En toute vérité : Gros nuages sur les relations franco-maliennes

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La France soutient-elle le MNLA ? La France a-t-elle lâché le Mali ? La mission de Serval est-elle inachevée ? Toute cette crise a-t-elle été programmée et planifiée depuis la France de Sarkozy ? Le Papa Hollande d’hier devient-il le Sarko bis ?  A toutes ces questions, nombre de Maliens répondent aujourd’hui par l’affirmative. En témoignent les récurrentes marches de protestation contre le fédéralisme. La France sait-elle quel sentiment général partagent-ils les Maliens face à la nouvelle tournure des événements relatifs au retour de la paix au Mali ?

 

 

Diplomatie - Jeune Afrique
François Hollande et Ibrahim Boubacar Keïta. © AFP/Montage J.A.

Pour la paix, les Maliens auront tout donné. D’abord à nos frères du MNLA en particulier et à la communauté touarègue en général. Nombreux, très nombreux sont les représentants de cette ethnie aux différents postes de responsabilité dans notre pays, dans le seul souci d’établir la paix et la stabilité dans ce pays en vue d’un développement global. Les différents accords de paix signés par présidents Alpha et ATT et leurs cortèges d’intégrations des combattants rebelles dans l’armée et dans l’administration publique procèdent de cette démarche. Avec l’actuel Président de la République Ibrahim Boubacar Kéïta, avant le processus en cours pour un accord de paix définitif, tout a été mis en œuvre pour soulager nos frères du MNLA. Les mandats d’arrêt ont été suspendus, des rebelles originaires de Kidal ont été accueillis à bras ouverts au parti présidentiel le RPM avant d’être portés candidats aux législatives pour être couronnés députés, donc élus de la Nation malienne. Passons outre les libérations de prisonniers. De même, les différents chefs de gouvernement d’Ibk ont tout tenté pour témoigner par leur présence à Kidal de la volonté politique manifeste en faveur du développement de cette ville, partie intégrante du Mali. Mais tout cela, c’était sans compter avec la hargne des assaillants en mission de déstabilisation politique et de destruction totale de notre pays. Le constat est effarant, le bilan est lourd, très lourd. Que de ruines et de désolation ! Malgré tout le peuple pacifiste et tolérant du Mali a su raison garder, le Président Ibk connu pour son autorité est devenu le plus sage des Maliens dans le seul objectif de sauvegarder les intérêts de la Nation. Mais selon un adage de chez nous, ” rien ne saurait satisfaire l’ennemi, même si tu lui offrais ta personne “.

 

 

Quid de la France !

D’abord ce pays n’est pas étranger aux différents coups d’Etat perpétrés dans ses anciennes colonies par le truchement d’un spécialiste très connu en la matière dont le passage dans les différents pays a été suivi de renversement de régime. Au Mali, nul n’ignorait l’adversité entre Modibo Kéïta et la France. Et le Général Moussa Traoré n’a pas lésiné sur les mots pour indexer Monsieur et Madame Mitterrand à l’origine de sa chute.

Ensuite c’est Sarkozy qui est cité comme à l’origine de la prise d’armes des rebelles contre le Mali suite à la destitution de Kadhafi dont il est le maître d’œuvre incontesté.

 

Enfin, si Papa Hollande est intervenu pour contrer l’avancée des djihadistes au sud du Mali, tout laisse à croire aujourd’hui qu’il s’agissait d’un agenda de défense du programme planifié au profit du MNLA qui avait perdu la face devant ces redoutables assaillants. Après quoi, l’opération Serval a été enterrée, et allez savoir comment les milliers de militaires maliens formés par la France et l’Union européenne et dénommés Waraba, Balazan, etc. n’ont pu contrer le MNLA malgré la présence de la MINUSMA et en dépit de la volonté des autorités maliennes de signer un accord de défense avec la France. Pis, l’ambassadeur qui a vaillamment conduit les opérations de retour à la stabilité en vue de l’élection présidentielle et d’une vie constitutionnelle normale a été rappelé. Aussitôt un dossier judiciaire contre Michel Tomi est ouvert pour chercher à incriminer le Président Ibk. Ce n’est pas tout, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale et l’Union européenne suspendront les aides budgétaires avant de procéder à un audit dont le résultat n’est pas du tout réjouissant. Et pour davantage corser l’addition, un ancien ministre de la défense est placé en garde-à-vue pour 48 heures et entendu sur deux dossiers, en plus de deux conseillers à la Présidence de la République éjectés de leurs fauteuils. Et les tueries de soldats de la MINUSMA (Nigeriens, Sénégalais…) continuent. Bref, de gros nuages planent sur les relations franco-maliennes.

 

Mais rien ne doit nous étonner de la part de la France. Pour rappel, nous revenons sur les propos tenus par Sarko lorsque Att a réussi à sauver l’otage français Pierre Camatte. Ce jour là, Nicolas Sarkozy déclarait à l’aéroport Bamako-Sénou : ” Une fois encore je tiens à remercier le Président du Mali, mon ami, de tout ce qu’il a fait pour obtenir la libération de Pierre Camatte. Lui dire que la France n’oubliera pas ce geste, qu’il peut compter sur la France …

 

            Pierre Camatte est en vie. Sans le Président A.T.T., l’issue fatale était absolument certaine.

 

            Le Mali n’est pas seul. La France est aux côtés du Mali, approuve pleinement la décision du Président A.T.T. et le remercie pour cette décision. Et si, avec Bernard Kouchner, nous avons tenu à venir, c’est parce que nous avons considéré que ce geste était extrêmement important et qu’il fallait venir ici, à Bamako, pour en porter témoignage. De la même façon que nos collaborateurs viendront travailler avec les collaborateurs du Président A.T.T. pour savoir dans quelle mesure on peut aider le Mali dans sa lutte pour assurer la stabilité et la sécurité de son si vaste espace national “.

 

La suite, on la connaît, c’est l’envoi du MNLA au Nord et le départ de Att.

Enfin, revenons sur ces témoignages des autorités françaises à Reuters :

Selon Reuters, la Libye a sollicité mardi 12 février 2013 l’aide des puissances occidentales et des pays voisins pour assurer la sécurité à ses frontières et empêcher les islamistes chassés du nord du Mali de s’y installer. Selon les Libyens, la crise malienne a éclaté avec l’irruption de miliciens tribaux, équipés d’armes récupérées à la faveur du soulèvement libyen, qui allaient et venaient en toute liberté malgré les frontières.

 

“Si nous voulons les empêcher de revenir, il faut boucler les frontières”, a déclaré le ministre libyen des Affaires étrangères Mohammed Abdelaziz, lors d’une réunion internationale de soutien à son pays organisée à Paris. Les Etats et organisations représentées, parmi lesquels figuraient les Etats-Unis, l’Onu, la Ligue arabe, l’Union européenne et l’Union africaine, ont adopté un “plan de développement de la sécurité nationale” et un “plan de développement de la justice et de l’état de droit”, selon le communiqué du quai d’Orsay.

 

Interrogé par Reuters, Mohammed Abdelaziz a précisé que la France, la Grande-Bretagne, la Turquie et d’autres avait promis une aide technique et matérielle, mais a souhaité davantage pour assurer la sécurité des 4.000 km de frontières.

 

“Nous sommes tous convaincus – c’est une évidence – que la question de la sécurité est absolument majeure, pas seulement pour un pays mais pour l’ensemble de nos pays (…) En aidant à la sécurité de la Libye nous aidons à notre propre sécurité”, a quant à lui souligné son homologue français Laurent Fabius.

 

Tout est bien dit par rapport à cette Libye version française. Quand est-ce que la France viendra donc sécuriser les frontières maliennes ? Après la partition ?

En tout état de cause, la vérité inébranlable de cette politique aventurière de la France, c’est qu’elle déroule sans ambages son dessein de partition du Mali, oubliant que ses intérêts passent par un Mali unifié et stable et non par le soutien à une minorité d’égarés à sa solde pour des intérêts qui vont à l’encontre de ceux d’autres grands pays qui ne se laisseraient pas faire. Et les Maliens sont prêts à se battre jusqu’au dernier souffle pour empêcher le plan machiavélique de destruction d’une Nation unie et prospère. Qui vivra verra.

 

Veuillez lire ci-dessous l’article du Sénégalais Babacar Justin Ndiaye, source : Dakaractu.

Mamadou DABO

 

 

Le Mali au beau milieu du merdier et au seuil de la partition

(Par Babacar Justin Ndiaye, Analyste politique et social)

Le 22 septembre dernier, les Maliens ont commémoré le cinquante-quatrième anniversaire de leur souveraineté, sous de funestes auspices. Car la patrie du Président Ibrahim Boubacar Keita (IBK) campe au carrefour des épreuves et squatte l’antichambre de la partition territoriale. L’image exacte est celle d’un grand pays – grandement ébranlé dans ses fondations – qui vacille dans un contexte national très difficile et oscille vers des perspectives géopolitiques très fluides.

Certes, un Président est démocratiquement élu, en août 2013, avec 77,61% des voix ; dans la foulée, la junte militaire du Capitaine Sanogo a été taillée en pièces, mais l’économie est handicapée par l’endémique crise politico-sécuritaire et par une gouvernance surprenante d’irresponsabilité : l’achat inopportun d’un avion présidentiel et la passation scandaleuse d’un exorbitant marché d’armes. Quant au destin glissant du Mali, il se décide et se dessine loin de Bamako : A Alger, à Ouagadougou, à Paris. Et même plus loin…

 

En termes  métaphoriques, on peut dire fort justement que les Maliens sont sortis des ténèbres de l’occupation djihadiste opérée par Aqmi, pour vivre le cauchemar créé par l’allié français (opération Serval) dont l’agenda rivalise de nuisance avec le bréviaire des fanatiques du Mujao.  En effet, le dilemme est terriblement sinistre : choisir entre l’occupant islamiste qui coupe les mains et le libérateur français qui ampute le pays.

Bref, le merdier est à son paroxysme, tandis que le branle-bas en vue d’un démantèlement (démembrement-remembrement du territoire malien) est observable par-ci et par-là. A cet égard, l’évolution heurtée des débats et, surtout, les échos inquiétants qui filtrent des coulisses de la 2ème  phase des pourparlers inclusifs d’Alger entre l’Etat malien et le Mouvement National pour la libération de l’Azawad (MNLA), forment ensemble un bon baromètre.

 

Même officiellement absente de la salle des négociations de l’hôtel Aurassi d’Alger, Paris reste l’acteur le plus doté en atouts dans la manœuvre en cours. Par le truchement de l’opération Serval – aux dessous toujours secrets – la France maitre d’œuvre de la Liberté (avec ou sans guillemets) des Maliens, a coiffé le processus puis dicté les étapes successives de sortie de crise, en mettant progressivement une croix sur la souveraineté du pays libéré ou semi-libre. Ainsi, le Quai d’Orsay a inspiré puis poussé, le 25 avril 2013, au vote de la Résolution 2100 portant création de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations-Unies au Mali (Minusma) qui a effacé la Mission de la CEDEAO au Mali (Micéma).

 

Mieux, la France a habilement joué pour rester au Nord-Mali avec la bénédiction de l’ONU, tout en soustrayant ses militaires au commandement des casques bleus assuré par le Général rwandais Jean Bosco Kazura. N’empêche, l’armée française exerce un contrôle direct sur la Minusma, à travers le Général Christian Thibaut qui est le chef d’Etat-major des forces de l’ONU, c’est-à-dire l’adjoint opérationnel du Rwandais. Quand on sait que la Minusma est sous-équipée (sans une composante aérienne de taille ni une logistique adéquate pour l’immensité désertique), on mesure sa grande dépendance vis-à-vis de l’ex-opération Serval, aujourd’hui, diluée dans Barkhane.

 

Au vu des coudées françaises aussi franches dans la crise, le Nord-Mali ressemble de plus en plus à une Nouvelle-Calédonie aux confins du Sahel et du Sahara. Les éléments de l’armée, de la Gendarmerie, de la Garde et de la Police du Mali n’ont pas droit de cité à Kidal.

 

Imaginons une manigance franco-onusienne (validée par le Conseil de sécurité) qui interdirait – sous le couvert de la légalité internationale – l’accès de Ziguinchor à l’armée sénégalaise, mais autoriserait le stationnement d’un bataillon cambodgien en Casamance, pour avoir une idée nette de la détresse morale des fils du Mali. Il est donc clair que le Président IBK n’a pas célébré les 54 ans d’indépendance dans la joie. Loin s’en faut. Mais les états d’âme d’IBK et sa camaraderie voire sa vieille amitié  avec François Hollande au sein de l’Internationale socialiste, ne comptent pas face aux intérêts stratégiques de l’Hexagone, dans le Sahara-Sahel.

 

En vérité, c’est le lobby militaire qui tient à “ son ” Kidal et à ” ses ” Touaregs. L’Azawad est, en effet, la chasse gardée et bien gardée de la DGSE, du COS et de la DRM. De Sarkozy à Hollande, l’Elysée est à la remorque du Renseignement et des Forces spéciales qui sont les fers de lance de la politique française dans la bande saharo-sahélienne.

Au demeurant, il y a des signes qui ne trompent pas. Ce n’est pas un hasard, si le Général Grégoire De Saint-Quentin qui a commandé cumulativement le Point d’Appui de Dakar et l’opération Serval au Mali durant toute sa durée, est devenu le patron du Commandement des Opérations Spéciales : COS. Par ailleurs, tous les initiés savent que le Général Christophe Gomart Directeur du Renseignement Militaire (DRM) a l’oreille du Président Hollande sur le Mali.

 

Enfin, le parcours de l’actuel ambassadeur de France à Bamako est éloquent à maints égards. Son Excellence Gilles Huberson (c’est son nom) a travaillé précédemment dans les services secrets en qualité d’officier traitant de certains responsables du MNLA. L’un d’eux déclara au journal ” Le Monde ” (numéro de la mi-novembre 2013) avoir reçu de cet ambassadeur très spécial, un téléphone satellitaire. Des agissements peu diplomatiques qui ont débouché sur une vive altercation au Palais de Koulouba, entre le Représentant de la France et le Général Yamoussa Camara, ancien chef d’Etat-major particulier du Président IBK.

 

Fort du parrainage résolu de Paris, le MNLA multiplie les initiatives hardies, afin de donner corps à son ambition sécessionniste. A Alger, un “ Traité de Paix ” estampillé MNLA circule. Un document qui préconise, dans les moindres détails, un Etat fédéral du Mali. Au plan physique, l’Etat fédéré de l’Azawad englobe les régions de Gao et de Tombouctou. Kidal étant peu viable (280 km2 dont deux tiers de massifs montagneux) les rusés rebelles touaregs établissent la frontière de leur entité étatique sur les rives du navigable et poissonneux fleuve Niger. De surcroit, doté d’un delta humide qui convient bien aux cultures vivrières. Dans le domaine institutionnel, l’Azawad s’administre librement à travers un gouvernement coiffé par un Président élu au suffrage indirect par les Assemblées régionales de l’Azawad. Il serait fastidieux de relater, ici, tous les attributs d’un Etat quasiment souverain que renferme le ” Traité de Paix ” des rebelles touaregs.

 

Dopé par sa victoire  du 21 mai 2014 sur les Forces Armées du Mali (FAMA) et son contrôle intégral de Kidal, le MNLA accentue sa montée en puissance avec l’appui diplomatique et médiatique de la fumiste communauté internationale. Le 9 septembre 2014, le MNLA a inauguré son ambassade à Amsterdam, aux Pays-Bas. Vive colère de Bamako à laquelle succède un démenti nuancé du gouvernement hollandais qui parle de l’ouverture d’un Centre Culturel touareg. Mais selon une note d’information de Moussa Ag Assarid, un des dirigeants du MNLA (note répercutée par les sites touaregs Témoust et Kidal-Infos), il s’agit d’une chancellerie. Affaire trouble. Ce qui est plus clair, c’est que le 18 novembre 2013, l’Azawad a été admis en tant que 13ème membre d’une curieuse officine dénommée ” Organization of Emerging African States ” ou Organisation des Etats Africains Emergents (OAES) qui prétend, selon sa charte, défendre les intérêts de l’autodétermination en Afrique. Créée en 2010 et basée à Washington DC, l’OAES possède bizarrement un statut d’observateur auprès de l’ONU. Tenez-vous bien, car la liste des pays membres de l’OAES équivaut à un Ebola politique : le Biafra, le Sud-Cameroun, le Cabinda, les Iles Canaries et la Kabylie.

Le Président Macky Sall peut mesurer là, combien, il serait imprudent d’aller négocier avec le Mfdc sur les rives du Potomac, aux USA, siège d’une diabolique officine désireuse de morceler les pays africains.

 

Source: dakaractu.com

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14 COMMENTAIRES

  1. Je suis toujours sidéré par des commentaires idiots, qui malheureusement n’élèvent pas le niveau du sujet. Personne ne respecte un mendiant qui nuit et jours tend la main au même carrefour, au même point, si on lui tend l’aumône c’est par pitié et non par obligation. Il en va de même pour les états.
    Petits ou grand chaque pays et nation est respecté en fonction des actes posés.
    Arrêtons de pleurer à longueur d’années, chaque malienne et malien doit savoir (quand je dis Mali, je veux le Grand Mali qui va de l’atlantique au Lac Tchad, c’est le Mali d’antan) que le bien être de la nation du peuple ne peut s’obtenir sans efforts. Sans compter sur ses propres forces, comme disait Sankara, sans développement endogène des ressources nationales, c’est une question de survie nationale.

  2. MONSIEUR LE JOURNALISTE QUANT ON NE CONNAIT RIEN ON SE TAIT.
    QUELQUE SOIT TON OPINION PERSONNELLE TU SAIS SANS LA FRANCE TU NE RACONTERA PAS CES SALADES AUJOURD’HUI. LE JOUE OU HOLLANDE A LIBERE LE MALI TU ETAIS LA.
    IL Y A DES SUJETS AVEC LESQUELS ON NE JOUE PAS. LE MALI EST ENCORE PLUS EN DANGER QU’HIER. VOUS LES JOURNALISTES MALIENS, VOUS N’AVEZ AUCUNE SOURCE D’INFORMATION; PARFOIS CE SONT LES RESIDENTS MALIENS DE L’EXTERIEUR QUI VOUS INFORME DE CE QUI SE PASSE CHEZ VOUS. VRAIMENT J’AI HONTE POUR TOI. LE MALI N’EST PAS LE SEUL PAYS QUE LA FRANCE AIDE. APRES LA RCI, LE MALI,LA CENTRE AFRIQUE C’EST LA SIRIE ET L’IRAK.
    LA FRANCE,L’EUROPE ET LE NATIONS UNIS NE JOUEN PAS A CE QUE TU DIT.
    VRAIMENT HONTE A TOI. LE JOUR OU TU FINIRAS DANS UNE PRISON DE DJIHDISTES TU COMPRENDRAS ET CE SERA TROP TARD.

  3. la France est un pays mafieux .un pays ou tous les coups sont permis pour survivre
    c’est un pays en déclin moral social et financier
    c’est pourquoi pour les civiliser l’ALLEMAGNE s’est fait le devoir de les coloniser
    maudit soit cette nation d’impis
    je n’ai aucune larme a verser pour leurs soldats tombes au mali car nous en avons donne plus pour les tirer des griffes de l’ALLEMAGNE
    et pour nous remercier ils ont tire dessus au sénégalais
    bandes de traitres

  4. DÉJÀ EN 1956 H. BOIGNY MINISTRE DÉLÉGUÉ SOUTENAIT LA CRÉATION PAR LA FRANCE DE O C R S ORGANISATION COMMUNE DES RÉGIONS SAHARIENNES. POUR LE SOCIAL ET L’ÉCONOMIE
    RENE COTY ET GASTON DEFFERE MINISTRES FRANCAIS ONT REÇU LE 14 JUILLET 1956 LES NOTABLES AFRICAIN A PARIS POUR LES CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ QUE LA FRANCE PROTÉGÉ CETTE PARTIE DU MONDE POUR LE BONHEUR DE L’AFRIQUE
    HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE

  5. Onil

    “Le francais est plus con que le malien Y a qua regarder qui les gouverne”

    Mon frère, comme on est gouverné par un Ibk, EVITE PAR PITIE les défis du genre: “Y a qua regarder qui les gouverne””

    C’EST PAS UNE BONNE IDEE! Tu risques de laisser croire des choses gênantes pour nous tous!

    • 😆 😆 😆 , entre Mr. Hollande et Mr. Keita il n’y a pas de quoi a s’emerver. Ils sont de meme mere et de meme pere. A part l’un blanc et l’autre africain 😆 😆 😆 .

  6. N’importe qui peut toujours écrire n’importe quoi….

    La France a bien fait d’intervenir au Mali au risque d’être mal jugée …

    Si l’armée malienne avait été à la hauteur on n’assisterait pas un pareil déballage d’ accusations débridées contre ceux qui sont en première ligne….
    Ceux qui ne bougent pas ne seront jamais mis en accusation ..
    Pourtant ce qui se passe en IRAK et en Syrie devrait faire réfléchir!

  7. Nous nous sommes faible très faible, mais le tout puissant est là. Notre puissance encore c’est le Dieu.

  8. donc c’est la minable france qui veut s’approprier le Mali? Ca ne se fera jamais; car le jour très prochain viendra où ces brebis galeuses du mnla comprendront qu’ils se sont fait eux même du tord; ce jour là, leur réveil sera douloureux .VIVIE LE GRANG MALI, les aigris vont maigrir 😈 😈 😈 😯 .

  9. 😀 😀 😀

    les articles anti français, c’est comme les cons … ça vole toujours en escadrille !

    🙄

    • C’est vous les cons a ne pas vouloir reconnaitre la verité.
      LA FRANCE SOUTIENT MNLA
      Il faut etre aveugle pour ne pas le voir.
      La france n’est pas venuenous aider en amie, elle avait son proper agenda.
      An ba fo Piann

      • tkt, c’est pas des maliens, c’est des éléments infiltrés sur les forums et réseaux sociaux pour défendre la france et distraire les maliens !

  10. quand on lit un article pareil ,on peut se poser la question ” qu’y a t’il de plus c.on qu’un malien ?? réponse :deux maliens”
    peut etre faudrait il a vous prendre en main et ne pas toujours compter sur les autres 👿 👿 👿 une petite cure d’ebola vous ferait du bien et vous apprendrait a vivre !

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