21h58 :
Ce suivi en direct est désormais terminé. Rendez-vous samedi pour avoir les dernières informations sur l'intervention militaire au Mali.
21h38 :
L'Elysée annonce que François Hollande recevra dimanche les familles des otages français détenus au Sahel.
21h23 :
FranceTVinfo a repéré cette vidéo d'artistes maliens qui présentent
Mali-ko, une chanson appelant à la paix dans leur pays:
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=piXLHdmAEMQ&list=UUXC3VvleQnzW0FCYE5wRPyQ[/youtube]
19h46 :D'après le correspondant à Moscou du Figaro, la Russie s'apprête à aider militairement la France au Mali avec des soldats d'un détachement aérien et un avion de transport militaire Antonov.
18h21 :Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian annonce que 1800 soldats français sont maintenant déployés sur le terrain au Mali. Jeudi, "je vous avais annoncé que nous étions 1400, nous sommes maintenant 1800 sur le territoire malien, donc la progression de notre implantation au sol se poursuit", a-t-il indiqué lors d'une rencontre avec les forces spéciales à Lorient.
18h19 :Un porte-parole du ministère de la Défense confirme que les forces maliennes "occupent Konna", qui indique par ailleurs qu'"aucune action n'a été conduite dans le secteur" de Diabali où les combattants islamistes sont "imbriqués avec la population".
L'armée malienne avait affirmé avoir repris jeudi le contrôle de Konna (centre), à 700 km au nord-est de Bamako, tombée le 10 janvier aux mains des combattants islamistes et précipitant l'intervention française. Une habitante de Diabali et une source de la sécurité régionale avaient assuré que les armées françaises et maliennes avaient repris la ville.
18h10 :L'intervention des forces françaises contre les groupes djihadistes dans le nord du Mali, n'est exempte ni de risques ni de pièges. L'armée française parviendra-t-elle à éviter l'enlisement?
Vincent Hugeux, grand reporter, spécialiste de l'Afrique à L'Express, a répondu à vos questions.
17h29 :Selon le ministère français de la Défense, il n'y a "aucun combat à Diabali à cette heure", peu avant 17h30, laissant entendre que la ville n'avait pas encore été reprise. Peu auparavant une source sécuritaire régionale avait confirmé les dires d'une élue de la ville selon laquelle Diabali était désormais sous le contrôle des forces françaises et maliennes.
17h08 :D'après une habitante de la ville, membre du conseil municipal et une source de sécurité régionale,
les soldats maliens et français ont repris la ville de Diabali, à 400 km au nord de Bamako, tombée lundi aux mains de combattants islamistes.
16h49 :Six Français sur dix font confiance à François Hollande sur l'engagement militaire de la France au Mali, selon un sondage BVA publié vendredi qui fait ressortir une "présidentialité" accrue du chef de l'Etat dans un contexte international mouvementé.
6h27 :
Alerte à la bombe à Lyon. Alors que le plan Vigipirate rouge a été déclenché mercredi, toutes les lignes de métro ont été évacuées ce vendredi à Lyon. Selon LyonMag, "pour des raisons de sécurité, les TCL ont annoncé l'interruption et l'évacuation de toutes les lignes de métro et de funiculaire, pour une durée indéterminée".
L'armée malienne, appuyée par les troupes françaises, a repris sa progression vers le nord du pays, Elle s'est emparé de Konna et Diabali, deux villes du centre du pays qui étaient tombées aux mains des islamistes il y a quelques jours.
La France a également poursuivi ses frappes aériennes contre les groupes islamistes. Plus de 1400 soldats français sont déjà présents au Mali, un chiffre qui devrait prochainement atteindre 2500 hommes, selon Paris.
L'armée malienne a affirmé avoir repris jeudi "le contrôle total" de Konna "après avoir fait subir de lourdes pertes à l'ennemi". La localité, sur la route de la capitale Bamako, était tombée le 10 janvier aux mains des combattants islamistes, ce qui avait précipité l'intervention française. Paris redoutait une percée des jihadistes vers Bamako (sud).
Ennemi "écrasé"
"Les combats les plus importants se sont déroulés à Ndégué, à 20 km de Konna. Nous avons écrasé l'ennemi", a assuré le colonel Didier Dakouo, qui dirige les forces maliennes dans le secteur.
Des combats avaient opposé mercredi, puis dans la nuit, des soldats maliens, appuyés par des militaires français, à des islamistes armés près de Konna. Il a fallu de nouvelles frappes aériennes françaises, jeudi, pour que les soldats maliens puissent entrer dans la ville, selon une source de sécurité.
A Diabali, les forces françaises et maliennes "effectuent actuellement des opérations de ratissage", a dit le maire de la ville. "Il y a un grand nombre de véhicules calcinés que les islamistes cherchaient à cacher dans les vergers".
Islamistes sous-estimés
Plusieurs diplomates en poste à l'ONU affirment, sous couvert d'anonymat, que Paris a sous-estimé les capacités militaires d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI), du MUJAO et des Touareg d'Ansar Dine, les trois groupes islamistes qui menaçaient de marcher sur Bamako.
"Ils sont mieux entraînés que ce que les Français avaient initialement prévu et ils se battent avec plus d'acharnement que ce qui était anticipé", a ainsi déclaré un diplomate occidental.
Les représentants français à l'ONU ne contestent pas cette erreur d'appréciation. Ils laissent entendre que Paris a péché par optimisme. Certains diplomates estiment toutefois que la situation pourrait évoluer après le déploiement prévu de 2000 militaires tchadiens, réputés pour leur bonne connaissance des combats en terrain désertique.
(ats / 18.01.2013 17h21)
Au huitième jour de l'intervention française au Mali, un nouveau conseil de défense se réunit ce vendredi à l'Elysée. Suivez les dernières informations en direct.
16h22 :
Une semaine après l'intervention des forces françaises au Mali, le dispositif de sécurité autour du président de la République est renforcé.
>>Lire notre article:sécurité renforcée autour de François Hollande
16h14 :
Interrogé par
Le Monde, Emmanuel Grégoire, directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) estime que
la frontière entre le Mali et l'Algérie "est poreuse, très difficile à surveiller. Il existe des points de passage officiels et surveillés situés sur des pistes bien tracées. Mais ces pistes sont doublées de pistes clandestines parallèles, en partie surveillées par l'Algérie."
15h01 : Une centaine d'islamistes égyptiens ont manifesté vendredi aux abords de l'ambassade de France au Caire pour protester contre l'intervention française au Mali, accusant Paris d'être en "guerre contre l'islam".
"Stop à la guerre au Mali. Ils prétendent que c'est une guerre contre le terrorisme, mais c'est une guerre contre l'islam", proclamaient des pancartes brandies par les manifestants, en grande majorité des salafistes (fondamentalistes musulmans).
14h02 :Le
Nigeria s'engage à envoyer 1.200 hommes au Mali, au lieu des 900 prévus auparavant, pour participer à la force africaine chargée de combattre les islamistes qui occupent le nord du territoire, a indiqué un sénateur vendredi.
13h45 :L'armée malienne, appuyée par les troupes françaises, a repris vendredi sa progression vers le nord du Mali, reprenant le contrôle de la ville de Konna (centre) aux islamistes, dont un groupe était toujours retranché avec des otages en Algérie.
13h45 :La chancelière allemande Angela Merkel recevra mercredi le président béninois Thomas Boni Yayi, également président en exercice de l'Union africaine, pour parler du Mali, a annoncé un porte-parole du gouvernement allemand.
13h40 :L'épouse de Daniel Larribe, l'un des otages français retenus au Mali par Al-Qaïda au Maghreb islamique, a exprimé vendredi à Cahors "l'angoisse sans nom" des familles quant aux conséquences possibles de l'intervention militaire française au Mali pour les leurs.
Auprès de la presse, Françoise Larribe a refusé tout commentaire sur la légitimité des opérations militaires françaises au Mali. "Mes préoccupations, c'est le retour de nos otages, de nos proches", a-t-elle dit.
Daniel Larribe, Thierry Dol, Marc Ferret et Pierre Legrand, collaborateurs du groupe nucléaire public Areva et de son sous-traitant Satom, ont été enlevés le 16 septembre 2010 par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) sur le site d'extraction d'uranium d'Arlit.
13h04 :La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a affiché vendredi à Abidjan sa volonté d'"accélérer" le déploiement de sa force militaire au Mali. "La guerre qui nous est désormais imposée par le refus des mouvements criminels et terroristes de l'offre de paix suffisamment portée par les efforts de médiation de la Cédéao exige de nous l'accélération du déploiement de la Misma", a déclaré le président de la Commission de la Cédéao, Désiré Kadré Ouédraogo.
13h01 :Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, participera samedi au sommet extraordinaire de la Cédéao à Abidjan pour "accélérer la mise en place de la force d'intervention ouest-africaine (Misma), a-t-indiqué à l'AFP. "Déjà le chef d'état major est à pied d'oeuvre. Il y a des premiers contingents qui sont disponibles et la réunion de demain va permettre de préciser un certain nombre de choses et d'avancer" a-t-il déclaré vendredi en marge d'une réunion sur la diplomatie économique à Paris.
12h45 :Soucieuse d'adopter une "approche globale" dans la crise au Mali, l'Union européenne prévoit d'aider à hauteur de 50 millions d'euros la force d'intervention africaine et de renforcer son aide au développement à Bamako, a-t-on appris vendredi de sources européennes.
11h26 :Médecins Sans Frontières (MSF) a réclamé vendredi que les organisations humanitaires soient autorisées à accéder à la région de Konna (centre), au Mali, pour permettre l'acheminement des secours dans les zones touchées par les combats.
11h26 :"Où est l'Allemagne?", s'est interrogé vendredi sur i>Télé l'ancien secrétaire d'Etat aux affaires européennes Pierre Lellouche, reprochant au voisin d'outre-Rhin son absence "sur les grandes questions de politique étrangère", au moment où la France intervient seule au Mali.
11h25 :L'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a appelé vendredi à limiter l'intervention française au Mali à "une opération de soutien", même s'il approuve l'offensive de Paris lancée le 11 janvier face à l'urgence. "Restons-en au mandat des Nations Unies", a demandé le président de République Solidaire sur France Inter. "La résolution 2085 est précise : elle donne un mandat au soutien d'une force africaine".
11h02 :Le chef de la diplomatie française Laurent Fabius participera samedi au sommet extraordinaire consacré au Mali de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) à Abidjan, a-t-on appris vendredi dans l'entourage du ministre.Par LEXPRESS.fr