Les pourparlers inter-maliens d’Alger auront laissé des traces indélébiles sur la Coordination de Mouvements et Forces Patriotiques de Résistance (CMFPR). Après l’adhésion de ses représentants aux pourparlers, elle a connu un énième clash avec la création de la CMFPR 3. La naissance de celle-ci a été annoncée la semaine dernière à la Maison de la presse de Bamako au cours d’une conférence de presse.
Dirigés par le Pr Younoussa Maïga, les mouvements membres de la CMFPR3 ont réaffirmé leur totale opposition à toute idée de fédéralisme. Ce, conformément à un communique conjoint en date du 16 Septembre 2014. Dans la même veine, ils entendent marquer leur distanciation de la CMFPR1, dont les émissaires, en dépit du temps (15 jours), à eux concédé pour revenir sur leur positionnement hasardeux à Alger, continuent de s’y maintenir, malgré la position sans équivoque prise par l’opinion publique malienne, de Gao à Kayes contre le fédéralisme, l’autonomie et l’indépendance.
Processus de Kimberley:
Les acteurs à l’école de la certification du diamant
Permettre aux participants d’acquérir des connaissances suffisantes et les compétences requises pour la mise en œuvre efficiente du Processus de Kimberley, dans le respect strict des principes et directives prescrits par le schéma de Certification du Processus.
Voilà entre autres les objectifs d’un atelier qui a ouvert ses travaux hier à la Direction Nationale de la Géologie et des Mines sur la mise en œuvre du système de certification du processus de Kimberley au Mali. Durant 4 jours, les participants, venus des Directions des douanes, de la gendarmerie, du commerce et de la concurrence, se familiariseront avec des thèmes comme l’aperçu général sur le Système de Certification du Processus de Kimberley (SPCK); sa règlementation; le fonctionnement de ses bureaux; les indicateurs de mise en œuvre du Processus et la mise en place du mécanisme de traçabilité. La formation est assurée par des experts venus de la RD Congo. Nous y reviendrons.
Mines : l’or constitue 20 à 25% des recettes fiscales du Mali
Le métal jaune est un minerai qui rapporte gros à notre pays, contrairement à l’adage selon lequel l’or ne brillerait pas pour le Mali. Face à la presse, le week-end dernier, au cours d’une rencontre du Forum économique de la presse, le ministre des Mines, Dr Boubou Cissé, a fourni des statistiques qui étayent cette thèse.
A titre d’exemple, il a annoncé que l’or, au delà du fait qu’il représente 20 à 25 % des recettes fiscales du Mali, est d’une contribution de 4 à 5 % de la richesse nationale et de 70% de l’exportation du Mali.
En outre, les mines et leurs sous-traitants représentent 72 des 400 grandes entreprises, contributrices d’énormes impôts, avec à la clé 12 000 emplois.
Pour renforcer ces actions, le Mali se doit, d’après Boubou Cissé, de créer des liens économiques entre les mines et les communautés au sein desquelles elles se trouvent. Pour compenser la fermeture de mines, le ministre Cissé a annoncé l’entrée en activité de 6 nouveaux sites au cours des 3 prochaines années.
Rassemblées par Youssouf Diallo et Yaya Samaké
on a marre de cette division unitule nous tous des maliennes pourquoi chacun dirigeant politique non connus veuillent compliquer notre tache. Si Amadou DIALLO était vivant ca sera comme le mouvement ganda Izo ni cmfpr seront pas divisée. Hé! donne ce qui merite leur place dans l'affaire du nord laisse les intérêt personnelles a coté. essayons nous de faire un Mali émergent incomparable face aux mondialisations. Touré
Comments are closed.