigüité.
Bats-toi, parce que tu préfères la mort à la honte !
Bats-toi parce que chaque Malien se considère désormais comme soldat en réserve.
Bats-toi parce que le Mali doit vaincre et vaincra.
Un Mali Un et Indivisible
La rébellion touareg, l’invasion djihadiste, l’intervention française dite libératrice, la sujétion de la région de Kidal pour finir par une division du Mali, tout a été soigneusement préparé par la France depuis l’Elysée. Il ne suffit pas de dénoncer, il faut agir ou on assistera de gré ou de force à la partition du Mali.
« Nous avons trois buts dans notre intervention qui s’effectue dans le cadre de la légalité internationale », a-t-il dit lors d’une conférence de presse: « arrêter l’agression terroriste », « sécuriser Bamako où nous avons plusieurs milliers de ressortissants, et permettre au Mali de recouvrer son intégrité territoriale ».
Voilà les propos du président François Hollande depuis son séjour à Dubaï le 16 Janvier 2013. Après constat, il est clair que les intentions de la France se sont limiter à dire aux maliens ce qu’ils veulent entendre. Récemment, notre pays a connu une dizaines d’attaques terroristes. Au point où nous en sommes Bamako est loin d’être à l’abri du terrorisme. Enfin, la ceinture de sécurité contribue pleinement au Mali de recouvrer son intégrité territoriale puisse que Kidal ne plus partie du Mali.
Mais le coup de chapeau revient au peuple malien qui n’essayant pas du tout de faire la différence entre les théories et les pratiques françaises au Mali, continue follement à s’en prendre à ses institutions. C’est vraiment la théorie de laisser la proie pour l’ombre
LA France ET LA MINUSMA ne font que défendre leurs propres il s’agit de s’emparer de nos biens et beaucoup qui font la richesse du Mali.
Comme le dit DABEMBA TRAORE lors de la pénétration coloniale : « les blancs veulent m’amadouer a me prenant mon lopin de Terre… »
LA France ET LA MINUSMA ne font que défendre leurs propres il s’agit de s’emparer de nos biens et beaucoup qui font la richesse du Mali.
Comme le dit DABEMBA TRAORE lors de la pénétration coloniale : « les blancs veulent m’amadouer a me prenant mon lopin de Terre… »
Le vrai problème du Mali, c’est LA FRANCE et ses soit disant analystes qui manipulent les maliens avec des histoires à dormir debout. Aller au diable avec ces analyses sans queue ni tête. Rien de vos coups machiavéliques ne déchirera le grand Mali. Ils allument et activent le feu et après ils vont jouer aux pompistes. Ces assassins, qui sont leurs parrains? On s’en sortira après toutes vos trahisons et vos conflits d’intérêt. Vous devez savoir que les maliens sont réveillés maintenant et comprennent tous vos actes. Vive Notre grand Mali un et indivisible.
Mandé Tigui iifama takama, Malidenw Djgui iifama takama, votre peuple reste fidèle à vous, notre soutien ne sera pas en marge de vos combats infatigable. A bas la France !!!
Mais toute porte à croire qu’elle ne veut plus quitter. Cela, en attendant la signature de l’Accord de défense qui lui permettra d’adopter une position claire. Mais nous comptons sur le côté diplomatique de la France pour ne pas faire du MALI son terrain de jeu.
IBK reste dans le silence parce que la France dresse tout contre lui, raison pour laquelle on voit plus de critiques du président que de considérations. L’Élysée tourne l’opinion malienne à sa guise et naïfs que nous sommes, on se laisse emporter par le courant d’air qui se dirige vers la partition du Mali. Si les intentions de la France et de la MINUSMA sont de conserver l’intégrité du Mali, pourquoi ne pas accompagner IBK dans sa politique d’indivisibilité du Mali? Ils ne peuvent pas, cela est directement à l’encontre de leur volonté. On a le choix, nous pouvons continuer à se plaindre de la gestion du pays tandis que le Mali est entrain de disloquer ou nous nous pouvons aussi nous reveiller et dire tout simplement NON à la France et à la MINUSMA et les contraindre à quitter notre pays. C’est aux maliens et aux maliens seuls de décider de leurs destin et avenir
Selon plusieurs sources, la quasi-totalité des matériels que la France a acheminés au Nord sont des matériels de prospection. Elle est en train de tenter de rassurer les Maliens, en jouant avec les chiffres. Tantôt, elle veut augmenter le nombre de ses militaires au Mali, tantôt elle cherche à les diminuer.
La France, ayant compris que le Mnla ne pèse pas et sachant bien que le Nord du Mali est riche en ressources, ne veut plus quitter. Elle veut proposer au Mali un accord de défense militaire, afin que les Maliens signent ce document qui va permettre d’avoir la mainmise sur les ressources de notre pays.
Nous devons faire très attention à nos partenaires que ce soient nos partenaires financiers ou techniques et mêmes ceux qui sont là pour nous aider à sécuriser notre pays. Dans les relations actuelles, on ne plus rien pour rien. Tout à une contrepartie. Mais franchement telle ne devait pas être le cas de la France envers nous.
« Simples d’esprit que nous serions aux yeux de la France, nous déstabiliserons nous-mêmes nos institutions et leurs chefs, notamment Ibrahim Boubacar Keita » Vous voyez aussi bien dans les agissements des maliens. Pendant que les uns et les autres sont là à dénigrer IBK et son régime, la France prépare finement la partition du Mali pour créer un Etat Azawad indépendant. C’est très simple à découvrir, la France applique les stratégies que le général chinois Sun Tzu évoque dans son livre l’art de la guerre, c’est-à-dire gagner une guerre sans combattre. La France n’aura pas besoin de livrer une bataille contre l’Etat malien pour imposer sa volonté de faire du Nord-Mali, un Etat à part. Il suffit pour eux de lancer la poudre et le peuple malien fera lui-même le boulot à sa place en poussant le pays à la déstabilisation politique.
Nous ne savons plus que dire ou faire ni de la MINUSMA ni de la Barkhane ni de la France elle même en tant que telle. ELLE EST VRAIMENT CONTRE LES INTÉRÊTS DU MALI OUI OU NON?
Je le dis bien souvent, pour éviter le syndrome soudanais, un pays dont l’ONU, l’UA, l’IGAD ou encore la CEMAC, le COPAX se sont rendus complices en assistant à sa dislocation malgré le principe d’intengibilité des frontières, le Mali doit refléter l’exemple rwandaise qui après avoir été délivré de la guerre civile par l’opération turquoise, a rompu toute relation avec la France. 20 ans après 1994, le Rwanda se classe aujourd’hui parmi les pays d’Afrique les plus avancés.
Longue vie au président 5 étoile, IBK est l’espoir et la lueur du soleil qui anime ce pays. Le héros du Mandé s’est a toujours su s’opposé aux décisions de la France et il continue inlassablement de le faire. La France et l’ONU peuvent continuer à semer la terreur dans le nord Mali, mais le Mali restera un et indivisible.
La position de la France est clair, c’est de diviser le Mali une bonne fois pour toute. Grace à Mandé Massa, grâce à sa fermeté et sa bravoure cette décision de la France demeure vaine. Raison pour laquelle, elle a ressuscité les attaques dans le septentrion malien.
Tous les Etats colonisés par la France, sont en retard par rapport aux Etats colonisés par les autres colonisateurs.
Le système Français est la plus pire système que le monde a c connus.
La mort de KADAFY est l’œuvre de la France.
Le printemps ARABE est l’œuvre de la France.
Tous ceux-ci montrent que c’est la France qui est à l’origine de toutes les désorganisations dont le Mali vivait actuellement.
Depuis l’indépendance jusqu’à nos jour la France continu de mettre feu en Afrique, c’est pourquoi ALPHA BLONDY dit que les chiens ont mis le feu dans mon pays.
On demande à la MUNISMA de quitter le Mali, car, il n’a aucun importance, le Mali est un Etat souverain et libre, nous avons la capacité de gérer nos propres affaires.
France est plus pire que les rebelles, on sait aussi que la séparation du SOUDAN est l’œuvre de la France. L’ennemis numéro un du Mali est la France.
On veut plus la France, on est vraiment assez, car vous utilisés l’Afrique comme vos propre instruments.
Tu as parfaitement raison, les vrais terroristes sont les français. Ils sont en complicités avec les terroristes et les rebelles. Toutes les attaques perpétrées par les terroristes et les rebelles sont télécommandés par la France. Tant que la France sera au-devant de la scène dans la crise du septentrion cela ne prendra jamais fin. La France joue à un jeu de dupe avec l’Afrique et le Mali en particulier.
La France n’a jamais eu l’intention d’aider le Mali a ressortir dans la crise. Elle a juste envoyé ses vautours sur le sol malien pour avoir un moyen d’exploiter nos ressources naturelles à Kidal.
L’organisation du traité d’atlantique nord est faite pour éliminer les Africains, le cas de LIBYE est un exemple de cela, le moment que l’OTAN est venue bombarder le palais présidentiel LIBYEN.
Les différents coups d’Etat faites en France sont l’œuvre de la France, l’aggravation de la situation sécuritaire du Mali est l’œuvre de la France.
Diviser pour mieux régner tel est le slogan secret, des occidentaux. Ils ne veulent pas voir l’Afrique en particulier le Mali voler de ses propres, car ils ne visent que leurs propres intérêts et s’enfutent de celui du pays cerner.
Retraçons les faits de la France contre l’Afrique de tout entier. En commençant par la Guinée.
LA FRANCE EST UN PIRE ENNEMIS DU MALI ET MEME TOUT L’AFRIQUE EN ENTIER.
Lorsque Sékou Touré de Guinée décida en 1958 de sortir de l’empire colonial français, et opta alors pour l’indépendance du pays, l’élite coloniale française à Paris était s’est indignée, et dans un acte de fureur historique, demanda à son administration alors en place en Guinée de détruire, dans tout le pays, ce qui représentait, à leur yeux, les avantages de la colonisation française.
Trois mille Français quittèrent le pays, en prenant tous leurs biens et détruisant tout ce qui ne pouvait être déplacé: les écoles, les crèches, les bâtiments de l’administration publique furent détruits, les voitures, les livres, les médicaments, les instruments de l’institut de recherche, les tracteurs ont été écrasés et sabotés; les chevaux, les vaches dans les fermes ont été tués, et les nourritures entreposées furent brûlées ou empoisonnée.
Le but de cet acte scandaleux était bien évidemment, d’envoyer un message clair à tous les autres colonies sur les conséquences du rejet de la France.
Le fait est que peu à peu, la peur s’empara des Élites Africaines, et après ces événements aucun autre pays ne trouva jamais le courage de suivre l’exemple de Sékou Touré, dont le slogan était “Nous préférons la liberté dans la pauvreté à l’opulence dans l’esclavage”.
Pour les pays nouvellement indépendant il fallut trouver des compromis avec la France. Sylvanus Olympio, le premier président de la République du Togo, un petit pays d’Afrique de l’Ouest, trouva une solution susceptible de calmer les Français :
Ne voulant pas continuer à subir une domination française, il refusa de signer le pacte colonisation proposé par De Gaule, mais accepta en contrepartie de payer une dette annuelle à la France pour les soi-disant avantages obtenus lors de la colonisation française.
Ce furent les seules conditions de la France pour ne pas détruire le pays avant de partir. Toutefois, le montant estimé par la France était si grand que le remboursement de la soi-disant « dette coloniale » était proche de 40 % du budget du pays en 1963.
Dès lors, la situation financière du Togo tout juste indépendant fut très instable, et afin de se sortir de cette situation, Olympio décida de sortir du système monétaire mis en place par la France coloniale le FCFA ( franc des colonies françaises d’Afrique ), et créa la monnaie du pays.
Le 13 Janvier 1963, trois jours après , qu’il ai commencé à imprimer les nouveaux billets, une escouade de soldats (soutenus par la France) s’empara et tua le premier président élu de l’Afrique indépendante : Olympio fut exécuté par un ex Légionnaire français, le sergent de l’armée Etienne Gnassingbé qui, au passage, reçu à ce moment une prime de 612 dollars de l’ambassade française locale pour le succès de sa mission.
Le rêve de Olympio était de construire un pays indépendant et autonome. Mais l’idée ne correspondait pas aux volontés françaises.
Le 30 Juin 1962, Modiba Keita, le premier président de la République du Mali , décida également de se retirer du système monétaire FCFA ( imposé à 12 pays africains nouvellement indépendants ).
En effet, pour le président malien, qui se penchait plus vers une économie socialiste, il était clair que la colonisation qui perdurait avec ce pacte avec la France, devenait un piège, un fardeau pour le développement du pays.
Le 19 Novembre 1968, comme, Olympio, Keita sera victime d’un coup d’état menée par un autre ex légionnaire français des Affaires étrangères, le lieutenant Moussa Traoré.
De fait, durant cette période turbulente où l’Afrique combattait à se libérer du joug de la colonisation européenne, la France usera à nombreuse reprises de mercenaire anciennement affiliés à la légion étrangère pour réaliser des opérations coup de poings contre les présidents nouvellement élus :
Au 1er Janvier 1966, Jean- Bedel Bokassa, ex légionnaire français, portait un coup d’état contre David Dacko, le premier président de la République centrafricaine.
Le 3 Janvier 1966, Maurice Yaméogo, le premier président de la République de Haute-Volta, aujourd’hui appelé Burkina Faso, a été victime d’un coup porté par Aboubacar Sangoulé Lamizana, un ex légionnaire français qui a combattu avec les troupes françaises en Indonésie et en Algérie contre ces pays l’indépendance
Le 26 Octobre 1972 Mathieu Kérékou qui était un garde de sécurité au président Hubert Maga, le premier président de la République du Bénin, a porté un coup d’état contre le président, après avoir fréquenté les écoles militaires françaises de 1968 à 1970.
En fait , au cours des 50 dernières années, un total de 67 coups état qui se sont passés dans 26 pays en Afrique, 16 de ces pays sont des ex- colonies françaises, ce qui signifie que 61 % des coups d’états en Afrique ont été initiés dans d’anciennes colonies françaises.
JE DETESTE LA France, JE HAIE LA France,
ALORS LES COLONIES FRANÇAIS SOUFRES A CAUSE DE LA FRANCE. ON DEMANDE A LA France DE NOUS LAISSER EN PAIX.
VI VE LE MALI
VIVE L’AFRIQUE
AQBAS LA France
ABAS LA MINUSMA
ABAS LES AUTORITES France.
ABAS HOLLAND ET SON GOUVERNEMENT.
Tu as raison la France joue à un jeu de dupe dans la crise malienne. Les groupes rebelles sont soutenir politiquement, militairement, économiquement et secrètement par la France. La France empêche Bamako de gérer la crise comme bon le semble. La France décide d’aggraver la situation quand il veut et il rabaisse le niveau comme bon le chante. Elle télécommande la crise à sa propre guise.
Abat la France, 😈 😈 😈 😈 VIVE LE MALI, 😛 😛 😛 😛 😛
Abat la communauté internationale, VIVE L’AFRIQUE, 😀 😀 😀 😀
Abat la Minusma, et l’armée française, 💡 💡 VIVE LA FAMAs, 😉 😉
Abat l’ONU, ➡ ➡ ➡ VIVE L’ONU AFRICAINE 😛 😛
je renoue la publication de cette charte publié par erreur par les grandes puissances. C’est à vous chers lecteurs !!!
LA CHARTE SECRETE EN FAVEUR DE L’EXPLOITATION DES PAYS PAUVRES.
Selon un document confidentiel et découvert au «Musée royal de l’Afrique centrale», à Tervuren, une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande, dans la province du Brabant flamand, les Occidentaux avaient déjà programmé l’exploitation des pays pauvres et le massacre de leurs habitants depuis la « traite négrière » à Washington. Le document historique qui suit est la preuve que les dirigeants occidentaux ne seront jamais poursuivis pour tous les crimes qu’ils commettent dans le monde.
LA CHARTE DE L’IMPÉRIALISME
La présente «charte» a été élaborée à Washington pendant la«traite négrière», ensuite discrètement négociée à la «conférence de Berlin en 1885» pendant que les puissances Occidentales se partageaient l’Afrique ; renégocié secrètement à Yalta au moment du partage du monde en deux blocs après la deuxième guerre mondiale et pendant la création de la « Société des Nations», l’ancêtre de l’« ONU ». Source : « Musée de Tervuren [*] » et envoyé par : Jean-Jacques Ngangweshe.
I. DISPOSITION GÉNÉRALE
Article 1° :
De la Devise : – Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.
Article 2° :
Aucun pays du tiers-monde ne constitue un Etat souverain et indépendant.
Article 3° :
Tout pouvoir dans les pays du tiers-monde émane de nous, qui l’exerçons par la pression sur les dirigeants qui ne sont que nos marionnettes. Aucun organe du tiers-monde ne peut s’en attribuer l’exercice.
Article 4° :
Tous les pays du tiers-monde sont divisibles et leurs frontières déplaçable selon notre volonté. Le respect de l’intégrité territoriale n’existe pas pour le tiers-monde.
Article 5° :
Tous les dictateurs doivent mettre leurs fortunes dans nos banques pour la sécurité de nos intérêts. Cette fortune servira des dons et crédits accordés par nous comme assistance et aide au développement aux pays du tiers-monde.
II. DU RÉGIME POLITIQUE
Article 6° :
Tout pouvoir et gouvernement établi par nous est légal, légitime et démocratique. Mais tout autre pouvoir ou gouvernement qui n’émane pas de nous est illégal, illégitime et dictatorial, quelle que soit sa forme et sa légitimité.
Article 7° :
Tout pouvoir qui oppose la moindre résistance à nos injonctions perd par le fait même sa légalité, sa légitimité et sa crédibilité. Il doit disparaître.
III. DES TRAITES ET DES ACCORDS
Article 8° :
On ne négocie pas les accords et les contrats avec les pays du tiers-monde, on leur impose ce qu’on veut et ils subissent notre volonté.
Article 9° :
Tout accord conclu avec un autre pays ou une négociation sans notre aval est nulle et de nul effet.
IV. DES DROITS FONDAMENTAUX
Article 10° :
Là où il ya nos intérêt, les pays du tiers-monde n’ont pas de droit, dans les pays du sud, nos intérêts passent avant la loi et le droit international.
Article 11° :
La liberté d’expression, la liberté d’associations et les droit de l’homme n’ont de sens que dans le pays où les dirigeants s’opposent à notre volonté.
Article 12° :
Les peuples du tiers-monde n’ont pas d’opinion ni de droit, ils subissent notre loi et notre droit.
Article 13° :
Les pays du tiers-monde n’ont ni culture ni civilisation sans se référer à la civilisation Occidentale.
Article 14° :
On ne parle pas de génocide, de massacre ni des « crimes de guerre » ou des « crimes contre l’humanité » dans les pays où nos intérêt sont garantis. Même si le nombre des victimes est très important.
V. DES FINANCES PUBLIQUES
Article 15° :
Dans les pays du tiers-monde, nul n’a le droit de mettre dans leurs banques un plafond d’argent fixé par nous. Lorsque la fortune dépasse le plafond, on la dépose dans l’une de nos banques pour que les bénéfices retournent sous forme des prêts ou d’aide économique au développement en espèce ou en nature.
Article 16° :
N’auront droit à l’aide précitée, les pays dont les dirigeants font preuve d’une soumission totale à nous, nos marionnettes et nos valets.
Article 17° :
Notre aide doit-être accompagnée des recommandations fortes de nature à empêcher et briser toute action de développement des pays du tiers-monde.
VI. DES TRAITES MILITAIRES
Article 18° :
Nos armées doivent être toujours plus fortes et plus puissantes que les armées des pays du tiers-monde. La limitation et l’interdiction d’arme des destructions massive ne nous concerne pas, mais les autres.
Article 19° :
Nos armées doivent s’entraider et s’unir dans la guerre contre l’armée d’un pays faible pour afficher notre suprématie et se faire craindre par les pays du tiers-monde.
Article 20° :
Toute intervention militaire a pour objectif de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
Article 21° :
Toute opération d’évacuation des ressortissants des pays Occidentaux cache notre mission réelle, celle de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
VII. ACCORDS INTERNATIONAUX
Article 22° :
L’ONU est notre instrument, nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.
Article 23° :
Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’« ONU ».
Article 24° :
Les résolutions de l’« ONU » sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’« ONU».
Article 25° :
Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la miser, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les Missions de Nations-Unies.
Article 26° :
Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.
Article 27° :
Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des « Nations-Unies » sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.
Article 28° :
Les dirigeants des puissances Occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêter ni incarcérer par les cours et tribunaux de l’« ONU », même s’ils commettent des « crimes de guerre », de « génocide» ou des « crimes contre l’humanité ».
NOTE :
[*] À Tervuren se trouve le « Musée royal de l’Afrique centrale », Tervuren (anciennement Tervueren et également en français) est une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la province du Brabant flamand. C’est la seule commune périphérique de la Région de Bruxelles-Capitale à être située dans l’arrondissement de Louvain (les autres sont situées dans l’arrondissement de Hal-Vilvorde). Elle compte environ 20 600 habitants.
http://infoscotedivoire.net/fr/articles/politiques.php?id_article=338
Tous ces attaques sont perpétré dans le seul but d’intimidé l’Etat et sa population, c’est pour déstabiliser le pays et ensuite tirer profit de la situation. Le gouvernement met tous en n’œuvre pour mettre fin à ces actes ignobles, tous maliens doivent se donner la main pour combattre les ennemis. La France est le père fondateur de la crise du septentrion du Mali.
Je suis indigné contre Maliweb de ne pas afficher mes commentaires. Cela n’est pas juste.
LA VÉRITÉ VA SE SAVOIR UN JOUR OU LONGTEMPS.
La France, en Barkhane qui se trouve à Kidal, doit quitter les lieux. Ils ne sont pas là pour nous aider mais nous plonger d’avantage. La France n’est pas, et ne sera jamais notre « AMI » elle est notre premier « ENNEMI » C’est elle qui est à la base de notre crise. Leurs forces étant sur le sol malien, le Mali ne connaitra jamais la stabilité.
La France était jaloux de la stabilité du Mali, elle a tout fait pour semer une crise au Mali et se présenter ensuite comme sauveur. La France ne vise qu’à déstabiliser le Mali. Kidal ne restera jamais entre leurs mains.
Les occidentaux ont toujours prônés, « qu’ils n’ont pas d’ami, mais plutôt des intérêts » La France et la MINUSMA ont leurs intérêts dans notre crise, raison pour laquelle ils peinent à partir.
Barkhane France s’est assigné comme mission officieuse, la protection de la région de Kidal, fief du Mnla, contre les terroristes ? La France est de mèche avec le MNLA.
VIVE LE MALI
A bas la France
A bas Barkhane
A bas la minusma
« Les récents événements sanglants de Sévaré, Gourma Rharous, Nampala, pour ne citer que ceux là, viennent nous rappeler plus que jamais que le Mali a franchi un palier dangereux dans la montée du terrorisme le plus abject sur le territoire national, celui des commandos suicides dont l’objectif est de tuer, détruire, saccager et semer le chaos; tout se passe comme s’il y avait un plan avec des acteurs, un schéma élaboré avec un calendrier d’exécution qui pourrait avoir comme intitulé: « CHAOS AU MALI SELON LE COMPLOT DU SILENCE »…
Nous voyons tous dans le jeu de la France, elle incendie le pays et se présente après comme secouriste. La France est à la source de la crise malienne. C’est elle qui sème tous, et c’est elle qui se présente en premier rang comme sauveur. 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
La France fait de tout son possible pour que nous dépendions d’eux. Elle n’est pas là pour défendre le Mali mais plutôt l’enfoncer d’avantage. Sinon pourquoi venir tuer des terroristes au Mali ici, alors le que le porte-parole du MNLA circule comme il veut en France ? Donc cela veut dire que la France tue qui l’arrange et garde en vie qui l’arrange alors ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ 👿 👿 👿 👿 👿 👿
Le refrain quotidien de la Minusma : «Notre mandat n’est pas de combattre les terroristes, mais de stabiliser le Mali». 😯 😯 😯 😯 😯 😯
«Ce travail revient à la Force Barkhane», entonne-t-elle à longueur de journée. Sauf que celle-là s’est assignée comme mission officieuse, la protection de la région de Kidal, fief du MNLA, contre les terroristes. 👿 👿 👿 👿 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
Je partage ton analyse kassin.je ne vois pas pourquoi est ce qui il faut attendre que la France mette fin à ce desordre ….il revenait au mali de réarmer ses forces et cela de faç on unilatérale .si ibk n a pas le courage de réarmer rapidement les famas alors et si le peuple malien n exige pas ce réarment,la partition du mali sera inévitable . avec un président quiculpabilise les autres au lieu d agir et d etre courageux et digne c est pas gagner .
vraiment les maliens sont naïfs; le mali n’existe que par la France, la division du mali est consommée depuis belle lurette, avez vous jamais vu un pays qui ne contrôle même pas ses prétendues frontières, il ne reste que des arrangements pour l’officialisation, a bon entendeur salut,
la France n’aime et n’aimera jamais le Mali soyons en sure mais le comble est ces appatrides(politiciens, journaliste,entreprenaires ,certaines soit disant integre…)qui ne cessent de trahir son Pays du jour au jour au profit d’autrui.desole mais tout provient de nous meme ( nos dirigeants)
je crois que votre analyse est pertinante et rafraichissante Kassim, notre probleme c’est pas la france mais c’est notre gouvernement composé d’incapables et d’inconscients . il faut necessairement un gouvernement composé d’homme et de femmes qui sont à hauteur pour faire face aux differents agissements des rebelles bien qu’affaiblit, mais aussi à la france aussi qui cherche ses interets bien logiquement . se n’est que ca pas plus.
Voilà ou mène l’analphabétisme ,un journaleux pas meme bachelier écrit n’importe quoi ,ou ce qui lui passe par la tete suivant ses désirs , et 75% de la population l’applaudit et le soutient 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 c’est quand meme assez misérable !
Les français en ont ras la casquette de voir leurs impots dilapidés au Mali par des nuls ;vous devriez donc rapatrier de France tous les maliens en age de porter une arme (les petis dealers de 17-18 ans) de les armer ,et qu’ils aillent se battre pour leur pays 💡 💡 💡 💡 Tous vos politiques sont des branleurs incapables dont la seule ambition est de s’enrichir le plus vite possible afin de se sauver le jour ou les choses tourneront mal 👿 👿 👿 👿 👿 👿 La MINUSMA que vous critiquez continuellement c’est l’ONU et elle n’a le droit d’utiliser ses armes que lorsqu’elle est attaquée ,pas avant et malheureusement ce sont des soldats africains guère plus doués que les maliens .Mais si l’ONU avait envoyé des forces occidentales ,toute l’Afrique et vous les premiers ,auriez crié à la colonisation 👿 👿 👿 👿 👿 👿
Mr le journaliste combien la France t’a paye pour que tu viennes raconter des conneries et souhaitant diviser le Mali?? Si tu n’est pas pour pro Mali indivisible cherches a te refugier en ta france que aime tant ou ailleurs masi ne continue pas a ecrire des betises et souhaiter diviser le pays comme solutions la france a ses problèmes a elle et ne peut pas tout faire le mali. Maintenatn c’est au mali de faire a son problème qu’il a laisse croitre.
Oui je les ai compris dès les premiers instants où ils ont pris pied chez nous!
En fait, il n’y a pas de complot ourdi contre le Mali mais il y a de l’opportunisme dans les agissements des partenaires du Mali dans cette crise.
Je m’explique!
La Minusma ainsi que la médiation s’adaptent aux parties en présence (gouvernement du Mali et CMA notamment car ils assimilent de près ou de loin les éléments de la plateforme au gouvernement du Mali).
Il se trouve que le gouvernement du Mali a été l’un des plus nuls sans la gestion de la crise du Nord du Mali.
Le problème numéro 1 du gouvernement malien c’est d’avoir négligé le réarmement moral et matériel de l’armée malienne pendant 2 ans et le fait pour IBK de commencer son régime par 2 premiers ministres inexpérimentés n’y est pas pour rien.
Tatam Ly comme Moussa Mara ce sont laissés ballotter par les élucubrations de Boubeye Maiga et de sa suite d’officiers incompétents et n’ont pas pris la mesure de la nécessaire refonte totale de l’armée pour le remettre très rapidement sur un pied solide de guerre.
Le régime IBK a voulu faire semblant entre septembre 2013 et aout 2015 et IBK brandissait des menaces et croyait que le bluff suffisait à faire plier les rebelles de la CMA du Nord du Mali.
Pour Mara, c’est encore pire car sans préparation il s’est jeté dans la marre et y est sorti plumé comme une poule au marché de Dibidani à Bamako.
Il devrait s’assurer d’abord de la capacité opérationnelle réelle de l’armée avant toute chose, il ne l’a pas fait et personne dans son gouvernement n’a eu la sagesse de lui rappeler à l’ordre.
Il faut préparer une offensive militaire avant de le faire c’est la seule clé du succès.
Et il ne pouvait ne pas savoir qu’une visite à Kidal est susceptible de déclencher une opération militaire impliquant l’armée malienne.
Après la déculottée de Mara en mai 2014 à Kidal, le régime IBK qui menaçait partout “Aucun rebelle ne peut se hisser à ma hauteur” ou “je ne négocie pas avec des hommes en armes” a été obligé de supplier le mauritanien Ould Abdel Aziz pour avoir un cessez le feu, même Sanogo et sa bande soldatesque dans leur fuite de Kidal, Gao et Tombouctou, n’a pas fait cela avril 2012.
Du coup le régime IBK a perdu toute crédibilité non seulement auprès de la médiation mais également auprès de la Minusma.
Cette perte de crédibilité a lentement mais sûrement fait basculer la Minusma mais aussi la médiation qui ont commencé à mettre les rebelles de la CMA au même rang que le gouvernement du Mali.
Modibo Keita qui était le représentant spécial d’IBK auprès de la médiation devient premier ministre et cela a conforté la médiation et aussi la Minusma dans leur conception que la CMA a le même rang et la même importance que l’état malien.
Ceci explique pourquoi les membres de la CMA sont chouchoutés non seulement pour signer l’accord mais également pour un arrangement sécuritaire taillé sur mesure pour eux qui leur permet aujourd’hui de gagner des villes comme Anefis même s’ils en perdent militairement face au Gatia et au Maa loyaliste.
C’est une situation de fait qui va durer encore longtemps car entre le Gatia et la CMA c’est la vielle rivalité touareg Imghad et Ifoghas qui continue et les deux sont lourdement armés pour nous gratifier d’autres spectacles encore plus meurtriers.
Bizarrement ni la Minusma, ni la médiation ni Berkhane ne posent la question de leur total désarmement.
La “décrédibilisation” du pouvoir central malien rendue possible par l’amateurisme et l’incompétence majeure du régime IBK en n’est la cause principale de ce laisser aller de la Minusma, de la médiation et des forces françaises de Berkhane.
Mais c’est une sacré bordel et une insécurité garantie pour tout ce beau monde.
Ce qui est inquiétant, c’est que non seulement le régime IBK ne fout rien pour équiper et former convenable l’armée malienne pour reprendre du poids donc du crédit auprès de ces partenaires dans la gestion de la crise, mais aussi et surtout IBK verse dans une pathétique culpabilisation des autres pour expliquer son l’inaction et l’inaction de son gouvernement à équiper et à former l’armée malienne à hauteur de souhait depuis 2 bonnes années.
Nous retrouvons ici la même politique d’autruche que celle du temps d’ATT qui consiste à jeter l’opprobre de nos erreurs sur la face des autres.
A ce jeu de bas étage, les dirigeants maliens donnent l’impression de grands enfants à la face du monde et cela conforte de plus belle les rebelles de la CMA même affaiblis militairement sur le terrain par les redoutables milices Gatia et Maa loyaliste.
En espérant avoir répondu à ta question!
Kassin Sahelian geostratégic Analyse
Salute.
Merci je suis soulagé kassim
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