«Il est difficile d’accepter la vérité lorsque les mensonges sont exactement ce qu’on veut entendre», nous enseigne un proverbe populaire qui résume la situation actuelle issue de l’état de la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali, signé le 15 mai et parachevé le 20 juin 2015. Le processus de paix est sérieusement grippé au sein d’une nation dont les principales composantes étalent tous les jours leur divergence devant une communauté internationale aux aguets. A ce rythme, la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation risque d’échouer par le manque de sincérité des responsables des groupes armés, l’amateurisme des autorités maliennes et le laxisme de la communauté internationale. Le peuple se sent trahi et assiste impuissamment à la mise en œuvre d’une politique destructrice qui compromet dangereusement l’avenir de la République en tant qu’entité une et indivisible. Le forum de Kidal, dans lequel le gouvernement a injecté des sommes colossales sorties des caisses publiques, a lamentablement échoué. L’installation prochaine des autorités intérimaires dans les régions de Tombouctou, Gao et Kidal va inéluctablement se faire au détriment des intérêts de la République au profit de ceux qui ont de plus en plus une aversion à prononcer le nom MALI. Peut-on aimer son pays et prendre l’argent des contribuables pour financer ceux et celles qui nient son existence ?
Le gouvernement et les responsables des groupes armés ont opté pour le mensonge en lieu et place d’un cadre approprié qui va permettre au peuple de regarder avec une certaine sérénité son avenir. La paix n’a pas de prix, a-t-on coutume d’entendre. Il n’y a pas de développement sans paix. Mais que vaut une paix achetée et construite sur la base du mensonge ? Faut-il être un savant pour se rendre à l’évidence que la vérité et la justice constituent des soubassements essentiels de la paix ? Assurément non !
Le peuple dans sa grande majorité continue à considérer les ex-rebelles comme des traîtres, des imposteurs. Car, l’opinion publique nationale est persuadée que rien ne pourra justifier les attaques barbares et lâches de cette horde de mercenaires qui ont coûté à notre pays sa souveraineté avec son corolaire d’humiliations. Pour cela, la nation malienne n’est pas prête à les pardonner de si tôt.
Leur arrogance et leur indécence sont à la base de leur difficile réintégration au sein de la société qui les a vomis. La communauté internationale, dont les forces n’hésitent pas à ouvrir le feu sur les jeunes manifestants aux mains nues comme ce fut le cas en janvier 2015 à Gao, est suffisamment imprégnée de cette volonté inébranlable de ne pas laisser voler l’intégrité du territoire par des imposteurs. Aucun des leaders qui paradent pour parler de l’Azawad ou du peuple de l’Azawad ne peut tenir un meeting à Gao ou à Tombouctou. La communauté internationale fait fi de tout cela.
Quand les décideurs se complaisent dans le mensonge, quand les agents assermentés se refusent à dire la vérité, quand les responsables perdent le sens de la parole d’honneur, quand l’exercice du pouvoir donne lieu à une course effrénée pour le partage des ressources publiques, quand les riches s’emparent de la part des pauvres sans pitié, quand les puissants piétinent les faibles, le peuple n’a d’autre choix que de laisser éclater sa colère à travers des actes condamnables comme la justice populaire. Tôt ou tard, le peuple va se réveiller….
Chiaka Doumbia
Personne dans ce pays ne peut dire en ce moment que le président IBK n’a pas donné tout ce qu’il faut redonner la paix à notre pays.
Évitons alors de lui jeter la pierre car les autres protagonistes n’en font pas du tout assez.
La communauté international si elle est de bonne foi, elle doit aider le Mali à sensibiliser les autres groupes et aidé le gouvernement malien et les groupes armée a allé vers la paix et la réconciliation. La communauté internationale doit accompagner le Mali dans sa quête vers la paix, la réconciliation et stabilité.
Sachant qu’on ne sort pas d’une crise comme si on sortait d’un bal,je pourrais dire que dans un processus de paix,il y a d”énormes obstacles qui se dressent sur la voie.Dans le cas d’espèce du Mali,ces obstacles sont visibles de tous.
Mais président IBK fait tout son possible pour que ce processus puisse aller à son terme et le plus rapidement possible.
Que tous les soutiennent le président dans ses actions pour la paix.
Le Président IBK fait en ce moment tout ce qui est en son pouvoir pour que le Mali retrouve la paix à travers l’accord de paix.
je pense que tous les signataires de cet accord doivent s’engager sincèrement pour que cet accord aboutisse pour le bonheur de tous maliens.
Vive le Mali dans la paix.
Monsieur le journaliste, la signature de cet accord est favorable pourvu que la paix revienne au Mali. Le gouvernement est actif pour la mise en œuvre effective de cet accord. Je pense que nous devrions plutôt invité les autres parties signataires et la communauté internationale à d’avantage s’engager pour l’accord de paix puisse être appliquer durablement et garder toute ses avantages.
Il est vrai que beaucoup reste à faire pour la mise en œuvre effective de l’accord de paix.
Mais il faut aussi reconnaitre que beaucoup a été fait par le président IBK.
Pour que cet accord aboutisse il faut une franche collaboration de toute les parties prenantes.
Alors il faut que nous travaillons tous dans ce sens.
Vive le paix au Mali.
Avec le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta il n’y a pas eu de mensonge raconté au peuple. En tout cas pas sur la gestion du pays, à ce que je sache. Pour que le Mali puise connaître la paix, il est nécessaire voire même indispensable que la mission onusienne soit de bonne foi et consente à l’intégrité territoriale de cette nation. La CMA fait comme si elle est l’enfant chouchou de la nation. Elle se permet tout au vu et au su de la MINUSMA.
La quête de la paix est tellement complexe qu’elle demande l’adhésion de tous.
C’est pour cette raison que j’invite tous les maliens à converger vers cet objectif de paix qui,à coup sûr fera le bonheur de tous.
Du courage au président IBK dans ses effort en faveur de la paix.
Moi je pense à mon humble avis que ce sont les gens du Nord qui font double jeu.
Ils disent vouloir aller à la paix pais ils ne posent des actes qui favorisent pas le retour à cette paix.Pourtant nous savons tous que le gouvernement malien fait tout ce qui est nécessaire pour le retour de la paix.
Monsieur journaliste, je pense que votre manière d'analyse est loin d'être la réalité. Le gouvernement malien est plus en plus déterminé pour que la paix et la réconciliation soit totalement instaurer sur le territoire malien. Ceux sont les autres acteurs de la signature qui doivent faire preuve de bonne foi et de patriotisme.
Il s’agit de la paix dans notre pays à tous et tout le monde peut dire ce qu’il en pense.
Mais je souhaite que chacun soit objectif et surtout qu’on évite les exigences et les conditions bizarres car avant d’exiger quoi que ce soit, il faut faire sa part du travail.
Mais nous constatons que les autres signataires ne font pas ce qu’ils doivent faire.
Ibrahim Boubacar Keïta est en train de tout mettre en n’œuvre pour que cet accord puisse aboutir. Les différents belligérants doivent faire preuve de bonne foi et de responsabilité et respecter leurs engagements. Tous les acteurs sont appelés à donner le meilleur d’eux même pour que cette quête de la paix puisse aboutir. Tout le peuple malien aspire sortie de cette crise à l’aide de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger.
La paix sur le papier n’est pas forcement la paix sur le terrain. Certes, IBK et son gouvernement sont conscients de cela, mais l’accord la mise en application rencontre des difficultés ardentes mais pas insurmontables. Les différents acteurs doivent se faire confiance, le gouvernement est déterminé pour le en œuvre effective de l’accord de paix et de réconciliation. 🙄 🙄 🙄
La paix sur le papier n’est pas forcement la paix sur le terrain. Certes, IBK et son gouvernement sont conscients de cela, mais l’accord la mise en application rencontre des difficultés ardentes mais pas insurmontables. Les différents acteurs doivent se faire confiance, le gouvernement est déterminé pour le en œuvre effective de l’accord de paix et de réconciliation.
Si le Mali peine à retrouver la paix perdue depuis 2012 c’est parce que la communauté internationale n’arrive pas à se comporter de bonne volonté et impartialement en tant qu’une tierce partie signataire de l’accord de paix. L’acte de la CMA en rejetant la participation du gouvernement et de la Plate-forme au forum de Kidal devrait être sanctionnée.
Les autorités intérimaires qui seront mise en place dans les localités du septentrion malien auront pour mission de conduire l’application de l’accord de paix dans le cadre du processus de paix et de réconciliation. Cela est une disposition de l’accord que le gouvernement a signé avec les rebelles.
C’est l’ancien régime qui gouvernait sur la base du mensonge. L’échec du forum de Kidal n’est pas la responsabilité des autorités qui veulent que la paix revienne dans ce pays. Le gouvernement malien tient son engagement. Si ce n’est pas à cause de la mauvaise foi de la CMA, ce forum allait poser les jalons du retour de l’Administration dans la zone.
Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire dans un pays qui traverse une crise. Le pouvoir en place est en de toit faire pour que la paix puisse revenir dans notre pays. Je crois que cela est différent du fait qu’il gouverne sur la base du mensonge.
Souvent le gouvernement malien peut ne pas dire un mot mais il ne ment pas à la population malienne sur l’évolution de la situation sécuritaire. Si ce régime était amateur les rebelles n’allaient pas signer l’accord de paix d’Alger.
Les autorités intérimaires seront mise en place dans les régions du nord. Les groupes armés de la CMA sont priés de ne pas tout faux cette fois-ci avec leur mauvaise foi. Quand le journaliste parle de mensonge, c’est peut-être à la CMA qu’il fait référence. Le gouvernement n’a jamais menti à la population.
L’organisation du forum de Kidal a été une balle perdue pour le gouvernement malien qui voulait que ce forum soit un milieu d’échange sur les difficultés qui jalonnent la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation.
Cher journaliste, pensez-vous qu’un régime amateur peut aboutir à la signature d’un accord de paix ? Un régime amateur ne peut pas gouverner un pays dans la crise. Un pouvoir amateur ne peut relancer l’économie d’un pays en crise.
Le mensonge ne connait pas de parcours dans ce pays. En tout cas pas sous le régime actuel. Les groupes armés ne sont pas de bonne foi. Ils ne veulent pas que cette nation connaisse la paix et la réconciliation nationale. Les autorités en place travaillent jours et nuits pour le retour de paix.
Monsieur l’éditeur, avant d’indexer quelqu’un rassures-toi d’être irréprochable. La crise malienne est le fruit de l’incapacité des hommes sensés comme toi qui n’ont pas pu jouer leur rôle comme cela se doit. En tant que journaliste de cette nation, qu’as-tu fait pour informer les autorités pour qu’elles prennent leur précaution contre.
Tous les maliens doivent se mettre ensemble pour soutenir les autorités dans leur recherche freinée de la paix car c’est de cela que notre salut peut venir.
Vive le Mali dans la paix.
Dans ce pays,nous devons comprendre que ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous divise…
Alors,nous ne pouvons que dire merci au gouvernement malien pour son ouverture à la recherche de la paix.
Si les enfants du Mali ont compris que la nation est au dessus toutes les divergence,c’est que cela augure quelque chose de bon pour notre paix sociale.
Ce type de rencontre doit se multiplier pour nous amener le plus vite possible à la paix.
Cet accord du 20 juin à un jeu plus qu’important, surtout si elle est appliqué comme il se doit, car le Mali est en train d’écrire l’une des pages importantes de son histoire. L’accord de paix du processus d’Alger est vraiment très salutaire pour notre pays, le Mali ne pourrait en trouver mieux, le plus important reste maintenant la mise en œuvre effectif de cet accord de paix.
En grande partie c’est communauté internationale qui doit d’avantage s’appliquer dans la mise en pratique de l’accord de paix et réconciliation. La communauté internationale a une grande part de responsabilité a joué dans la crise dont traverse le Mali.
Le gouvernement malien est le seul d’entre les parties signataire qui est déterminé pour la mise en pratique de l’accord de paix et de réconciliation. Le gouvernement malien est en train de tout mettre en place pour garder toute sa véracité et crédibilité.
L’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger demande le concours de tous les protagoniste c’est-à-dire les signataires et la communauté internationale. L’obtention d’un accord est une chose mais, l’entretenir est une autre chose.
Tous les acteurs de crise malienne doivent chacun faire preuve de responsabilité et remplit sa part de laboure. L’accord de paix et de réconciliation ne pourra tenir toute sa crédibilité et véracité si les belligérants et la communauté internationale ne travail pas tous avec la même détermination que le gouvernement malien.
Hélas! C’est la triste réalité que vous dépeignez comme cela.
Quand on devient locataire dans sa propre maison, c’est le tréfonds de l’indignité.!
“Quand les acteurs deviennent des spectateurs, alors c’est le festival des brigands”
un slogan à la mode aux premières heures de l’indépendance
😉 😉 😉
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