Pour avoir engagé l’armée malienne dans une guerre sans le quitus de l’Assemblée nationale, les auteurs doivent démissionner avant d’être interpellés par l’institution républicaine. L’échec de l’armée malienne aux portes de Kidal est une humiliation de trop pour notre pays par la faute de quelques individus.
Les auteurs responsables de l’engagement de l’armée dans une guerre devront s’expliquer devant le peuple malien pour ne pas dire devant une Cour martiale et démissionner au vu du désastre causé par cette décision irréfléchie.
Au moment où on appelle le peuple au dialogue et à la réconciliation au détriment des armes, on apprend l’ouverture d’une guerre entre les forces armées postées à Kidal après la visite du Premier ministre Moussa Mara.
Ne fallait-il pas revoir les dispositifs de l’armée avant d’engager une quelconque hostilité entre notre pays et les bandits armés du Nord qui sont en alliance avec les narcotrafiquants et les groupes jihadistes soi-disant mis en déroute par la force Serval.
Ousmane Daou
Sachez que la France et la communauté internationale sont là pour vous soutenir mais pas pour combattre à la place de votre armée? Assistance à la population civile pour des raisons humanitaires? Un ETAT indépendant sans une politique de défense,continez à prendre le thé et de temps en temps organiser des marches pour gueuler,insulter? Finalement les touaregs qui aspirent au dévélopement ont raison de vouloir leur autonomie? Vu le raport de force t la détermination, ils auront raison par finir dèhhh? Il va falloir un nettoyage de la classe politique et une prise de conscience de la population trop achaique par le fait des traditions
Échec sur toute la ligne IBK-Mara
Le Mali est confronté depuis l’indépendance à un problème d’irrédentisme touareg au nord de son territoire.
Ce problème est l’épine au pied des dirigeants maliens de 1960 à 2014.
Le président Modibo en moins de 2 ans a pu mettre une armée malienne sur place, remercier l’armée française et faire face à la rébellion touareg de 1963.
Moussa Traoré, malgré les carences avérées et les frasques du CMLN a dû préserver l’armée et a pu faire face à trois guerres contre la Haute Volta (1976) et le Burkina (1985) le nord en (1990).
En 1991, ATT après les événements de mars 1991, a accepté les termes des accords de Tamanrasset fraîchement signés par le régime de Moussa Traoré avec les groupes armés touareg et arabes du nord.
La différence entre la rébellion des années 1963 et celle de 1990 c’est qu’en 1990 les rebelles réclamaient du développement et non l’indépendance alors qu’en 1963 ils protestaient déjà contre leur appartenance au Mali.
Ce que le président Modibo n’a nullement toléré et qu’il a sévèrement réprimé.
La génération ATT avait donc une autre vision pour le problème du nord.
Pour faire simple, la théorie ATT se résume à dire que si nous entamons les actions de développement au nord et si nous laissons la gestion du nord aux nordistes on aura la paix avec les touareg et les arabes du nord.
Cette vision s’est matérialisée par la signature du pacte national par ATT en 1992 et qui en plus du désengagement de l’armée (déjà acté dans les accords de Tamanrasset de 1991 sous Moussa Traoré) donne un “statut particulier” aux régions du nord.
Alpha, après ATT, a accepté le principe et a travaillé avec ce pacte national en procédant à la flamme de la paix à Tombouctou et à l’intégration des ex combattants touareg et arabes dans l’armée et dans les administrations maliennes.
À l’époque Moulaye Ag Erlaf a séjourné longtemps dans les gouvernements dans années 1990 et le Haut conseil des collectivités locales a dû être confié à un nordiste jusqu’à nos jours.
Ce pacte s’il a réussi à faire taire les arabes du Mali qui ont abandonné, de fait, la lutte armée contre le Mali, il a créé dans son application la colère de certaines tribus touareg en particulier les Ifhogas d’Iyad Ag Ghali.
Pourtant ATT avait tendu la main aussi à Iyad en le nommant conseiller diplomatique mais celui s’estimait lésé par rapport Gamou un touareg de la tribu touareg des Imghas.
Les touareg de la mouvance Iyad Ag Ghali reprirent les armes en 1994 car estimant que ni les accords de Tamanrasset ni le pacte National n’ont été pleinement et fidèlement appliqué par l’état malien.
En 2006 et 2009, c’est au tour d’Ag Bahanga et ses alliés et lieutenants de reprendre les armes contre le Mali malgré le accords d’Alger de 2006 qui instituait des “unités spéciales” de sécurité dirigées par les ressortissants du nord.
Et à chaque fois c’est l’Algérie voisine qui joue la médiation.
Elle fut secondée par Kadhafi qui intervenait constamment pour calmer les ardeurs du bouillonnant Bahanga.
ATT a cherché en vain la combinaison gagnante de la paix au nord en faisant premièrement confiance aux groupes armés qui y sévissaient et qu’il invitait régulièrement à Koulouba dans une logique de dialogue dont il mettait toujours devant l’option militaire jusqu’à friser le laxisme.
Mais au cours de sa longue période de promotion du dialogue à tout prix, il a oublié que l’armée malienne périclitait.
Le laisser-aller et la facilité qui a gagné le Mali de l’ère démocratique était encore plus accentué dans l’armée ou le gain facile et les galons de complaisance ont pris le dessus sur la vocation et le sens de service des soldats et des officiers pour la nation malienne.
Du recrutement à l’avancement en grade, ce n’était plus le mérite qui prévalait dans nos centres d’instruction et dans nos garnisons.
Et comment pouvait-il en être autrement dans un pays ou la corruption, le népotisme et l’affairisme sont la règle acceptée par tous et où la l’intégrité et la rigueur au travail et dans la vie sont une anomalie décriée par tous?
L’armée malienne et plus particulièrement l’armée de l’air et l’école malienne ont été les plus grandes victimes de ce gâchis de l’ère démocratique au Mali et ça continue malheureusement même ce matin.
En 2012 avec la crise en Libye et le retour des combattants touareg de la légion islamiste de Kadhafi avec des armes lourdes, ATT a constaté l’ampleur de ce gâchis au niveau de l’armée qui ne pouvait plus, ni déloger l’Aqmi installé au nord dans les années 2003, ni faire face à la nouvelle menace des ex libyens surarmés fraîchement débarqués dans nos murs.
Sa politique de promotion du dialogue aveugle avait échoué et l’armée s’était endormit dans un laisser aller de plus de 20 ans.
Il y avait plus de généraux et de colonels de complaisance que de soldats capables de combattre dans le désert par 50 degré à l’ombre et au milieu des tempêtes de sable.
En 2012, les ex combattants touareg intégrés dans l’armée et dans les administrations maliennes désertaient en masse pour rejoindre le Mnla car ils sentaient la puissance des armes et des convictions pour une éventuelles indépendance du nord rêvée depuis 1958 par les touareg du Soudan français.
Il était évident, en janvier 2012 qu’ATT avait échoué et que le pire est qu’il n’y avait plus d’armée pour parer à une autre solution alternative à sa théorie du dialogue à tout prix.
D’où la guerre de l’évitement inventée par ses généraux Kalifa Keita et Gabriel Poudiougou dans leur fameux “repli tactique” à répétition de 2012.
Ces replis tactiques en séries conduisirent, à la perte des villes maliennes frontières comme Ménaka, Andaraboukane, Leré et aux massacres d’Aguelhoc, ainsi qu’à la colère des femmes du camp de Kati, à la perte du camp d’Amachach de Tessalit, et enfin au coup d’état du 22 mars 2012.
L’ambiguïté de la politique de dialogue d’ATT et la l’affaiblissement successif de l’armée malienne présentée au peuple malien comme une vraie armée alors qu’elle ne l’était plus et qu’elle était maintenant très connue de l’intérieur par les ex combattants touareg intégrés et déserteurs, a conduit a jeté du discrédit sur la gestion de la crise par ATT qui a été vu comme un “chef rebelle”.
Ce qui lui a été dit en face jusqu’à Koulouba par une femme du camp Soundiata, blessée dans son âme.
Son régime qui défiait en outre la France sur d’autres sujets (immigration choisie, crise Libyenne et croisade contre Kadhafi, installation de bases militaires françaises au Mali, lutte contre l’Aqmi, etc) n’était plus en bon termes avec le régime de Sarkozy à Paris.
Donc il prenait en pleine visage en 2012, l’offensive médiatique et diplomatique française en faveur des touareg du Mnla.
Il n’a pas n’ont plus eu de soutien auprès de la classe politique et de la société civile maliennes qui découvraient stupéfaites une armée malienne réduite à fuir les combats à chaque occasion et toute honte bue.
Et pire, ATT et ses généraux ont laissé penser aussi être surpris dans les massacres d’Aguelhoc et dans la perte de Tessalit en janvier et mars 2012.
Quand intervient le coup d’état des Sanogo et compagnie en mars 2012, l’armée fuit les trois régions du nord en moins de 10 jours et se replie à Sevaré et à Diabali qui devenaient nos fronts avancés jusqu’à janvier 2013 avec la percée des islamistes sur Konna et l’intervention militaire française.
Dioncounda Traoré, en président de la transition politique, tabassé et affaibli devant une junte militaire envahissante qui se prenait pour “réformatrice” à Kati, n’avait pas le choix quand il appelait Hollande le 10 janvier 2013.
Après 8 mois d’attente et de préparation, l’armée malienne n’a pas été capable une fois de plus de vaincre l’ennemi à Konna.
Mopti et Sevaré était fortement menacés dans la soirée de ce 10 janvier 2013.
Et pourtant les Généraux Dahirou et Yamoussa Camara disaient que l’armée était fin prête et qu’elle n’entendait que l’ordre des politiques pour en découdre avec les islamistes passés maîtres dans l’art de couper les mains et les pieds à Gao.
Depuis ce jour, nous savions tous que le problème de commandement dans l’armée malienne révélé du temps d’ATT, subsistait encore pendant la transition politique sous Dioncounda malgré les pantalonnades de la soldatesque ivrogne de Kati.
Ce que disent nos officiers supérieurs est loin d’être la réalité du front et loin d’être la réalité de nos troupes dans les garnisons et sur les champs de bataille.
Et partant de là, la restructuration de l’armée ne saurait se limiter à la formation de quelques bataillons par la mission de formation de l’union européenne et à l’acquisition de quelques matériels de guerre tant que la gestion même de l’armée ne change pas radicalement.
Il fallait un travail plus en profondeur sur cette armée malienne.
Une refonte totale de la chaîne de commandement était indispensable mais elle n’a pas été faite.
Le régime IBK s’est limité à changer les hommes du commandement sans changer les mauvaises habitudes dans l’armée.
Ce qui est une légèreté grave quand on privilégie l’option militaire dans une crise sécuritaire.
Il n’y a eu aucune politique efficace de réarmement moral et psychologique des troupes après les traumatismes de 2012 et 2013.
Cela est tout simplement scandaleux dans le contexte précis du Mali et compte tenu du défi qui se dresse devant nous.
Les soldats sont presque livrés à leur pauvre sort quand IBK voyage presque inutilement dans toutes les capitales du monde.
Cela est immoral et d’une irresponsabilité sans commune mesure.
Il n’y a pas eu de discours de galvanisation ni d’entraînement mental des soldats de la première ligne du front à Kidal qui subissaient déjà tous les harcèlements des voyous armés du Mnla non cantonnés et non désarmés comme le voulait l’accord préliminaire de Ouaga du 18 juin 2013.
IBK a préféré un avion pour lui au lieu de doter l’armée de moyens aériens pour lui faciliter le contrôle du ciel et une suprématie au sol.
C’est encore du domaine de l’insouciance caractérisée au service d’une jouissance malsaine et non autre chose.
Le renseignement au service de nos opérations militaires, est resté au stade embryonnaire et ne s’occupe que honteusement des journalistes et des opposants politiques.
Myopie géostratégique tout simplement!
Aucune politique de prise de connaissance sérieuse des points forts et des points faibles des groupes armées ennemis n’a été élaborée pour contrôler leurs mouvements et leurs approvisionnements (munitions, carburants, nourriture, eau, etc).
Donc aucune visibilité sur l’ennemi et sur la meilleure stratégie de lui combattre militairement.
L’amateurisme pur jus!
Pas de moral pour les troupes, pas de commandement à la hauteur du défi sécuritaire, pas de renseignement performant, et aucune vision stratégique dans la définition des combats victorieux, voilà mes chers amis les échecs d’IBK dans cette crise de Kidal.
Il y a eu de la clémence voire des complicités françaises et onusiennes certes au nord du Mali, mais si IBK ne s’était pas versé dans la mégalomanie et l’amateurisme agaçant, il allait facilement gagner les batailles de Kidal.
Il les a perdu parce qu’il n’a jamais eu de vision claire ni de stratégie efficace pour Kidal.
Il les a perdu parce que son nouveau premier menteur, oh pardon premier ministre, Moro Mara est plus un bonimenteur assoiffé de reconnaissance politique stratosphérique qu’un vrai travailleur et un vrai leader d’un pays en crise.
Voilà pourquoi nous avons perdu Kidal et voilà pourquoi nous sommes désormais à la merci d’Ould Abdel Aziz de la Mauritanie voisine comme nous l’avons déjà été de Blaise Compaoré du Burkina voisin.
Et cette fois-ci, ça ne sent pas bon du tout!
Donc que Mora Mara s’attelle au travail avec rigueur pour remettre sur pied très rapidement cette armée malienne au lieu de le vilipender au travers de cette défaite de Kidal qui est loin d’être une perte de la guerre qui d’ailleurs n’est certainement pas terminée.
Car si l’armée avait pu conquérir Kidal cette semaine, il serait certainement le premier à y parader façon “Youri Yari” de Kôrè Dougakôrô et sans turban, s’il vous plait mes chers amis.
Wa salam
GOD BLESS YOU!
AND MAY GOD BLESS MALI!
BAYE TRAORE
“Nous avons des bons officier au Mali comme des mauvais issus des familles riches”
Tout-à-fait exact! Seulement, l’une des premières mesures qu’IBK aurait dû prendre dès le départ, c’était précisément “assainir” notre armée bien malade en faisant justement le ménage, à savoir, se débarrasser de nos très (trop) nombreux “officiers de salon” et ne conserver (et valoriser) nos VRAIS officiers compétents;
Au lieu de ça, il a au contraire distribué des grades de généraux comme on distribue des bonbons à titre de remerciement électoral! 👿 👿 👿 👿 👿
C’est lamentable!
Ô Malheur aux vaincus !
Comme des Damnés de la terre , soupirant et livrés à la risée du MONDE!
Qu’Allah soit loué à jamais…Si toutefois encore que je devrais marcher ce serait l’insurrection Populaire pour faire tomber et écraser , toute cette bande de racaille ayant gouverner ou piloter ce pays en ces Vingt Dernières Années , le peuple doit prendre son destin en main et faire un nettoyage Clean, des Gangsters et loups Garous autoproclamés , il faut se soulever comme le brave peuple de CUBA , une révolution genre « la Batille de la Moncada » ou une révolution Bolivarienne pour destituer et la Gouvernance actuelle et tous ces fanfarons de « Politik-Chiens » qui écument le Mali. 😈 😈 😈 😈 👿 👿
Il n’y a rien d’étonnant à ce que, en dépit de ses sourires et propos diplomatiques, que la France commence sérieusement à en avoir par dessus la tête du Mali!
Après nous avoir sauvés des narcos djihadstes, elle se fait sans cesse cracher dessus par nos populations, elle découvre (comme nous!) qu’IBK sur qui elle misait en toute confiance, est incapable de quoi que ce soit pour redresser le pays, qu’il est corrompu « comme avant », et qu’il s’octroie des caprices à 20 Milliards quand le Mali est perfusion de l’aide internationale!
A la longue, je crois que tout le monde commence à avoir « fait le tour » d’ibk, FMI, Banque Mondiale, etc…
Entre les magouilles Tomi, Kagnassy, le 2ème Boeing en à peine 8 mois, et tout ça assorti d’une absence totale de résultats, l’international doit commencer……………….à en avoir ras-le-bol!
Et mieux: Il y a de quoi!… 🙄 🙄 🙄 🙄
I suggest to the government to make English language a requirement in our education system then later we can switch to English for official communication and keep developing aside local languages.
Rebel
Moussa Mara n’a fait que son devoir,et a fait ce que tout les maliens lui demandait
cela démontre quoi?que les maliens quelque soit la situation ne cherchent que leur intérêts personnel
est ce que c’est moment déjà de se mettre dans la peau d’un perdant?rien n’est perdu!il il ne faut pas écouter les opportunistes
il faut maintenir coute que coute l’unité de nos forces.Il y a eu beaucoup d’erreur mais qui ne sont pas incorrigible.
on est obligé de nous battre pour retrouver notre honneur le plus vite possible;on a fait que le jeu de nos ennemies,pas question de négocier dans cette situation
les erreurs sont:1 on a prévu que de se battre contre le MNLA pas ses alliés
2 l’envoie des renforts n’a pas été en chaine,doit être par nécessité et continuel sans que les militaires au combats ne se sentent abandonner c’est ce qui arrive toujours a l’armées malienne au front,surtout après plus de 7heures de combat et vos ennemies reçoit de l’aide
ne résignez pas reprenez la reconquête MERCI
@Mr.Camara il faut pensé par l’esprit et non par les pieds. Le patriotisme ne se résume pas seulement à des déclarations incendières.Si Mara est le superman national, au final il est jugé par les observateurs comme celui par lequel est arrivé. Mara n’a pas l’intelligence du Gl Gaulle, de W.Churchill. Est-ce bien juste qu’un politique qui ne maîtrise
A
Mr le massage KENYEN le respect avant tout;quelqu’en soit ma manière de penser,je n’ai dit que ma penser et mon crie de coeur
mais je n’ai jamais imaginer qu’un homme puisse penser comme toi surtout avec tes pied et ne jamais avoir de coeur ;si vous avez envie de vivre dans la honte hélas .je te jure que si ça continu comme ça toi tu sera obliger de te battre
et puis tu n’a pas le droit de traiter la tête de la nation;cela montre ton niveau d’éducation vous n’avez aucun sens de respect,surtout envers ton premier ministre;quelqu’il soit
il n’a fait qu’exécution la demande de la plus grande majorité des malien
sinon il avait dit bien avant que le problème de Kidal ne peut pas être régler dans l’immédiat qui avait provoqué un tollé
il faut pas parler par hasard.la situation a Kidal met a genou tout les africains et bafoue tout les droits de l’homme.il faut penser a vos frère qui vivent dans la terreur,et dans l’épuration ethnique.réveillez vous.la reconquête point,rien d’autre MERCI!!!
La culture de la démission n’est pas développée au Mali. Donc difficile de voir qu’il y en aura. Jadis des actes ou évènements qui valaient la mort pour un homme dans ce pays sont glorifiés. Perte de valeurs et de repères dans la société,le patriotisme à la poubelle! Ressaisissons-nous!
IBK qui se prenait pour un homme fort , vient de rehabiliter le president ATT a travers cette debacle cuisante de son armee feminine . c est bon de gueuler lorsqu on est dans l opposition , mais la realitE du pouvoir est tout autre . ce meme IBK qui veut poursuivre ATT pour sa defaite militaire , que fera-t-il de lui-meme ???? va-t-il alors se remettre lui-meme a la justice ????? si ATT a pronE le dialogue , c est parce qu il savait qu il ne pourrait jamais gagner une guerre destrutrice et nuisible . maintenant , IBK sera obligE d aller se deculotter a ouagadougou pour implorer la mediation burkinabee qu il a auparavant rejetee . l histoire suit son cours , la rehabilitation de ATT aussi !!!!!!
mais dépuis quand a-t-on besoin de l’aval de l’Assemblée de son pays pour combatre des “bandits armés ” ?
si le peuple malien croit que la négociation et ces histoires de réconciliation vont faire reculer les djihadistes, il se trompe. Aucune Guerre au monde ne s’est terminé sans que les rapports de forces ne soient clairement établis. De plus, il ‘a un temps pour tout. Avant d’arrêter vos officier (Dadis et compagnies) pour des crimes qu’ils ont commis, il fallait les laisser terminer la guerre d’abord.
Une fois celle-ci terminée, on aura largement le temps de les mettre devant leur responsabilités.
Cette guerre ce n’est pas la France ni qui que ce soit qui le fera pour nous. Le gouvernement n’a qu’a trouver les moyens nécessaires en armes et en argent pour mettre nos vaillants soldats dans les conditions qui leur permettront d’affirmer la suprématie de la république du mali et défendre correctement l’intégrité de notre territoire. Faire autre chose, c’est nous faire perdre notre temp
à la place de Dadis lire AMADOU HAYA SANOGO
Le ministre de la défense doit démissionner,car il a echoué dans sa mission.Le chef d’etat major des armés doit partir lui aussi.
je crois que dans le souci de trouver un Mali sans problème,nous devons nous maliens aller a la table des négociation,car même après un trophée de guerre la discutions s’impose.sachez que nous sommes entre le marteau et l’amclume et pennons les choses du bon coté.On ne va jamais y arrivé.
Je ne comprends pas quand Serval dit qu’il est là pour lutter contre les djihadistes.
Qui est venu donner renfort au MNLA avant que les militaires maliens ne se retirent de la ville de Kidal? N’est-ce pas une colonne de Pick-up qui est venu leur donner appui? Et qui sont sont ces gens? (ce sont des djihadistes qui étaient en dehors de la ville qui sont venus leur donner du renfort).
Où était Serval? (Dans leurs hélicos entrain de survoler la ville).
Pourquoi Serval a laissé ces pick-up rentrer dans la ville puisqu’ils sont là pour lutter contre les djihadistes?????
Donner la parole au commandant Gabou, il nous édifiera sur le déroulement de complot.
Pauvres Maliens, vous faites la honte de toute l’Afrique. Un armée incapable, une administration corrompue, des citoyens qui n’ont que l’insulte à la bouche: résultat un groupe de moins de 500 hommes défie un pays de plus d’un million de km2 et prés avec de 15 millions d’hbts. Continuez à boire du thé, à mentir, à insulter, à accuser les autres et à bavarder avec vos grandes gueules le MNLA sera bientôt aux portes de bamako.
les vrais problèmes de l’armée malienne st: les POSTES se transmettent par héritage Presque chaque officier a au moins un de ses fils dans les écoles de formation des officiers résultat une armée non professionnelle de fils à papa;
des dirigeants politiques corrompus et gourmand avec un goût du luxe jamais égalé: résultats IBK se paie un avion à 25 millirads dans un pays en guerre sous perfusion et l’opinion publique est amorphe.
Au lieu de dénoncer ce crime économique, vous accusez à tort la France, votre sauveur et la communauté internationale qui a permis au Mali d’exister encore
Vous pouvez donner votre point de vu sans insulter les maliens sinon vous devenez vulgaire aussi comme votre pensée.
Le Mali est un pays corrompu,les soldats n’ont pas assez de formation avec moins et peu de moyens a leur disposition.
Mais je vous rassure que cette guerre n’est pas que militaire, elle est aussi à d’ordre politique.
Nous avons des bons officier au Mali comme des mauvais issus des familles riches mais certes face à une telle situation seule la politique peut gérer la situation pour garantir un meilleur avenir au malien.
Comments are closed.