Dernier round avant d’éventuelles sanctions
Pour calmer les craintes des groupes armés qui s’inquiètent du manque de garantie dans la mise en œuvre de l’accord, la Médiation souligne que pour la première fois dans ce dossier c’est toute la communauté internationale qui s’implique. Lors des accords passés de Tamanrasset ou d’Alger de 2006, l’Algérie était seul médiateur. “Cette fois, ce sont les Nations unies qui sont les garants de la paix”, précise un diplomate européen. Reste un argument ultime, jusque-là évoqué en filigrane : c’est la menace de sanctions internationales qui pourraient toucher le cas échéant ceux qui rejetteraient toute idée de paix. On parle d’interdiction de voyager… Mais à Alger, tout le monde espère encore ne pas en arriver là.
Discuter qqqqquoi ! Pour nous ramener à la case départ? Mais , c’est de la folie !
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