En s’attaquant à Konna la semaine dernière, les terroristes sont tombes dans leur propre piège. En fuyant vers la ville de Diabaly, ils ont signé leurs arrêts de mort. La stratégie des combats continue la victoire est très proche.
Ayant remarqué un mouvement de troupes maliennes entrain de faire de la reconnaissance militaire terrestre vers Douentza, les terroristes ont cru devoir s’attaquer à la ligne de démarcation que constitue Sévaré et marcher sur le SUD du pays, pour répondre à ce qu’ils ont considéré comme de la provocation. C’était une manière pour les terroristes (surtout le groupe Ançar Dine) de forcer la main aux autorités de Bamako et les contraindre ainsi à déférer à la convocation de Ouaga pour le démarrage des négociations auxquelles seul le vieux capitaine Compaoré croit. Il suffit juste d’analyser quatre faits saillants pour se rendre à cette élémentaire évidence :
La date de début des négociations était fixée le 10 janvier 13 et était acceptée par les autorités maliennes.
Le déploiement des Forces Armées de Sécurité maliennes au-delà de la ligne de front sur le chemin de Douentza a commencé le 08 janvier 2013 avec la présence du capitaine Amadou Haya Sanogo et son P.C opérationnel de Kati. C’est ce même jour que la marche absurde et insensée pour le départ de Dioncounda est organisée à Bamako pour concentrer les regards de l’opinion nationale et internationale sur Bamako et les détourner par conséquent du front.
Le mercredi 09 janvier 2013, les autorités maliennes déclinent l’invitation de participer à la rencontre de Ouaga prévue le 10 janvier et demandent un renvoi jusqu’au 21de ce mois de janvier (cette rencontre n’aura jamais lieu).
Les combats à Konna sont déclenchés la même nuit du renvoi de la réunion de Ouaga et ont duré jusqu’au 10 janvier 2012 à 22h (moment du contrôle total de Konna par les FAS). C’est pourquoi les terroristes n’ont pas pu célébrer la prière du Vendredi à Konna comme ils l’avaient promis, car à l’heure de la prière ils étaient encore entrain de fuir avec les cadavres de leurs « frères terroristes » tombés à Konna. C’est à 65 km, dans les faubourgs de Konna que la prière mortuaire et les enterrements ont été effectués sous la direction de l’imam dont on ignore le nom, tué lui aussi le dimanche 13 janvier 2013 lors des raids de l’aviation française dans les faubourgs de Gao. Pendant la prière, trois occidentaux de race blanche étaient présents, mais en retrait. Ce qui laisse penser qu’ils font partie des otages français retenus; autrement ils auraient participé à la prière s’ils étaient de confession musulmane.
Pour être en adéquation avec les autorités maliennes dans la gestion de l’information dans le cadre de l’Etat d’urgence, nous tairons certaines informations de premier plan sur lesquelles les FAS maliennes, la France et l’Etat reviendront en détails le moment venu.
Mais ce qui est sûr et certain la localité de Konna en particulier et toutes les régions du nord du Mali en général sont sous contrôle des forces armées. La diversion consiste à ce scénario : Le poisson et l’hameçon dans l’eau. Tous les terroristes seront identifiés un à un avant d’être neutralisé par les forces spéciales française et malienne.
A.B.D
Sanogo et ses complices irront repondre devant le CPI.
il faut tuer le capitaine sanogo
avec la présence du capitaine Amadou Haya Sanogo et son P.C opérationnel de Kati
Apres cette phrase votre article n a plus de sens decidement le capitaine a beaucop d’argent a distribuer aux journaleuxc
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