Le gouvernement et les groupes armés-chaque partie interprète l’accord à sa manière- tentent, ce lundi, d’accorder leurs violons sur la mise en place des autorités intérimaires. La question, depuis quelques semaines, constitue la grande divergence dans la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali. En clair, qu’est ce qui bloque l’Accord ? Réponse.
Le processus de mise en œuvre de l’Accord est dans l’impasse. Tout le monde y convient, même le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies (RSSG) au Mali. « Le constat aujourd’hui est que l’Accord pour la paix et la réconciliation n’avance pas ou avance un peu », déclarait Mahamat Saleh Annadif le 2 juin dernier, au lendemain d’une nouvelle attaque contre les casques bleus.
Le nœud du blocage : une guéguerre de positionnement et d’interprétation de la disposition de l’Accord portant création et installation des autorités intérimaires. Les principaux acteurs, qui se rejettent mutuellement la faute, ont une profonde divergence de vue sur cet aspect, prévu dans l’annexe I de l’Accord.
Pour mettre à plat les problèmes et tenter de résoudre ces difficultés, une réunion s’est tenue à Alger du 27 au 30 mai 2016 avec pour objectif de « lever les blocages» dans le processus. Motus sur le contenu des échanges, les parties évoquent cependant leur optimisme. Sauf que les lignes n’ont pas bougé, depuis.
Les deux groupes armés reprochent au gouvernement « le manque de volonté à trouver des solutions consensuelles à la mise en place des autorités intérimaires et dans la suite de la mise en œuvre de l’accord ». Ils exigent que ces autorités intérimaires soient « installées en priorité dans toutes les régions du nord ».
Approché par nos confrères du Studio Tamani, Almou Ag Mohamed, porte-parole de la CMA, a estimé que ni la CMA, ni la Plateforme n’ont été consultés lors de l’élaboration du décret d’application de la loi portant modification du Code des collectivités territoriales. A l’en croire, ce qu’ils avaient convenu avec le gouvernement à travers le paraphe d’une convention subsidiaire limitait l’application de la loi aux seules régions du nord. Mais, le gouvernement a rejeté cette convention et en a fait une autre qui s’applique sur l’ensemble du territoire. «Tout cela dénote un manque de volonté réelle d’aller de l’avant… Nous suspendons notre participation, le temps que le gouvernement révise sa position. Le processus est tout à fait bloqué », a-t-il expliqué.
Le blocage de l’Accord…
La CMA et la Plateforme, dans leur furie, avaient donc décidé de suspendre leur participation aux rencontres multipartites. Ainsi, la 9ème réunion du Comité de suivi, qui devait avoir lieu les 3 et 4 juin derniers, a été également boycottée par les rebelles. Ils avaient refusé de se rendre à Bamako où l’on affiche une sérénité qui ne tient pas la discussion. Pour les autorités, les groupes armés font une mauvaise interprétation du texte de l’accord. Elles estiment que « la mise en place des autorités intérimaires concernent en premier lieu les communes où il y a des dysfonctionnements dans le conseil communal ». Pas question, donc, de généraliser les autorités intérimaires et un travail est en cours pour déterminer là où elles doivent être installées.
Pour certains observateurs, le blocage dans la mise en place des autorités intérimaires relève d’un problème d’interprétation du texte par les parties signataires. Selon eux, cette différence d’interprétation est la conséquence de l’inadaptation de certaines dispositions de l’Accord d’Alger aux textes fondamentaux de la République du Mali. Pour ces analystes, la solution passe par « une remise à plat de l’accord en relevant les points d’imperfection » et leur adaptation à la Constitution.
Les parties réussiront-elles à accorder leurs violons ? La 9ème réunion du Comité de suivi, qui s’ouvre ce lundi à Bamako, apportera la réponse. Il y a lieu d’espérer que les parties parviennent à un consensus. Déjà, les groupes armés ont confirmé leur participation à cette rencontre durant laquelle la mise en place des autorités intérimaires occupera l’essentiel des débats.
D’autres points sont cités comme sources de blocage. Il s’agit de la question de la Représentativité des groupes armés au sein des institutions et administrations de l’Etat ; le statut des combattants qui doivent participer aux patrouilles mixtes ; la prise en charge des combattants ; l’annulation des décisions unilatérales prises par le gouvernement en rapport avec le Processus ; et la non-ingérence du gouvernement dans les affaires internes des mouvements.
Tout semble, en tout cas, suspendu à cette 9ème réunion qui marquera la reprise du dialogue entre les parties prenantes.
En attendant, la mission des Nations unies presse les groupes armés à fournir la liste des combattants afin d’accélérer le processus de désarmement, démobilisation et réinsertion. Mais, selon les mouvements armés, ce processus ne peut se concrétiser sans la mise en place des autorités intérimaires.
Par ailleurs, ce cafouillage dans la mise en œuvre de l’accord pourrait expliquer la recrudescence de la violence sur le terrain. En effet, selon certains observateurs, depuis que les groupes armés ont annoncé leur retrait du processus le 20 mai 2016, l’insécurité a pris de l’ampleur. En l’espace de deux semaines, les forces présentes sur le terrain ont subi d’énormes pertes. Près d’une quinzaine de casques bleus (six Tchadiens, cinq Togolais, un Chinois) et trois prestataires civils de la Minusma ont été tués.
Pour Annadif, le lien entre la recrudescence des attaques et la situation de blocage est indiscutable. « La meilleure façon de combattre les terroristes, de les isoler ; c’est la mise en œuvre effective de l’Accord de paix. Toute minute, tout temps perdu pour la mise en œuvre de cet accord est autant de temps gagné par les ennemis de la paix », explique le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies.
I B Dembélé
Quand la CMA dit que les retards dans la mise en œuvre des accords de paix sont imputables au gouvernement; je me demande bien quelles actions eux-mêmes ont pu poser pour permettre la mise en œuvre des accords de paix?
Le gouvernement est l’acteur principale de la mise en œuvre des accords de paix et il fait ce qu’il se doit pour que l’accord puisse avancer partant de la mobilisation de fonds auprès des ptfs, la mise à disposition du matériel pour les patrouilles mixtes; le vote de projets de lois; le financement du forum de kidal; etc…
La CMA n’a au grand jamais posé un acte dans le sens de la paix; c’est pourquoi elle doit arrêté de nous embrouiller et arrêter son jeu de chat et de la souris qui risque de lui coûter cher.
La CMA est en train de jouer à un jeu dangereux sans s’en rendre compte. Elle peut bien faire des manigances pour faire retarder les choses mais lorsqu’elle n’aura plus d’arguments pour justifier ces agissements; elle se verra dans l’obligation de mettre en œuvre les prescriptions des accords de paix car on ne peut pas courir éternellement.
Et dire que ce sont les mêmes qui accusaient le gouvernement de retarder la mise en œuvre des accords de paix. La suite des évènements décidera.
Il faut aussi que cette communauté internationale puisse prendre ses responsabilités car lorsque le président de la république ne voulait pas négocier avec les rebelles, c’est cette communauté internationale qui l’en a obligé donc elle doit prendre ses responsabilités et appeler la CMA à mettre l’accord de paix en application.
Il faut que les uns et les autres respectent les dispositions des accords de paix pour ne pas faire obstruction à sa mise en application. Que les accords de paix connaissent des blocages du fait de problèmes techniques, financiers et autres oui mais que ce soit du fait de la mauvaise foi surtout de la CMA; cela est vraiment regrettable. Il faut la volonté de tous pour avoir la paix.
Je crois que les responsables des ex-rebelles ne devraient pas douter de la volonté des autorités de Bamako quant à la mise en œuvre de l’accord de paix car au final le gouvernement Malien a posé plus d’actes de bonne foi dans cette lancée qu’eux.
Ils doivent donc comprendre la position du gouvernement sur qui la plus grande part de l’accord repose. Ils doivent savoir que l’État a lui seul doit prendre les dispositions requises pour l’adoption des mesures règlementaires, législatives, voire constitutionnelles nécessaires à la mise en œuvre des dispositions du présent Accord,
S’il y a des incompréhensions; qu’ils en parlent au lieu de procéder au boycott systématique des pourparlers.
La volonté affichée des autorités de Bamako doit un être un gage de bonne foi de leur part. Que la plateforme et la CMA ne forcent pas la main aux autorités pour nous conduire à des points de non-retour. Qu’ils s’engagent aussi pour la paix dans notre pays.
C’est tout à fait claire que la volonté de la cma n’est pas de mettre en oeuvre les accords de paix car ils n’ont pas encore fini de se faire les poches avec les trafics de tout genre auxquels ils s’adonnent dans le Nord du pays mais leurs actions les rattraperont tôt ou tard car on ne peut pas faire du tort infiniment à la terre qui vous a assez donné et qui continue de faire des sacrifices dans ce sens.
Vraiment il faut que la CMA puisse se revoir car le gouvernement a vraiment fait trop de sacrifices en vue de permettre la facilitation de la mise en œuvre des accords de paix partant de la libération de prisonniers de guerre au financement du forum de Kidal et bien d’autres actions encore.
Jusqu’à présent la CMA n’a pas encore posé d’actes majeur dans cette lancée; on ne peut donc conclure qu’à sa mauvaise foi!
Il faut vraiment que la coordination des mouvements de l’azawad apprenne à faire des concessions car si le gouvernement en fait de plus en plus au point de susciter souvent même l’indignation chez les populations et chez la classe politique; c’est bien pour qu’on ait la paix. Une paix obtenue au prix du sang des enfants de ce pays ne peut être durable c’est pourquoi le dialogue est privilégié.
Les autorités maliennes ont toujours montrées leur ferme volonté de mettre en application ces accords qu’elles ont-elles-mêmes voulus.
Elles ont toujours posées des actes dans ce sens malgré les difficultés. Il faut donc que la partie en face qu’est la Cma en face autant pour que nous puissions aller résolument à la paix. L’heure n’est pas à la tergiversation. Il faut que la Cma bouge aussi le petit doigt pour que l’accord puisse être appliqué… 🙄 🙄 🙄 🙄
Je le dis et je le redis: le moment où la CMA jouera franc jeu n’est pas du tout loin. Personne ne l’obligera à mettre en œuvre les accords de paix. Toujours en train de trouver des esquives pour ne pas mettre en œuvre les prescriptions des accords de paix. Ce qu’elle oublie c’est qu’elle est en train de perdre le soutien de la France qui lui faisait faire le gros dos.
Si le gouvernement veut aller à la paix par le dialogue; c’est pour ne pas faire encore plus de mal que le pays n’est déjà connu ce qui n’a rien à avoir avec une faiblesse mais avec le temps nous apprécierons et cela ne saurait tarder.
L’application de cette autorité intérimaire va être une avancée considérable pour que la paix et la réconciliation puisse voir le jour dans ce pays qui a tant souffert pendant la crise.La raison pour laquelle le gouvernement veut une entente avec ses gens là.Pour que nous puissions avancer.
je pense que ce fut une bonne idée de la part de la majorité d’organiser ce meeting qui nous aidâmes a comprendre beaucoup de chose en ce moment difficile de la vie politique du pays.Nous savons eu confiance au président,IBK et nous continuons toujours a lui faire confiance.
En Tant qu’un ancien haut représentant du Chef de l’État aux pourparlers inclusifs inter-maliens à Alger.Je pense que s’il est capable de nous aider dans l’avancement de ce processus de paix et de réconciliation nationale.Il peut laisser le poste de PM pour cette mission.C’est tout à fait le souci de tous les maliens.
C’est vrai que la crise persiste toujours mais imagez le moment quand il venait au pouvoir c est l ‘anarchie totale le président parvient à mettre doucement le pays sur les rails.Donc le gouvernement remplacerait tout ce qui sont pas utile dans ce gouvernement actuel.
Nous voulons la paix et la réconciliation nationale dans ce pays là nous devons obligatoirement passe par l’autorité intérimaire, elle est vraiment indispensable pour l’instauration de la paix au Mali.
Le gouvernement malien doit être regardant à l’intégration des ex combattants dans l’armée malienne.Pour ce qui est du cantonnement il doit se faire conformément aux dispositions de l’accord de paix.Le cantonnement doit précéder la mise en place des autorités intérimaires.
Avec tous les efforts que mène notre président que revienne sur toute l ‘étendue du territoire nationale.Nous savons bien que la cour constitutionnelle donnera un accords favorable a propos de ce dossier de l ‘autorité intérimaire pour la réconciliation et la paix.
Il faut vraiment et de façon rigoureuse que des dispositions soient prises afin de mettre fin à ces pratiques.Le gouvernement malien fait tant d’efforts pour que ce processus soit une réussite, que ces personnes égocentriques boycottent le travail qui est fait.C’ est inadmissible.
Les ex rebelles ne font que jouer avec le gouvernement malien.Ils ne veulent pas aller à la paix c’est pourquoi ils posent des conditions inadmissibles au gouvernement malien.Le gouvernement malien doit être prudent avec ces gars.
Nous sommes dans un processus de paix.Je pense que les ex rebelles doivent faire preuve d’une volonté sincère à aller à la paix.Ils posent toujours des conditions inadmissibles pour faire blocage au processus de paix.
Je pense que les ex rebelles sont pas du tout sincères.Tous ce qu’ils veulent c’est de se mettre plein les poches et le reste ils s’en foutent.Cela est vraiment dommage.Le cantonnement se fera avent la mise en place des autorités intérimaires.
Ces personnes sont des ennemis de notre pays.Le gouvernement fait tout pour qu’on aille à la paix,ces personnes ont trouvé une occasion de s’enrichir sur le dos de notre pays s’en tenir compte des souffrances des populations.
Nous voulons vraiment un retour rapide de la paix dans notre pays.S’il y aucun moyen sans passer par ces autorités intérimaires alors nous voulons la paix et la réconciliation.Le gouvernement malien doit trouver une solution rapide pour que nous puissions avoir un terrain d’entente avec ses ex-rebelles.
L’État malien a vraiment besoin de la mis en œuvre rapide de l’accord paix pour des nombreuse raisons.Déjà nous sommes à une année de la signature de l’accord de paix .Donc il est grand temps de passer une étape supérieure pour la paix et la réconciliation nationale.
La cour constitutionnelle malien est là pour faire son travail Si elle trouve que la plainte de l’opposition n’est pas bien fondé pour cette affaire donc c’est bien le cas.
Alors nous attendons l’application de cette autorité intérimaire pour le bien de notre pays.
La mise en place des autorités intérimaires se fera comme prévue par l’accord issu du processus d’Alger en 2015. Les groupes armés ont beau manigancer cette mise en place entre eux, le gouvernement trouvera une solution pour l’avancée.
La paix est un processus et il faut être patient dans sa mise en place. Cela demande beaucoup de concession. Je suis indigné de voir la Cma vouloir mettre à mal le reste du processus en faisant de nouvelles pressions. Qu’elle nous dise ce qu’elle veut réellement.
Le président a promis au peuple et il ne cédera jamais une seule partition du Mali à personne. Il a compris que les enfants d’un même pays ne peuvent pas passer toute la vie se faire la guerre.
L’obtention de la paix n’est pas facile donc soutenons le président dans sa quête de paix, socle de développement
l’Algérie ne joue pas aussi sa part dans la mise en place des accords car pourquoi ne pas donner les directives aux différentes parties c’est à dire en
1- le cantonnement
2- le désarmement
3- l’installation des autorités intérimaires
etc……. …………………………………………..comme cela tout est claire.
donc il faut dire que l’Algérie est de mauvaise foi dans cette histoire car elle sert de base arrière des terroristes, il est difficile mais nous devons l’accepter il est temps de passer à autre chose la médiation doit quitter l’Algérie afin qu’on retrouve la paix.
Le gouvernement ne gérerait pas l’état d’âme de quiconque dans la mise en application des accords de paix. Ils voient le mal partout et oublie l’essentiel. Leur agissement met à nu leur mauvaise foi face au processus de paix.
Le cantonnement doit se faire comme l’a signifié le gouvernement et les partenaires qui nous accompagnent.
Nous sommes tous maliens c’est pourquoi cet accord a été signé. Donc nous devons tous faire notre part de sacrifice pour notre pays. Je ne comprends pas l’agissement de la CMA qui fait que mettre en retard l’accord par des jeux d’intérêts.
Allons nous rester toujours à condamner fermement les attaques et laisser ces barbares continuer à se moquer de nous? Il faut que nous ouvrons les yeux pour comprendre que les groupes armés au nord mali sont les commanditaires des attaques terroristes de Ouaga, Bassam et autres attaques terroristes. Il est temps de que la CEDEAO se lève pour sauver son peuple car l’insécurité devient grandissante dans la sous-région.
Que la Cma sache qu’on ne peut pas faire des omelettes sans casser des œufs ou du moins on ne peut avoir l’argent du beurre et le beurre en même temps. La paix est un sacrifice, un don de soi. Nous voulons à la paix alors je pense que c’est ensemble qu’on l’aura
Les ex rebelles ne font pas seulement une mauvaise interprétation de la loi sur les autorités intérimaires,ils sont également de mauvaise foi.Ces gens s’amusent avec le gouvernement malien depuis tout ce temps.Ils ne veulent pas aller à la paix c’est pourquoi ils trouvent toujours des astuces pour freiner l’application de l’accord paix.Je pense que le gouvernement doit se faire cette idée et envisager une autre éventualité de sortir de cette crise.
Cette situation fait l’affaire de ces ex rebelles qui font du trafic avec leur complice occidentaux qui sont sur le terrain au nord Mali.C’est à dire les forces étrangères présentes dans le nord.Ces forces sous prétexte qu’elles maintiennent la paix font des trafics de tous les genres dans le nord de notre pays.Malgré leur présence au nord de notre pays,les attaques terroristes sont toujours régulières dans la zone.Que font ces forces qui prétendent nous aider à appliquer l’accord de paix.
Les problèmes que rencontre le gouvernement malien dans la mise en oeuvre de l’accord de paix sont du fait des ex rebelles et les forces étrangères qui ne jouent pas franc jeu quant à leur volonté d’aller résolument à la paix.
Je pense qu’il serait mieux que la CEDEAO doit être associée dans la mise en place des accords de paix afin que ceci se fasse rapidement. les zones d’ombre doivent être levées et que chaque partie connaisse sa place dans le processus. Je pense que le président en exercice de la CEDEAO doit conduire le dialogue.
si le processus de mise en place des accords et bloqué c’est parce que la communauté internationale qui est représenté ici par la MINUSMA ne joue pas son vrai rôle. que la communauté internationale doit arrêter son double jeu car le peuple malien a vraiment besoin de la stabilité et que la CMA sache que tôt ou tard on aura l’intégralité du maliba
c’est à la médiation internationale de mettre la pression sur les groupes armés pour faire avancer le processus de paix au Mali car le gouvernement fait sa part mais il faut dire qu’avec la mauvaise foi de ces voyous là le processus est bloqué, si la médiation internationale n’agit pas rapidement ce n’est pas bon pour le mali car pour que l’ordre soit établit les groupes armés cherchent l’affrontement.
les groupes armés n’ont jamais joué franc jeu dans la mise en place des accords malgré les efforts fournis par le gouvernement pour le retour de la paix au maliba, nous devons soutenir le gouvernement afin que nous peuple malien soit le plus heureux.
Je demande au représentant de la Minusma de revoir leur mandat afin d’aider l’état malien à lutter avec efficacité ces terroristes et les groupes armés hostiles à l’accord. Il est temps que la Cma montre sa bonne volonté d’aller à la paix pour ne pas qu’advienne aux armes car la population a déjà souffert.
Le président de la république a posé de nombreuses actions pour la paix. Il s‘est donné comme défis majeur la résolution de la crise du nord. c’est le lieu d’interpeller tous les acteurs singulièrement la Cma à jouer pleinement leur rôle dans la mise en oeuvre de l’accord de paix.
Ibrahim Boubacar Keïta a tout mis en n’œuvre pour que cet accord puisse aboutir. Les différents belligérants doivent faire preuve de bonne foi et de responsabilité et respecter leurs engagements. Tous les acteurs sont appelés à donner le meilleur d’eux même pour que cette quête de la paix puisse aboutir.
Au lieu se jeter la faute sur IBK demande toi ce que les autres ont fait pour ne pas qu’on soit dans cette situation. On ne peut pas lui demander tout à la fois mon cher journaleux corrompu et vendu pour la cause des opposants véreux.
Le président de la république a posé de nombreuses actions pour la paix. Il s‘est donné comme défis majeur la résolution de la crise du nord. c’est le lieu d’interpeller tous les acteurs singulièrement la Cma à jouer pleinement leur rôle dans la mise en oeuvre de l’accord de paix.
il faut dire tout est claire dans les accords mais c’est la mauvaise foi des groupes armés qui refusent l’accomplissement des accords car ils vivent de cette crise. et aussi ils ont le soutien de l’Algérie, la Mauritanie et la communauté internationale raison pour laquelle ils se comportent de la sotte sinon comment comprendre que tous avions signés le même accord et pour sa mise en place il y a problème et personne ne parle.
Il faut dire que rien ne bloque la mise en place des accords de paix si ce n’est la mauvaise foi de groupes armés qui pensent pouvoir tromper tout le monde. Je pense que les groupes armés doivent savoir que nous ferrons tout pour les contraint à aller à la paix soit à le chasser de notre pays par la force.
l’application de l’accord de paix connait un blocage inquiétante qui a d’ailleurs fait réagit la CEDEAO et la communauté internationale mais personne ne s’est demander d’ou provient ce déroute. il quelque temps tout les parties signataires étaient unanime sur une bonne marche de l’accord c’est juste au moment que les choses prennent forme on assiste a ce blocage la question qui se pose est la suivante la voix de la Cédéao compte plus que celle des milieux invisibles d’où le ficelles de la situation malienne semblent tirées?
Le comportement de ces deux groupes est imprévisible ils se sont réunissent a kidal pour comploter contre le gouvernement et ses partenaires c’est juste après cette réunion qu’ils ont communiquer de ne pas prendre part du le processus vu le progrès fait par l’État dans cet affaire se serait déplorable pour le deux camps
les rebelles de la plateforme ne veut pas s’engager réellement dans le processus de paix ils exigent du gouvernement leur conditions qui ne sont pas définis dans l’accord et tout le monde les soutien ainsi ils participent a la chute du nord afin de s’en emparer
le CMA et le plateforme veut que le gouvernement installe les autorités intérimaires sans qu’ils ne soient cantonnés comme le prévoyait l’accord c’est sur cette base qu’il ont commencé avec les hostilités contre les camps des armées maliennes ainsi que celle des forces étrangères
ces bandits sont soutenu par des personnes malveillants qui cherchent a nuire notre pays c’est pourquoi on accuse le gouvernement de passif alors que se sont le plateforme et le CMA qui enflamme le pays par des actes barbares aux yeux et su de tout le monde personne ne dit rien il est temps que le peuple sache que le problème n’est pas l’accord il y’a des mains destructeurs invisible en dessous que dieu nous garde
keita a tout mit en oeuvre pour la réussite de l’accord malgré ça il fait l’objet des malversations de certains hommes politique qui cherchent a nuire ce pays Nous devons comprendre désormais à quel point chaque acte que nous posons individuellement peut influer l’avenir de ce pays, celui de nos enfants. Nous devons comprendre jusqu’où notre compromission hypothèque l’avenir de notre peuple la situation actuel du pays nécessite un effort commun de tous pour faire le mali de demain
il y’a de ces hommes qui veulent pas voir le mali stable ces bandits sont soutenu par des personnes malveillants qui cherchent a nuire notre pays c’est pourquoi on accuse le gouvernement de passif alors que se sont le plateforme et le CMA qui enflamme le pays par des actes barbares aux yeux et su de tout le monde personne ne dit rien il est temps que le peuple sache que le problème n’est pas l’accord il y’a des mains destructeurs invisible en dessous que dieu nous garde
l’application de l’accord de paix connait un blocage inquiétante qui a d’ailleurs fait réagit la CEDEAO et la communauté internationale mais personne ne s’est demander d’ou provient ce déroute. il quelque temps tout les parties signataires étaient unanime sur une bonne marche de l’accord c’est juste au moment que les choses prennent forme on assiste a ce blocage la question qui se pose est la suivante la voix de la Cédéao compte plus que celle des milieux invisibles d’où le ficelles de la situation malienne semblent tirées?
Certes la mise en place des autorités intérimaire est la période qui devrait et doit suivre la signature de l’accord de paix. Mais les groupes armés oublient que le gouvernement qui veut coûte que coûte aller à la paix ne ménage aucun effort pour le faire seulement que le moment n’est pas propice à la mise en place de ces autorités.
La loi sur les autorités intérimaires a été déjà adoptée par les élus de la nation. Vu que le gouvernement est de bonne foi pour le retour de la paix, ces autorités ne tarderont pas à prendre fonction dans les régions du nord comme prévu par l’accord de paix.
Le gouvernement malien est de bonne foi contrairement aux groupes armés qui n’ont jusqu’à présent pas été de bonne volonté pour une application à lettre de l’accord de paix. Ils veulent seulement les dispositions de l’accord qui les intéresse et non la paix qui doit passer par une application intégrale.
Malgré leur apposition sur l’accord de paix issu du processus d’Alger, les groupes restent toujours dans cette logique de mauvaise volonté. Ensemble, les maliens doivent tous marcher contre le jeu des groupes armés et sollicité une révision du mandat de la MINUSMA. L’opposition malienne ne peut rien pour le retour de la paix, j’en suis persuadé.
Les seuls ennemis de la paix sont les rebelles qui ont rejeté l’accord de paix et ne veulent pas de son application. Il s’agit d’Iyad Ag Ghaly et ses collaborateurs. Iyad a été sollicité pour négocier au début il a refusé. C’est pour dire qu’on ne négocie plus avec lui. C’est hors de question.
La gestion de la crise malienne n’est pas cachée du grand public malien et de toute la communauté internationale. Les avancées faites par le régime en place sont connues de tous et le retour de la paix n’est plus impossible. Ce sont toujours certains groupes rebelles qui servent de soutiens aux terroristes qui déstabilisent actuellement notre pays.
Et dire que ce sont les mêmes qui accusaient le gouvernement de retarder la mise en œuvre des accords de paix. La suite des évènements décidera.
Il faut aussi que cette communauté internationale puisse prendre ses responsabilités car lorsque le président de la république ne voulait pas négocier avec les rebelles, c’est cette communauté internationale qui l’en a obligé donc elle doit prendre ses responsabilités et appeler la CMA à mettre l’accord de paix en application.
La volonté de parvenir coûte que coûte à la paix du gouvernement malien est connue de tous. Les groupes armés ont toujours été, sont et resteront les plus grands obstacles au retour de la paix dans notre pays. Ils sont en complicité avec les terroristes pour rendre les choses difficiles au gouvernement et profiter de la situation. Sinon l’accord d’Alger comme tout autre accord est imparfait mais il peut faire notre affaire.
Les ex rebelles ne font que jouer avec le gouvernement malien.Ils ne veulent pas aller à la paix c’est pourquoi ils posent des conditions inadmissibles au gouvernement malien.Le gouvernement malien doit être prudent avec ces gars.La communauté internationale et le chef de fil de la médiation doivent se donner la main avec le gouvernement pour que cet accord tant attendu soit mise en oeuvre.
L’accord de paix d’Alger de 2015 est une réussite pour le régime d’IBK. Mais cet accord a du mal à s’appliquer. Car le comité de suivi avait lui aussi du mal à se mettre en place. Ce retard s’explique par le double jeu des groupes armés qui jouent à la complicité avec les terroristes. On va plutôt éliminer Iyad que de négocier avec lui, cher journaliste.
Nous sommes dans un processus de paix.Je pense que les ex rebelles doivent faire preuve d’une volonté sincère à aller à la paix.Ils posent toujours des conditions inadmissibles pour faire blocage au processus de paix.
La CMA est en train de jouer à un jeu dangereux sans s’en rendre compte. Elle peut bien faire des manigances pour faire retarder les choses mais lorsqu’elle n’aura plus d’arguments pour justifier ces agissements; elle se verra dans l’obligation de mettre en œuvre les prescriptions des accords de paix car on ne peut pas courir éternellement.
Je conseille au gouvernement de faire très attention avec le processus de DDR, parce que la CMA n’est pas de bonne foi. Il veut faire coût que coûte bloquer la mise en oeuvre de l’accord . Il vient aussi de refuser de participer au sous du CSA le comité de suivie de l’accord.
La mise en œuvre stricte de l’accord est la seule solution pour la sortie de crise au Mali. Notre pays a été plusieurs fois confronté à un problème de non application des traités de paix. Le régime actuel et les groupes armés sont tous conscients de ce manque de volonté qui animait les dirigeants et les groupes de l’époque. Le problème actuel est que certaines personne n’ayant pas pris part à la signature sont engagés à compromettre l’application de celui-ci. Cela est loin du fait que le gouvernement ne s’assume pas.
La CMA gagne quel que chose dans la situation actuelle, c’est ça qui les pousse à bloquer, la mise en oeuvre de l’accord, en conditionnant les choses, qu’il n’y aura pas de cantonnement tant que les autorités intérimaires ne seront pas mise en place.
Ces bandits la gagnent quel que chose dans cette situation, c’est pour cela il bloque la mise en oeuvre de l’accord, la CMA doit faire preuve de diligence, et de retenu, nous voulons la paix et nous sommes fatigué de leur conneries façon façon. S’il ne veut pas la paix, le gouvernement les laisse on va les botté fort.
Certes, il y a beaucoup de défis à relever, mais la volonté des parties est déterminante. Celles-ci se sentent dans l’obligation de mener à bien cet intervalle passager qui vient de s’ouvrir après la signature du 20 juin 2015. Mais il me semble aussi que contrairement au gouvernement, certains groupes ne sont pas de bonne foi.
L’application d’un accord de paix relève toujours des défis. Et ces défis sont pour les signataires et la population civile bénéficiaire qu’on est. Cet accord, pour qu’il produise ses effets doit faire l’objet d’une application intégrale. Cela n’incombe pas qu’au gouvernement.
Quand on regarde toutes les dispositions prévues sur toutes les thématiques et toutes les problématiques traitées par l’accord, il y a des avancées.OUI il y a des avancées sur la chose seulement le DDR, la CMA veut montrer son poids au gouvernement.
Le gouvernement s’est toujours assumé dans la mise en œuvre de l’accord d’Alger. Le plus grand problème dans ce retard réside au niveau des groupes rebelles. Ceux-ci n’arrivent pas jusqu’à présent à s’entendre réellement.
Vu les difficultés rencontrés dans l’application des accords déchus sur la même rébellion. Cet accord ne sera pas comme les autres. Il sera un vrai accord, et apportera la solution définitive à notre vieil problème. Les journalistes jaloux vont maigrir.Le gouvernement s’est assumé et continuera de la faire jusqu’à ce que cet accord soit appliqué.
Un an après la signature de cet accord, les acteurs déplorent la lenteur dans sa mise en œuvre. C’est la CMA qui est de mauvaise foi qui bloque l’accord, c’est maintenant à la communauté internationale et au gouvernement de tirer les choses au claire.
La mise en pratique de l’accord de paix et de réconciliation rencontre plusieurs difficulté, mais il faut reconnaître que le gouvernement malien est déterminé faire revenir la paix et réconciliation sur le sol malien. Les parties signataires doivent aussi donner le meilleur d’eux même pour que le pays pour que les efforts du gouvernement ne soit pas vaine.
La loi sur les autorités intérimaires a été adoptée pour l’ensemble du pays.Il faut que les populations maliennes se rassurent que la mise en place des autorités intérimaires se fait pour le bien de notre pays.L’opposition malienne ne pense qu’à des places qui leur auraient été refusé dans la loi sur les autorités intérimaires.
il est temps que les signataires (Les groupes armés) de l’accord nous prouvent leur honnêteté, leur patriotisme et leur sens de l’honneur. On ne signe pas un accord pour s’éterniser dans la négociation. C’est placer la charrue avant les bœufs. En hommes, les signataires doivent respecter la parole donnée. Plus jamais question de conflit ni de partition du pays.
C’est en se donnant les mains, en se pardonnant, se regardant dans le même direction que la paix semble trouver, mais pas en se divertissant, pas en étant orgueilleux.
Après avoir manifesté leur mauvaise foi dans la mise en œuvre de l’accord de paix dans l’organisation du forum de Kidal, ces rebelles font comme s’ils sont pressés du retour de la paix et de la réconciliation alors que si le Mali est toujours dans cette crise c’est à cause d’eux.
Vraiment il faut que la CMA puisse se revoir car le gouvernement a vraiment fait trop de concessions en vue de permettre la facilitation de la mise en œuvre des accords de paix.
Je soutiens le gouvernement en dénonçant la mauvaise foi de la CMA. Le terrorisme est le plus grand handicap dans le monde actuel, il ne faut pas qu’on soutienne les groupes armées à imposer leur bêtises.Les groupes armés et la communauté internationale sont tous de mauvaise foi. ils devraient jouer carte sur table.
7. Le gouvernement ne prendra aucune décision qui va à l’encontre de son peuple c’est pour nous dévons pense. Le projet de loi permettre à l’administration malienne d’être représentée partout nord et nous aurons la paix.
Depuis le temps de nos ancêtres la France ne vit que des ressources de ces colonies donc elle est prête à tout pour son bonheur et nous ne pouvons rien faire.
On est tous des maliens, on ne veut pas être divisé c’est pourquoi cet accord a été signé. Donc nous dévons tous faire notre part de sacrifice pour notLa CMA doit savoir que nous sommes fatigués de leur magouille et que le Mali est un pays qui restera indivisible ; ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent mais nous aurons cette intégrité territoriale
3. La situation de la crise malienne s’aggrave de jour de jour. Le gouvernement malien a beau été de bonne foi si toutes les parties signataires de l’accord de paix ne le sont pas cela ne servira à absolument rien du tout.
Les groupes armés doivent faire preuve de bonne foi. L’état malien a tout mis en place pour que l’accord puisse aboutir donc ils doivent voir de leur cotés mais s’ils persistent nos FAMA n’auront plus le choix qu’accéder à la force puisque le Mali ne sera pas divisé toujours UN ET INDIVISIBLE.
Je demande au groupe armé de prendre leur mal en patience. La suspension de leur participation aux rencontres multipartites des groupes armés du CSA ralentie encore d’avantage la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation. Le boycott n’est pas une solution, mais plutôt est inconscience des groupes armés.
Ce sont ces genres de comportement des groupes armés qui ralentisse la mise en œuvre de l’accord de paix, et après c’est eux qui se plaignent encore de sa lenteur. L’accord avance lentement mais surement le gouvernement malien travail actuellement pour la mise en œuvre des autorités intérimaires.
J’invite les groupes armés à faire preuve de patience, de responsabilité et de bonne foi. Les autorités maliennes seront mise en place après que la cour constitutionnelle ait donné son accord. Certes l’accord avance lentement mais les groupes armés doivent aussi savoir que le gouvernement malien ne mettra jamais la charrue avant les bœufs.
Le rejet de la convention subsidiaire par le gouvernement ne doit pas être une raison aussi pertinente pour que les groupes armés suspendent leur participation à la réunion extraordinaire du sous-comité politico-institutionnel du CSA. C’est l’avenir de notre pays qui est en jeu, alors je demande aux groupes armés de faire preuve de patriotisme.
Monsieur le journaliste, certes la situation est peu tendue entre l’Etat et les groupes armés signataires de l’accord de paix sur les questions de la mise en place des autorités intérimaires et du cantonnement. Mais, vous êtes en train de trop dramatiser la situation les différentes parties sont en négociation pour trouver toujours un terrain d’entente. Il n’y a pas eu de question de recours aux armes, non loin de là.
Je pense que les groupes armés sont en train de constituer de blocage dans la mise en œuvre de l’accord. Le gouvernement malien est déjà en phase terminale pour la mise place des autorités intérimaires. La mise en place des autorités intérimaires ne doivent pas constituer le blocage du reste de la mise en place l’accord en particulier le cantonnement.
Les rebelles de la CMA doivent prendre leur mal en patience le gouvernement malien est déjà en train de travaillé sur la situation. Bientôt les autorités intérimaires seront mise en place cela c’est dans le cadre de la mise en pratique de l’accord de paix et de réconciliation, mais il aussi reconnaitre que les autres point de l’accord doivent aussi être mise en place.
J’invite les parties signataires à la baisse de tension, en particulier les groupes armés, c’est seulement en continuant les négociations qu’ils pourront trouver un terrain d’entente rentable pour tous. Le gouvernement malien plusieurs fois a cédé à plusieurs exigences pour preuve de bonne foi les groupes armées doivent aussi faire d’avantage pour que l’accord puisse avancer.
Les groupes armés doivent faciliter le travail au gouvernement malien. Actuellement les deux sujets brulante de la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger est la mise en place des autorités intérimaires dans le nord du Mali et le cantonnement. Je pense que les groupes armées doivent collaborer avec le gouvernement, ils doivent laisser le gouvernement fait son travail, sinon les groupes armés sont en train de constituer de blocage pour l’accord.
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