AFP PHOTO / PHILIPPE DESMAZES
Au Mali, ce raid, si loin des bases habituelles des insurgés, a surpris. “Cela ne devrait pas avoir lieu. Ce type d’action risque de se multiplier jusqu’au 20 juin, date de la signature de l’accord de paix entre Bamako et la rébellion touareg, que les jihadistes tentent de faire capoter”, souligne un diplomate. Le texte vise, en effet, à isoler les salafistes armés du Nord du Mali en les coupant des populations et de la majorité des groupes locaux.
Un mode opératoire connu
“Les hommes de Hamadoun Koufa sont les premiers suspects, car ce sont leurs méthodes et que l’on n’image pas des Touaregs préparer ce raid, ce qui demande du temps, sans se faire repérer”, souligne l’expert. Ce dernier souligne que la Dawa, un groupe de prédicateurs islamistes un temps fréquenté par Iyad Ag Ghaly, a été très active à Sikasso, la grande ville voisine.
On doit se défendre tout seul
En faisant cela, la communauté internationale et le monde entier sauront qu’ils ne veulent de cette paix, et ils seront obligés de prendre les meures nécessaire contre ces gens !!!
Décider de capoter la signature de l’accord pourrait leur coûter très chère !!!
C’est la minusma qui doit assurer la sécurité du Mali .
Au lieu de nous sécurisé il nous demande de livrer menaka aux violeurs légalisés .
Donc en conclusion toutes les personnes mal intentionné pourrait essayer de faire la même chose.
Et c’est la raison qui nous pousser à se draisser contre la libération des bandits de mlnla. Et voilà le résultat.
assiez vous ils viendront attaquer bamako;attendez toujours la france ils rentreront a bko il faut que la france decide pour que tourne le mali;honte a nous;notre armee nationale cantonne chez elle le comble du ridicule
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