Le 20 juin 2015, après plusieurs mois de négociations à Alger, un accord de paix a été signé entre l’Etat malien et les séparatistes touaregs. Et l’on espérait que, contrairement aux précédents (l’accord de Tamanrasset en 1991, l’accord d’Alger en 2006), il tiendra. Et pourtant, l’horizon de la paix s’obscurcit au Mali. 14 mois après, plus de 600 morts ont été recensés lors des différentes attaques sur le sol Malien.
A Kidal, on assiste à une « guerre » quasi ininterrompue entre le Gatia et la CMA, deux groupes armés signataire de l’accord de paix. Cette « guerre » dans une guerre, en plus de faire plus d’une centaine de morts, entraine des destructions considérables, brutalise la société et harasse une population de plus en plus prise en otage. Les milliers des refugiés hors frontières et les milliers des déplacés sont laissés à leur triste sort. Un constat demeure : le Mali est très loin des espoirs érigés avec l’Accord issu des pourparlers d’Alger.
Aujourd’hui il y a désormais beaucoup de doutes à savoir si le processus de paix au Mali va effectivement mener à quelque chose ou sera sans fin. L’avenir est loin d’être assuré pour ce qui est de la réconciliation, de la justice, des droits des Maliens, voire de la paix civile. La voie choisie pour régler définitivement la crise au Mali semble montrer ses limites.
La vérité du terrain vient remettre les pendules à l’heure et nous rappelle la nécessité de réfléchir, ensemble, sur l’accord de paix. La résistance des Gaois à l’installation des autorités intérimaires, les attaques terroristes et les conflits intercommunautaires à Kidal augurent des lendemains difficiles dans la mise en œuvre de l’accord d’Alger. Pourquoi ne pas faire place aux aspirations exprimées par les forces civiles et politiques et associer tout le monde à la définition de l’avenir du Mali pour un retour définitif de la paix dans notre pays ?
Madiassa Kaba Diakité
Les premiers responsables du pays sont dépassés par les événements. Le président et son premier ministre n’ont pas le soutien sincère des pays voisins pour imposer la paix au nord du pays. Ces pays ne soutiennent pas la position malienne face à la france pour cause le président Guineen avait dit avant les élections que la guerre ne se fera pas contre le mnla . C’est cela sur le terrain et sans guerre contre ces bandits il n’y aura pas de paix. Ces bandits n’ont pas le sens du dialogue car ATT a tout fait pour leur installation au nord. C’est les bandits qui sont membres à la fois dans le mnla et ançar dine ou aqmi ou bien les nouveaux noms de groupes créés à mopti
The first goal as we all know is to fulfill security need. The passage in effect to fulfill security needs is one conceived of wishful thinking as oppose to dealing with actual conditions where the principal characters are in many cases corrupt, or/plus naive, or/plus evil, or/plus simply ignorant of what to realistically expect from leaders greatly influenced by outside parties. There is but one workable solution to this condition which is to have the military to address security goals from a vantage point of all government opposing forces are to be bought to unconditional surrender. At like point as many weapons as possible should be confiscated by the government with all not found being subjected to great punishment where possession of weapons are found. Thereafter the opposing forces are to be combined to form one group. The group will negotiate for all plus be held responsible for all of the group actions. Where a member of the group violate its obligations all members of the group should be held responsible. In short this condition is to prevent the group from coordinating contradicting actions thereto providing for the group to profit from those contradicting actions while the government constantly incur liabilities. After a probation period of as much as years the group will gradually receive the right to democratically govern itself as a community in Mali. Unto security matters are fully resolve it is foolish plus a waste in resources which could be better used else where to pursue meaningful development where the evil criminals only submit to unconditional surrender. Keep it real. Peace piece. Very sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan.
“Pourquoi ne pas faire place aux aspirations exprimées par les forces civiles et politiques et associer tout le monde à la définition de l’avenir du Mali pour un retour définitif de la paix dans notre pays ?” NON Mr Diakite, il faut les laisser. le pouvoir d’aujourd’hui pense qu’il a le monopole de la verite.. Soit il est atteint d’autisme comme le disait le Parena, soit il se fout du Mali. Dans les deux cas le mal est infini et s’il faut attendre jusqu’en 2018 pour changer de cap…. je dirais comme beaucoup de credules “Allah ka Mali deme”
Comments are closed.